L'instauration d'une classe fumeur s'impose donc pour ceux qui ne savant pas se passer de tabac; classe fumeur qui aurait des tarifs nettement plus élevés que la seconde classe non-fumeur et même plus élevé que la première non-fumeur (un surcoût de plus de 100 % ne m'étonnerait pas !); ceci avec un niveau de confort seulement équivalent à la seconde classe non-fumeurs, puisque de toute évidence le marché première classe fumeur est bien trop étriqué avec une demande insignifiante. Cela est en fait une application tout à fait normale du principe « pollueur payeur ».
Tonio92 a écrit:L'instauration d'une classe fumeur s'impose donc pour ceux qui ne savant pas se passer de tabac; classe fumeur qui aurait des tarifs nettement plus élevés que la seconde classe non-fumeur et même plus élevé que la première non-fumeur (un surcoût de plus de 100 % ne m'étonnerait pas !); ceci avec un niveau de confort seulement équivalent à la seconde classe non-fumeurs, puisque de toute évidence le marché première classe fumeur est bien trop étriqué avec une demande insignifiante. Cela est en fait une application tout à fait normale du principe « pollueur payeur ».
Simple....je prend une place en 2nd normal puis quand j'ai envie de fumer, je vais dans ce compartiment !!...juste pour dire que cette solution ne tiens pas la route !
eomer a écrit:Dans ce cas, il vaudrait mieux prévoir un fumoir avec accès payant...mais cela impose un contrôleur à l'entrée.
Non finalement on n'en sort pas.
Si, si ! Même si, je l'avoue, c'est plus compliqué pour un fumoir - qui serait utilisé que par intermittence par des fumeurs qui rejoindraient après leur intox leur place non-fumeur - il faudrait prévoir pour la classe fumeur des billets spéciaux avec un codage (sur la bande magnétique) particulier qui permette l'ouverture des portes donnant accès au fumoir - ces portes d'accès restant fermées aux autres voyageurs. Pour limiter la fraude, il faut prévoir la même procédure pour sortir du fumoir.
De toute façon, si ce n'est pas rentable, il faudrat faire du non-fumeur intégral. Ce qui est possible en Belgique et aux Pays-Bas doit l'être ailleurs aussi.
Tonio92 a écrit:Si, si ! Même si, je l'avoue, c'est plus compliqué pour un fumoir - qui serait utilisé que par intermittence par des fumeurs qui rejoindraient après leur intox leur place non-fumeur - il faudrait prévoir pour la classe fumeur des billets spéciaux avec un codage (sur la bande magnétique) particulier qui permette l'ouverture des portes donnant accès au fumoir - ces portes d'accès restant fermées aux autres voyageurs. Pour limiter la fraude, il faut prévoir la même procédure pour sortir du fumoir.
Ce système serait non comforme au regles de sécurités et irréalisable :
1) Tout les accès doivent être ouvrable sans clef (magnétiques..) pour permettre une évacuation en toute circonstances (incendies, urgence médicales...)
Tonio92 a écrit:2) Le ticket standard tend à disparaitre. Y a qu'à voir les tickets qui sont maintenant imprimable quand on fait sa réservation sur internet ( sorte de E-ticket). Comment mettre une bande magnétique sur un papier imprimé ?
Tonio92 a écrit:De toute façon, si ce n'est pas rentable, il faudrat faire du non-fumeur intégral. Ce qui est possible en Belgique et aux Pays-Bas doit l'être ailleurs aussi.
Je suis d'accord pour des liaisons régionales et TGV ( ou le temps de trajet "sans sortir du train" est court ). C'est le cas pour le benelux.
Par contre, il y a certain train qui durent 10h ( Paris-Briançon par ex) d'1 seul tenant...
Marc a écrit:C'est justement, ce que je préconise, Antoine. Mais à la condition expresse que les fumeurs pollueurs payent entièrement leur service sur mesure !
antoinej8 a écrit:Marc a écrit:../.. que les fumeurs pollueurs payent entièrement leur service sur mesure !
Pourquoi leur demander de payer plus cher pour un service moindre qu'actuellement ?
antoinej8 a écrit:Enfin à mon avis rien ne vaut la suppression pure et simple des voitures fumeurs.
Le Monde a écrit:La totalité des trains deviendront non fumeurs d'ici à la fin de l'année
LEMONDE.FR | 15.08.05 | 13h20 - Mis à jour le 15.08.05 | 14h56
La totalité des trains exploités par la SNCF devraient être totalement non fumeurs d'ici la fin de l'année 2005, a annoncé lundi le directeur général de la compagnie, Guillaume Pépy. "Nous allons proposer d'ici la fin de l'année 100 % de trains non fumeurs", a déclaré M. Pépy sur RMC.
La compagnie, qui interdit déjà la cigarette dans ses TGV et sur certaines de ses lignes TER (trains express régionaux), étendra ainsi l'interdiction à l'intégralité de son parc. Les TGV sont non fumeurs depuis le 12 décembre 2004.
"On a expérimenté des choses depuis maintenant plusieurs années, d'abord le TGV Atlantique, puis tous les TGV en 2004. En Ile-de-France aussi avec le Transilien, et puis il y a déjà onze régions où les trains TER sont non fumeurs", a déclaré M. Pépy. "Aujourd'hui, nous pensons qu'il faut sauter le pas et généraliser les trains non fumeurs (...) et c'est ce que nous allons faire au quatrième trimestre de l'année", a-t-il ajouté.
4 000 VOITURES À DÉCRASSER
"Nous avons beaucoup de travail à faire pour que cette mesure entre dans les faits", a encore déclaré M. Pépy, précisant que la compagnie devrait "décrasser les voitures de la fumée, traiter des odeurs persistantes, condamner les cendriers, modifier la signalétique". Il a précisé à l'AFP que le "nettoyage débutera en décembre et s'étalera sur toute l'année 2006", indiquant qu'il y avait "plus de quatre mille voitures à traiter". "Le décrassage se fait par un traitement à la vapeur sur les tissus, les murs et le plafond des voitures", a-t-il expliqué. S'ensuivra une opération de "traitement anti-odeur" par laquelle "on recouvre les odeurs à l'aide d'un liquide neutralisant".
Concernant le coût de ces opérations, M. Pépy a déclaré qu'en "2006, nous devrions dépenser entre cinq et dix millions d'euros en plus pour le décrassage des voitures". Ce surcoût ne devrait pas être compensé par une diminution, "très légère", du coût du nettoyage des voies, encombrées de paquets de cigarettes vides. "Actuellement, nous consacrons environ cinq millions d'euros par an au nettoyage des voies", notamment en utilisant un train aspirateur, selon le directeur général.
"Dès le 5 septembre, nous allons mettre en service un nouveau train entre Bordeaux, Toulouse, Montpellier et Nice, il sera non fumeur. Tous les trains de nuit (...), tous les corails, et la fin des TER [où l'interdiction n'est pas encore appliquée] seront non fumeurs d'ici la fin de l'année 2005, on aura donc 100 % de trains non fumeurs", a encore précisé M. Pépy. Il a ajouté à l'AFP qu'à l'heure actuelle, "il y a encore deux régions avec lesquelles les discussions sont encore en cours" concernant les TER, sans souhaiter les identifier.
"Les voyageurs ont changé leurs habitudes", a déclaré le directeur général de la SNCF, affirmant que la compagnie n'a pas jusqu'ici perdu une partie de sa clientèle de fumeurs. Selon lui, "la nouvelle tendance" pour les fumeurs est de "descendre aux arrêts intermédiaires pour prendre quelques bouffées (...). Ce n'est pas facile pour la régularité, ça peut retarder le départ des trains, mais les contrôleurs savent gérer ça".
La SNCF rappelle dans un communiqué que la loi Evin du 10 janvier 1991 interdit de fumer dans les moyens de transport affectés à un usage collectif. Les contrevenants s'exposent à une amende de 45 euros, selon la compagnie.
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