c'est plus de deux fois plus qu'un abonnement de TC
Je ne comprends donc pas pourquoi tu veux ces garages supplémentaires?
c'est plus de deux fois plus qu'un abonnement de TC
http://www.predit.prd.fr/predit3/documentFo.fo?cmd=visualize&inCde=33795 (mai 2008)le Predit a écrit:- un risque social d'inégalité croissante de l'accès
à la mobilité et de « panne de la demande » liés
à la dérive des coûts, à la baisse des revenus
disponibles et à des « business models » inadaptés ;
- un risque économique, lié à la perte de compétitivité
des acteurs français du transport ;
- un risque d'inadaptation structurelle de l'offre,
lié à l'incapacité d'adapter les systèmes de
transport à la nouvelle géographie des flux et à la
réorganisation des choix modaux (saturation des
transports collectifs...) ;
- et enfin, un risque de financement lié à la difficulté
de trouver des ressources venant en substitution
des budgets publics.
Biglower a écrit:Déjà , l'augmentation de la fréquentation va peut-être apporter des liquidités supplémentaires mais il est bien évident que ça ne suffira pas.
Paris-Normandie a écrit:En ville, les bus ont la cote
Les autobus séduisent
Au siège de l'Union des transports publics (UTP), qui fédère 170 opérateurs sur l'ensemble du territoire, l'augmentation du nombre de passagers est évaluée à plus de 6 % sur les premiers mois de l'année.
« Il existe un lien très net entre cette progression du transport en commun et la flambée des prix du carburant », souligne Bruno Gazeau, délégué général. « Mais ce n'est pas l'unique raison. Cette hausse est également liée aux aménagements réalisés, et à l'amélioration de l'offre. Partout où l'usager est assuré de la fréquence, de la régularité et de la ponctualité des services, le transport public conquiert des parts de marché ».
Cette part, qui est de 12 % à l'échelon national, se situe entre 30 et 50 % dans les grandes villes, et dépasse 60 % à Paris. « L'évolution est la plus forte pour les trajets de plus de 20 km », indique Bruno Gazeau. « Et nous ne sommes pas arrivés au terme : de plus en plus, les gens vont combiner la voiture et le transport en commun. Il y a un an, ils le faisaient par sensibilité écologique. Maintenant, ils ajustent leur comportement par souci d'économie ».
C'est le cas pour le carburant. Mais aussi pour le stationnement et les frais annexes. Ainsi à Dieppe, lorsque la nouvelle municipalité a décidé de rétablir la gratuité d'un parking sur le front de mer, le printemps dernier, l'augmentation du nombre d'abonnés au réseau Stradibus a eu tendance à se tasser. « Cette hausse était antérieure à la flambée des cours du pétrole. Elle a démarré début 2007, avec + 6 à +8 % d'abonnements grand public », relève le directeur, Benoît Rigaud. « Maintenant, les gens combinent les deux modes de déplacement. Ils viennent en voiture le matin, utilisent le transport à la demande à l'heure du déjeuner, puis repartent le soir au volant ».
A Evreux, où la Société des transports urbains s'est associée à la journée du transport public, le 17 septembre, Thierry Merer, le directeur, se réjouit de l'inscription de nouveaux abonnés, par obligation ou par choix. « Le transport en commun, c'est cinq à dix fois moins cher que l'utilisation de sa propre voiture », assure-t-il, faisant état d'abonnements mensuels illimités pour 27,10 €.
A Rouen, où la TCAR combine métro (28 rames) et autobus (191 bus + 66 bus guidés TEOR), la direction estime qu'il est encore un peu tôt pour identifier, parmi les nouveaux clients, ceux qui délaissent leur véhicule personnel pour des raisons purement économiques.
Patrice Nunez, président de la compagnie de transports de la Porte Océane au Havre, a noté une hausse de fréquentation de 5,38 % durant les mois d'été, et un nombre d'abonnés passé, depuis la rentrée, de 18 954 à 20 720. C'est en partie le fait, estime-t-il, d'une baisse des tarifs en faveur notamment des jeunes, et de l'augmentation de l'offre de transport. « Mais nous n'avons pas constaté de période de test sur les nouvelles dessertes, comme c'est habituellement le cas ». Un autre facteur vient donc se conjuguer au redéploiement du réseau. Probablement, dit-il, la flambée des cours du pétrole, qui incite l'usager à laisser, autant que possible, la voiture au garage.
F. B.
Malheureusement, il n'y a pas d'emprise ferroviaire inutilisée aux sorties de Marseille ( part la voie dite de Valdonne d'Aubagne à Gardanne dont d'ailleurs la CC Pays d'Aubagne parle de réouverture à terme).nanar a écrit:Je connais mal les extérieurs de Marseille, mais il y aurait peut être des solutions à étudier en récupérant des parties d'emprises ferroviaires pour y poser des lignes de tramway à bas prix
nanar a écrit:Attention, je ne parle pas obligatoirement de voies inutilisées,
mais du foncier sur lequel ces voies sont posées, et de la place résiduelle qui parfois existe.
J'ai remarqué dans les plans de cadastres que ce foncier atteint souvent des largeurs importantes de part et d'autre des voies.
Attention, le cadastre ne donne pas l'indication de la pente du terrain. Les surlargeurs sont effectivement très fréquentes, mais c'est à cause du relief : quand la voie est en déblai ou en remblai...
On peut effectivement utiliser ces espaces, mais à grands frais, en créant des murs de soutènement ou des viaducs.
nanar a écrit:Un mur vertical pour remplacer un remblai oblique et gagner qqs mètres de largeur de plateforme va coûter environ 3 000 euros par mètre linéaire ou 3 M€ par km
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