Forum des Sites Amoureux des Routes & Autoroutes (et aussi de tous les autres modes de transport)
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Posté: Jeu 01 Juin 2006 18:48marsupilud a écrit:En général, les concessions du réseau ferroviaire ne sont-elles pas proches de celles réalisées pour les autoroutes ?
Posté: Ven 02 Juin 2006 18:24
Posté: Ven 02 Juin 2006 18:48luchar a écrit:Et pour l'Eurotunnel, beaucoup, beaucoup de temps...
Posté: Dim 11 Juin 2006 14:15
Posté: Dim 11 Juin 2006 14:49
Posté: Lun 17 Juil 2006 21:00Posté: Mer 19 Juil 2006 11:47Posté: Mer 19 Juil 2006 12:21Posté: Mer 19 Juil 2006 12:42Posté: Mer 19 Juil 2006 12:54luchar a écrit:ça coince aussi apparemment sur la nouvelle gare perpignannaise pour les TGV....
Posté: Mer 19 Juil 2006 13:25Posté: Mer 19 Juil 2006 14:29Posté: Jeu 20 Juil 2006 13:56Posté: Mar 29 Aoû 2006 15:34Posté: Mar 29 Aoû 2006 15:37Bugsss a écrit:Si on regarde plus loin, on pourra rever ou voir (quand on aura 50/60 ans) un TGV Nice<->Toulon<->Marseille<->Aix<->Avignon<->Nîmes<->Montpellier<->Béziers<->Narbonne<->Perpignan<->Gerone<->Barcelone
Imaginez les temps de parcours et le changement des habitudes des gens
Posté: Jeu 28 Sep 2006 14:10Posté: Jeu 28 Sep 2006 17:51Posté: Mer 07 Fév 2007 07:44Posté: Mer 07 Fév 2007 11:49Aragorn a écrit:Salut
Je me pose une petite question depuis quelques temps au sujet de cette ligne:
Il me semble que le projet espagnol devant relier Barcelone a la frontiere francaise ne sera pas pret avant 2013 (si mes souvenirs sont bons).
Posté: Mar 13 Fév 2007 14:13Midi Libre a écrit:Un éboulement souterrain constaté à Les Cluses
La percée du tunnel sous les Albères est tombée sur un os. Plus précisément sur une faille localisée sous le massif des Albères, au niveau de Les Cluses. Une partie de la montagne a été aspirée, obligeant les autorités à fermer une voie communale.
L'incident s'est apparemment produit le 19janvier dernier. Dans le jargon technique, il s'agit d'un phénomène de fontis lié à la friabilité "schisteuse"du sous-sol de la zone située sur le territoire de la commune de Les Cluses. Les fontis se déclarent généralement autour des secteurs miniers et se définissent comme un affaissement localisé du sol causé par un éboulement souterrain. Dans le cas présent, c'est un pan de montagne bordant une voie communale de Les Cluses qui a purement et simplement disparu, aspiré à 80 mètres sous terre. Cette route empruntée par les habitants des mas environnants est désormais fermée jusqu'à nouvel ordre. Une mesure mise en place quelques jours après l'incident par le maire de Les Cluses Alexandre Puignau. "Dès que j'ai pris connaissance de cet éboulement, j'ai pris un arrêté interdisant l'accès à ce chemin. J'ai également pris des dispositions auprès des habitants et notamment les chasseurs pour qu'ils évitent de se rendre sur cette zone. D'après TP Ferro, en terme de géomorphogéologie, le secteur est désormais stabilisé mais j'estime qu'en terme de responsabilité, la société a pris la chose avec un peu de légèreté. J'ai d'ailleurs convoqué la semaine dernière certains responsables pour leur faire part de mes remarques. Il est anormal qu'il y ait eu un laps de temps si grand entre le jour où s'est produit le problème et le moment où l'on a été averti", confiait hier le maire de Les Cluses. Sur place, effectivement, le trou dans la montagne est impressionnant. Des tonnes de roches et un bout de forêt sont tombés comme un seul homme dans un cratère aujourd'hui colmaté par du béton.
Mais des failles importantes, soulignées du reste par les techniciens venus constater les dégâts, témoignent du déséquilibre de la roche à cet endroit. Difficile de dire si le risque d'un autre effondrement est réel. Contacté hier par téléphone, Eusebio Corregel, directeur général de TP Ferro a assuré qu'il donnerait de plus amples renseignements dès lundi. Le sous-préfet de Céret, Didier Salvi, s'est pour sa part montré rassurant. "Les travaux de consolidation ont été mis en œuvre par TP Ferro. L'obligation de remettre en état a également été mentionnée à l'entreprise. Pour le reste, le maire de Les Cluses a réagi rapidement pour mettre en sécurité les riverains. Quant à savoir si ce type de phénomène peut se reproduire, je n'en sais rien, c'est tout ce que je peux dire pour l'instant", a-t-il commenté. Sachant que le fontis se situe approximativement à 100 mètres au-dessus du tunnel, la question est de savoir si cet éboulement a endommagé la voûte de béton du tunnel. Et le cas échéant, si cette avarie "en surface" est à l'origine du retard annoncé par TP Ferro. La fin de la percée, annoncée d'abord pour fin mars, a été récemment repoussée à juillet. La relation de cause à effet semble logique. Et si les problèmes de friabilité persistent, on est en droit de se demander quand et comment TP Ferro verra la fin du tunnel.