Le Parisien a écrit:
Grand Paris Express : les lignes desservant les sites olympiques pas prêtes pour 2024 ?
Les lignes 16 et 17 du Grand Paris Express devaient être mises en service en 2024, pour relier des sites des JO en Seine-Saint-Denis. Mais le calendrier accuse aujourd’hui un retard d’un an, difficile à rattraper…
« Ce ne sera pas prêt pour 2024. » Selon une source proche du dossier, c'est certain, les premiers tronçons des futures lignes 16 et 17 du Grand Paris Express, entre Saint-Denis Pleyel et Aulnay-sous-Bois d'une part et Le Bourget Aéroport d'autre part, ne seront pas mis en service à temps pour les Jeux olympiques.
Certes, le chantier de ce futur métro, actuellement en construction en Seine-Saint-Denis, s'accélère. Ce mercredi, trois tunneliers ont été baptisés d'un seul coup au Bourget, cinq mois après un premier engin qui a commencé à creuser depuis Aulnay. Mais les 19 premiers kilomètres de galeries ne verront très probablement pas circuler de métros remplis de sportifs et spectateurs des JO 2024, dans — déjà — à peine quatre ans et demi.
« Cela ne se jouera à pas grand-chose à l'échelle d'un tel projet, six mois, peut-être un an de retard, estime l'un des hauts cadres d'une entreprise engagée dans ce chantier du siècle. Le planning a glissé d'un an, on essaie d'optimiser le calendrier pour rattraper le maximum de temps, mais ce ne sera pas suffisant ». Un autre acteur qui postule, lui, pour faire rouler ces nouveaux métros, confirme : « Ça paraît compliqué ».
Fin décembre, c'est un membre du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris (SGP) qui lâchait dans le Canard Enchaîné : « Je vous fiche mon billet que le métro des lignes 16 et 17 n'arrivera pas à temps au village olympique et au centre de presse du Bourget ». Le consensus technique semble désormais établi, à défaut d'être encore assumé publiquement et politiquement : les lignes 16 et 17 ne seront pas prêtes à l'été 2024.
La faute à Macron ?
Si pourtant, si officiellement, la SGP reconnaît « un calendrier contraint » et « des difficultés techniques », pour l'instant elle « ne remet pas en cause l'objectif de mettre en service les tronçons prévus pour les Jeux olympiques ».
Le chantier pharaonique de construction d'un nouveau métro en Ile-de-France est mené par l'Etat, via la SGP. Lancé au début des années 2010 sous Nicolas Sarkozy, confirmé avec un calendrier recalé sous François Hollande, ce grand projet prévoit la construction de 200 km de métros et 68 nouvelles gares, sur 4 lignes supplémentaires (15, 16, 17 et 18), et un prolongement (ligne 14). Et ce afin de desservir la banlieue grâce à une grande rocade autour de la capitale, et d'éviter ainsi la congestion dans Paris.
Le projet de Grand Paris Express a été remis à plat par Emmanuel Macron fin 2017, avant d'être finalement confirmé en février 2018, mais avec de nouveaux ajustements de calendrier, pour afficher des délais et des coûts « plus réalistes ». Mais cet audit, s'il a permis de conforter le projet, d'en assurer les ressources (35 milliards d'euros de budget en tout), a aussi fait perdre un temps précieux dans la course en avant vers 2024.
Grand Paris Express : les lignes desservant les sites olympiques pas prêtes pour 2024 ?
Après cette remise à plat, plusieurs lignes ont été repoussées, et d'autres ont été annoncées comme des lignes olympiques par le Premier ministre. Notamment ces premiers tronçons des lignes 16 et 17. Ce métro doit relier à terme Saint-Denis Pleyel à Noisy-Champs (ligne 16) et Le Mesnil-Amelot (ligne 17).
Les premiers tronçons avaient été confirmés pour 2024, car ils reliaient le grand pôle de Pleyel à Saint-Denis (93), proche du futur village olympique et du Stade de France, aux sites olympiques de La Courneuve et surtout du Bourget, où se trouveront le Village des médias et ses 15 000 journalistes.
Des difficultés dans les travaux souterrains
Le marché pour ce tronçon de la ligne 16, en attente pendant de longs mois, a alors été attribué à un groupement piloté par Eiffage, en février 2018. Celui pour le petit bout de la 17 entre Le Bourget et Gonesse l'a été à Demathieu Bard, un an plus tard. Il a dès lors fallu faire vite : prendre possession des emprises de chantiers, recruter à tours de bras de la main-d'œuvre, faire venir des tunneliers, creuser des kilomètres de « parois moulées », ces murs souterrains qui composeront la « boîte » des futures gares.
Si cette partie génie civil est désormais bien engagée, elle n'est pas à l'abri d'aléas entraînant des retards (sols instables, fuites d'eau…). D'autres projets de métro (comme les prolongements des lignes 12 ou 14) en ont fait les frais. « On croyait bien connaître la géologie francilienne. Ce n'est pas vrai », indique un dirigeant d'entreprise du BTP. Ce serait notamment à cause de ces complexités de génie civil que le chantier accuse un an de retard.
La SGP cherche maintenant à « contracter » le calendrier pour rattraper ce retard. Mais alors qu'il ne reste que quatre ans avant de faire rouler les premiers métros, beaucoup se disent sceptiques sur la possibilité d'y parvenir. Au point que les groupes de travail qui se mettent en place pour préparer le plan de transports lors des JO ne prennent pas en compte le métro. « On est obligés de faire des projections sans le métro », reconnaissait ainsi Alain Krakovitch, directeur général de SNCF Transilien, cet été.
L'exploitation des lignes n'est pas encore réglée
Car même sans aléas techniques, la tâche semble difficile pour les lignes 16 et 17. Notamment parce que, au-delà des tunnels à creuser et du béton à couler, il faut créer de A à Z un nouveau système ferroviaire : rails, caténaires, signalisation… Le tout pour un matériel roulant qui est certes commandé à Alstom, mais loin d'être construit et livré.
On ne sait pas non plus encore qui fera rouler ce nouveau métro. Les appels d'offres vont être lancés cette année par Ile-de-France Mobilités (IDFM), l'autorité organisatrice des transports dans la région. Les règles de la concurrence s'appliquant pour toute nouvelle ligne de transport en commun, la RATP n'a plus son monopole sur les métros franciliens. Elle sera candidate à l'exploitation, tout comme Keolis, filiale de la SNCF. Et peut-être d'autres. Et le processus de sélection prendra deux ans, l'opérateur ne sera désigné qu'en 2022. Un timing là aussi serré. « Sous François Hollande, on a été roulés dans la farine pendant cinq ans en nous cachant des retards. Aujourd'hui la SGP nous dit que son calendrier est tenable, je souhaite qu'il soit tenu », prévient Valérie Pécresse, présidente d'IDFM.
A Londres déjà presque deux ans de retard…
Enfin, ce tout nouveau métro automatique, sans conducteur, devra être piloté depuis un centre de commande à distance, situé à Aulnay-sous-Bois, sur les friches de l'ancienne usine PSA. Aujourd'hui, à quatre ans de la mise en service, le marché pour la construction de ce poste central n'est même pas attribué. Il faut encore le construire, puis il faudra au minimum plusieurs mois pour faire rouler les nouveaux métros, tester ce nouveau matériel et ces nouvelles technologies.
Un processus plus long que dans le cas d'un prolongement de ligne existante, où le matériel et la technologie existent déjà, comme sur la ligne 14. A Londres, le projet de nouveau métro Crossrail est par exemple fini depuis deux ans pour sa partie génie civil, mais les métros, prévus pour fin 2018, n'y roulent toujours pas… Un sort qui, selon toute vraisemblance, concernera aussi les lignes 16 et 17 en 2024.
Grand Paris Express : la ligne 16 pourrait desservir la Seine-et-Marne dès 2028
La ligne 16 du Grand Paris Express devrait relier la gare de Chelles dès 2028, avec deux ans d’avance sur le calendrier initial. Les travaux de la ligne 17, qui partira du Mesnil-Amelot doivent, eux, débuter l’an prochain.
Les lignes 16 et 17 du Grand Paris Express se rapprochent un peu plus de la Seine-et-Marne. La réalisation de ces deux futures lignes du supermétro, initialement prévue en 2024 et reportée à 2030 il y a trois ans, est devenue plus concrète ces dernières semaines.
Si les tronçons des deux lignes qui doivent rallier les futurs sites olympiques pourraient ne pas être livrés en 2024, le calendrier se précise pour les sections qui doivent arriver en Seine-et-Marne.
Il y a une dizaine de jours, lors de la réunion du comité de pilotage de la ligne 16 en mairie de Chelles, les représentants de la Société du Grand Paris (SGP) ont assuré que le dernier tronçon qui doit rallier les gares de Clichy-Montfermeil et Chelles sera livré deux ans plus tôt que prévu.
« La SGP ainsi que la SNCF se sont engagées à tout mettre en œuvre pour que la gare de métro de Chelles et donc le bouclage de la ligne 16 soient réalisés en 2028. Je me félicite que le planning de livraison initialement fixé à 2030 soit réduit de deux ans », s'est réjoui Brice Rabaste (LR).
Ce jour-là, le maire de Chelles recevait aussi ses homologues des communes de Seine-Saint-Denis traversées par la ligne 16, ainsi que la maire de Champs-sur-Marne.
La satisfaction du maire de Chelles
Aujourd'hui se tenait en Mairie de Chelles la réunion du comité de pilotage de la ligne 16 du Grand Paris Express. A...
Gepostet von Brice Rabaste am Dienstag, 28. Januar 2020
La SGP confirme la livraison avancée de la gare de Chelles… tout en jouant la prudence. « La concomitance entre plusieurs mises en service de tronçons du Grand Paris Express en 2030 risque de mobiliser les mêmes équipes techniques, tant de la SGP que des entreprises, sur une courte période. Les appels d'offres programmés de 2020 à 2022 vont aussi mobiliser fortement les équipes des entreprises au risque d'amener certaines à ne pas se positionner sur tous les dossiers. C'est pourquoi la SGP a souhaité avancer le dossier d'appel d'offres du génie civil du lot 3, afin de permettre une éventuelle mise en service plus tôt de la section entre les gares de Clichy-Montfermeil et de Chelles. »
La date de 2028 reste donc « à confirmer, notamment en raison des fortes interfaces avec la ligne du RER E ».
La ligne 17 desservira le nouveau terminal de l'aéroport de Roissy
Si l'horizon 2030 demeure inchangé pour la ligne 17, qui doit relier la gare de Saint-Denis-Pleyel (Seine-Saint-Denis) à celle du Mesnil-Amelot, les travaux pour raccorder cette dernière au futur terminal 4 de l'aéroport de Roissy devraient débuter lors du chantier du futur équipement aéroportuaire, en 2021.
Une nouvelle qui satisfait les élus de la communauté d'agglomération de Roissy Pays de France (CARPF) et les rassure sur la volonté de l'Etat de maintenir la ligne 17 dans son intégralité.
« Le tunnel qui raccordera la gare du Mesnil-Amelot au terminal 4 sera réalisé en même temps que le futur terminal et sera creusé depuis la gare du Mesnil-Amelot », se félicite le maire de la commune Alain Aubry (SE), qui siège également au conseil de cette intercommunalité située à cheval sur la Seine-et-Marne et le Val-d'Oise.
« Nous sommes extrêmement attachés à la ligne 17, assure le groupe ADP. Elle est essentielle pour la desserte du terminal 4 en 2030. Nous considérons indispensable qu'elle se prolonge en même temps jusqu'au Mesnil-Amelot, pour permettre l'accès depuis la Seine-et-Marne. »
Là encore, la SGP confirme… et ajoute une réserve : « Le démarrage des premiers travaux du Grand Paris Express sur ce secteur est, à ce stade, prévu en même temps que la construction du nouveau terminal. Cependant, ce calendrier n'est pas encore arrêté à ce jour ».
Des élus rassurés mais vigilants
Le président de la CARPF Patrick Renaud (DVD) reste donc sur ses gardes. Ces derniers mois, l'élu craignait que l'abandon du projet EuropaCity en novembre dernier ne menace la pérennité du dernier tronçon de la ligne entre le Triangle de Gonesse et Le Mesnil-Amelot, tout comme le développement du secteur de la gare de Gonesse (Val-d'Oise).
« L'information m'a été confirmée par Edward Arkwright, le directeur exécutif d'ADP lors d'une rencontre du Club des acteurs du Grand Roissy, glisse le président de la CARPF. C'est une bonne nouvelle mais nous restons vigilants car il est hors de question que les rails passent en souterrain sous la gare de Gonesse pour rallier celle du Mesnil-Amelot. Nous ne voulons pas d'une gare au milieu des champs à Gonesse ! »
Ces bonnes nouvelles interviennent alors que le chantier… est en suspens. La SGP rappelle que « les travaux de la ligne 17 sont suspendus temporairement pendant un an suite aux demandes de compléments faites par le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis) concernant l'autorisation environnementale de la ligne 17. La SGP travaille pour répondre au tribunal et les travaux pourront redémarrer dès que la suspension des travaux aura été levée. »
Métro du Grand Paris : les lignes 16 et 17 ne seront pas prêtes pour 2024
Elles devaient relier les sites olympiques de Saint-Denis au Bourget dans un calendrier très serré. Mais le secrétaire d’Etat aux transports a confirmé le retard des lignes 16 et 17 du métro Grand Paris Express.
Le secrétaire d'Etat aux transports, Jean-Baptiste Djebbari, l'a confirmé ce lundi matin sur RTL. « Le calendrier était déjà tendu. Le Covid décale encore un petit peu le calendrier. Je vous confirme que l'accès (aux sites des Jeux olympiques) ne sera possible qu'avec la ligne 14 dont l'extension est actuellement en cours », a déclaré le secrétaire d'Etat.
l'article complet :https://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/metro-du-grand-paris-les-lignes-16-et-17-ne-seront-pas-pretes-pour-2024-22-06-2020-8339934.php
tml a écrit:Métro du Grand Paris : les lignes 16 et 17 ne seront pas prêtes pour 2024
Elles devaient relier les sites olympiques de Saint-Denis au Bourget dans un calendrier très serré. Mais le secrétaire d’Etat aux transports a confirmé le retard des lignes 16 et 17 du métro Grand Paris Express.
Le secrétaire d'Etat aux transports, Jean-Baptiste Djebbari, l'a confirmé ce lundi matin sur RTL. « Le calendrier était déjà tendu. Le Covid décale encore un petit peu le calendrier. Je vous confirme que l'accès (aux sites des Jeux olympiques) ne sera possible qu'avec la ligne 14 dont l'extension est actuellement en cours », a déclaré le secrétaire d'Etat.
l'article complet :https://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/metro-du-grand-paris-les-lignes-16-et-17-ne-seront-pas-pretes-pour-2024-22-06-2020-8339934.php
Le Parisien a écrit :
Le Conseil d’Etat valide définitivement la ZAC du Triangle de Gonesse
Cette décision concerne l’aménagement des terres agricoles sur ce site où devait voir le jour EuropaCity, objet d’une guerre judiciaire depuis des années. Pas de quoi inquiéter les opposants.
C'est une énième décision de justice sur un dossier polémique de longue date. Le Conseil d'Etat vient de définitivement valider la création de la zone d'aménagement (ZAC) du Triangle de Gonesse, selon l'AFP. Il s'agit de la plus haute juridiction administrative.
C'est sur ce site val-d'oisien, constitué aujourd'hui de 299 ha de terres agricoles, que devait voir le jour le controversé complexe de 80 ha EuropaCity, projet finalement annulé en novembre dernier par le gouvernement.
Née en septembre 2016 par arrêté préfectoral, cette ZAC, prévoyant également 800 000 m 2 de bureaux ou encore la seule gare du Val-d'Oise du Grand Paris Express, avait été annulée en mars 2018 par le tribunal administratif de Cergy-Pontoise à la suite des recours déposés par plusieurs associations dont le Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).
« Cela ne va pas nous perturber »
L'Etat et l'aménageur public Grand Paris Aménagement avaient alors interjeté appel : la cour d'appel leur avait cette fois-ci donné raison. Le CPTG a donc porté l'affaire devant le Conseil d'Etat. Des recours sont également en cours sur plan local d'urbanisme (PLU) de Gonesse.
« Il fallait que l'on aille jusqu'au bout. Évidemment, nous aurions préféré le contraire mais cela ne va pas nous perturber. On prépare déjà la suite de notre mobilisation avec un grand rendez-vous », affirme ce mercredi le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), Bernard Loup en apprenant la nouvelle.
Pour les opposants, ça ne se joue plus devant la justice
Pour l'écologiste, cette décision de justice n'apparaît « pas en phase » avec l'actualité. « On va regarder le jugement mais le contexte actuel va plutôt dans notre sens que ce soit le rapport de la commission citoyenne ou les élections municipales, souligne-t-il. Au stade où on en est on a surtout l'impression que cette ZAC et l'urbanisation des terres de Gonesse sont surtout dans les mains du gouvernement plus que des juges. »
Et de rappeler l'échéance à venir avec la remise prévue du rapport de Francis Rol-Tanguy chargé d'une par l'Etat d'une mission sur le devenir du Triangle de Gonesse après l'annulation soudaine d'EuropaCity. L'urbaniste et haut fonctionnaire devrait rendre sa copie définitive dans les prochaines semaine.
G.E. a écrit:Un nouveau fiasco peu acceptable quand on accueille le monde entier et qu'on le sait bien à l'avance. Le Covid aura bon dos pour justifier délais et coûts non respectés.
Grand Paris Express : le ministre Djebbari croit en l'ouverture de la ligne 16 pour 2024
Selon le ministre des Transports, "l'ambition" reste toujours une mise en service du premier tronçon de la ligne 16 du futur réseau de métro francilien avant le lancement des Jeux Olympiques de Paris 2024.
Et si finalement le super métro arrivait bien au nord de Paris à l'heure pour les Jeux Olympiques de 2024 ? C'est en tout cas ce qu'espère toujours le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari.
En effet, dans une interview au Parisien publiée ce 12 janvier 2021, il déclare : "sur la ligne 16, nous sommes justement en train de travailler à des scénarios alternatifs pour que le premier tronçon, entre Saint-Denis - Pleyel et Le Bourget RER, soit bien ouvert avant les JO de 2024". Rien n'est encore certain cependant, "la faisabilité ne sera confirmée qu'une fois que les tunneliers auront suffisamment avancé au printemps".
Seul le report de la ligne 17 est confirmé cette fois
Le calendrier était dès le début contraint pour cette section, hors covid et les retards qui en découlent. Et le ministre délégué aux Transports avait reconnu en juin 2020 que l'objectif d'une ouverture des lignes 16 et 17 pour les Jeux Olympiques s'était éloigné à cause de la pandémie. Il confirmait alors que la desserte des sites au nord de Paris, autour de Saint-Denis, ne serait "possible qu'avec la ligne 14, dont l'extension est actuellement en cours". Jean-Baptiste Djebbari, cette fois, ne reconnaît avoir annoncé que "le report après les JO de la ligne 17 au Bourget Aéroport".
Article complet : batiactu.com
En parallèle, la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports demande "le gel de tous les travaux de la ligne 17 au nord de l’aéroport du Bourget et notamment ceux de la gare du triangle de Gonesse, tant que l’avenir de cette zone n’a pas été totalement défini, d’autant que cette urbanisation est de plus en plus contestée." La FNAUT a écrit ce mercredi au Premier ministre Jean Castex pour lui demander de revoir la pertinence de cette ligne.
otto a écrit:Valérie Pécresse réclame l'évacuation de la ZAD de GonesseEn parallèle, la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports demande "le gel de tous les travaux de la ligne 17 au nord de l’aéroport du Bourget et notamment ceux de la gare du triangle de Gonesse, tant que l’avenir de cette zone n’a pas été totalement défini, d’autant que cette urbanisation est de plus en plus contestée." La FNAUT a écrit ce mercredi au Premier ministre Jean Castex pour lui demander de revoir la pertinence de cette ligne.
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