dark_green67 a écrit:D'un autre côté, même avec un trafic en baisse très sensible il y a toujours des bouchons, ce qui montre bien qu'à plusieurs endroits l'infrastructure est totalement inadaptée.
https://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/bus-express-vehicules-autonomes-voies-cyclables-quel-avenir-pour-les-routes-franciliennes-02-02-2022-ZYIZMS4FYVESZNNKD2GBPDMCGQ.php?utm_campaign=facebook_partage&utm_medium=social&fbclid=IwAR1L3OVPiAFXXCHmJJI2mLzy-5uB9k5VHpn1Ym-ZeC0H0hLbZ2etgFPvEsQ
Bus Express, véhicules autonomes, voies cyclables... Quel avenir pour les routes franciliennes ?
A l’invitation du Département de l’Essonne, des experts des mobilités se réunissent ce jeudi à l’Opéra de Massy pour un colloque sur l’avenir du réseau routier. Un thème crucial pour la qualité de vie en Ile-de-France.
À quoi ressembleront les déplacements en Île-de-France après la longue crise du Covid-19 ? Comme sera utilisé le réseau routier métropolitain, hérité des Trente Glorieuse et du « tout voiture » ? La généralisation du télétravail, le changement climatique, les véhicules autonomes et les modes doux (vélos, marche, trottinettes) auront sans aucun doute un impact profond sur les mobilités dans les prochaines décennies.
À l’initiative du conseil départemental de l’Essonne, plusieurs experts et dirigeants du monde des transports se réunissent pour un colloque inédit, ce jeudi 3 février à l’Opéra de Massy. La journée de réflexion est intitulée : « Quelles routes métropolitaines à l’horizon de la neutralité carbone ? »
Dans un monde idéal, tout un chacun aurait accès facilement à des transports collectifs propres et très « capacitaires », tels que le métro ou les trains urbains. Mais dans les faits, la route reste le moyen le plus largement utilisé en France pour les déplacements du quotidien.
« La route, infrastructure polyvalente et universelle, restera un support de mobilité quotidienne incontournable à travers des usages en pleine recomposition. Qu’il s’agisse du développement des mobilités douces, des engins de déplacement personnel électriques, de l’émergence de nouvelles pratiques de partage de véhicules, du développement du transport par autocar, ou tout simplement de la diffusion de nouvelles motorisations des véhicules particuliers », estime François Durovray (LR), le président du conseil départemental de l’Essonne.
Loin de « bannir l’automobile », l’élu, par ailleurs membre du conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités, plaide pour une modernisation des infrastructures routières et le développement de voies réservées pour les bus Express notamment. Là où elles sont implantées, les lignes de bus sur autoroute qui permettent d’éviter de longs embouteillages rencontrent un franc succès. Serait-ce un exemple de « route décarbonée et durable » ?
Face à des équipements vieillissants et saturés, les pouvoirs publics et les opérateurs de transports doivent se réinventer. Cette journée, où sont conviés des spécialistes de haut niveau, a pour but d’alimenter la réflexion. L’ensemble des débats sera retransmis sur Internet.
GPS Nico a écrit:... et une concertation du 16 janvier au 15 février 2023 pour des voies dédiées aux mobilités collectives sur le réseau autoroutier francilien.
Il ne faudrait surtout pas recommencer avec les déboires de la voie dédiée sur l'A15, où tout s'est fait dans la plus grande discrétion à grands frais de PMV et signalisations, avant que le tout soit.. abandonné.
Dans le cadre des Jeux de Paris 2024, des voies dédiées dites « Olympiques et Paralympiques » seront réalisées sur des voiries existantes et dédiées aux personnes accréditées et aux services de secours et de sécurité. À l’issue des Jeux, des voies seront conservées sur trois axes (sur le Boulevard Périphérique, l’A1 et l’A13), pour devenir les voies dédiées dites « héritage », visant à favoriser les modes de transports plus écologiques (notamment covoiturage et transport collectif).
G.E. a écrit:Comme d'habitude avec ce département, beaucoup de baratin et peu de projets au final. Le document est d'ailleurs très creux sur les grands projets, on parle plus d'entretien et de giratoires que de dépenses d'investissement.
frantz58 a écrit:Le département de l'Essonne dévoile son Schéma directeur de la voirie départementale (SDVD). Ce n'est pas loin de 600 Millions d'euros qui devrait être investi sur la période 2023 - 2033.
https://www.essonne.fr/fileadmin/user_u ... sse_V7.pdf
radial a écrit:frantz58 a écrit:Le département de l'Essonne dévoile son Schéma directeur de la voirie départementale (SDVD). Ce n'est pas loin de 600 Millions d'euros qui devrait être investi sur la période 2023 - 2033.
https://www.essonne.fr/fileadmin/user_u ... sse_V7.pdf
Rien sur le projet de nouveau pont sur la Seine entre Ris-Orangis et Villeneuve ? Alors que c'est un besoin criant et urgent depuis des décennies ?
J'aurais mal lu ?
radial a écrit:Désolé, je voulais dire "entre Juvizy-Draveil et Villeneuve St Georges". Le projet de pont entre Montgeron et Athis-Mons.
Qui soulagerait celui de Villeneuves St Georges, perpétuellement embouteillés, et celui de Draveil-VJuvizy, de peu d'intéret hors locaux car peu accessible.
De façon générale, il n'y a pas assez de ponts sur la Seine en aval de Paris. En cas de problème sur l'A86 ou la Francilienne, il devient impossible de la franchir d'est en ouest le matin.
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