guy21 a écrit:La solution pour les banlieusards qui le peuvent : poser un jour de RTT le 20 septembre (ou faire du home office).
On reconnaîtra à Mme Hidalgo le mérite de nous prévenir suffisamment tôt, cependant.
Ca tombe un dimanche...
guy21 a écrit:La solution pour les banlieusards qui le peuvent : poser un jour de RTT le 20 septembre (ou faire du home office).
On reconnaîtra à Mme Hidalgo le mérite de nous prévenir suffisamment tôt, cependant.
lopga a écrit:guy21 a écrit:La solution pour les banlieusards qui le peuvent : poser un jour de RTT le 20 septembre (ou faire du home office).
On reconnaîtra à Mme Hidalgo le mérite de nous prévenir suffisamment tôt, cependant.
Ca tombe un dimanche...
nanar a écrit:Aucun besoin d'obtenir une dérogation. La journée sans voiture est à la bonne volonté de chacun, et on ne dénonce pas les gens qui roulent...
djakk a écrit:À Pékin, on a démoli récemment des quartiers du Moyen-Âge, chose qu'on faisait en France jusque dans les années 80 (le Vieux-Lyon y a échappé de peu), puis, protection du patrimoine ; donc oui en France on a 30 ans d'avance sur la Chine, et en 2050 les chinois se remettront au vélo (qui sera électrique)
eomer a écrit:Cela veut il dire qu'en 2050 les chinois abandonneront à leur tour la voiture pour revenir au vélo ?
Libération a écrit:La fin du périphérique, prix du retour des Verts au gouvernement ?
INFO LIBE
Les Verts conditionnent leur retour au gouvernement à une réduction a minima de l'emblématique axe parisien. Un symbole pour marquer le début d'une nouvelle ère ?
Le retour annoncé des Verts au gouvernement après la défaite de la gauche aux élections départementales - il pourrait être officialisé dès le 4 avril - devrait faire une victime, et pas des moindres : le périphérique parisien.
Car les écologistes, menés par Cécile Duflot et Jean-Vincent Placé, veulent une mesure forte d'application immédiate dans la corbeille de la mariée. L'objectif, pour eux, est que leur retour n'apparaisse pas comme un tripatouillage post-électoral mais comme le signe d'un changement en profondeur de la politique gouvernementale. "Hollande doit montrer qu'il prend en compte les aspirations des Français", affirme un cacique du parti. "Il faut d'emblée un symbole de ce que doit être la nouvelle croissance, responsable et durable."
Concrètement, le boulevard périphérique ne disparaîtrait pas mais ses caractéristiques seraient fortement réduites : passage à deux fois deux voies (contre deux fois quatre voies actuellement sur la plupart du parcours), réduction de la vitesse à 50 km/h, systématisation des radars, installation de feux rouges aux principales portes. Un boulevard urbain normal, en somme, ou " axe apaisé" selon la phraséologie verte. La même recette pourrait être appliquée aux tronçons finaux des autoroutes franciliennes (à l'intérieur de l'A86).
La voie vers la congestion ? Pas forcément. Les Verts s'appuient sur plusieurs études qui démontrent que le trafic longue distance serait détourné vers d'autres axes, comme la Francilienne. Quant au trafic pendulaire, l'objectif est clairement le dissuader. Et la baisse des émissions de particules fines serait "avérée et significative". Pas très populaire pour le banlieusard, certes. "Mais c'est le prix à payer si on veut vraiment du retour des Verts", martèle Placé.
Les écolos peuvent être d'autant plus fermes là-dessus qu'ils peuvent compter sur une alliée de poids au sein du gouvernement : Ségolène Royal. La ministre du développement durable, également en charge des transports, est même grandiloquente. Alors que la France doit accueillir cette année la méga-conférence environnementale COP21, elle voit là pour notre pays la mesure-phare qui marquera "une révolution urbanistique, rien moins que l'acte fondateur de la ville du 21ème siècle : Paris a eu la Tour Eiffel pour l'exposition universelle de 1889, elle se réconciliera avec sa banlieue par des boulevards apaisés pour la COP21 de 2015".
Et la ministre de s'enthousiasmer : pas de raison que la province n'ait pas elle aussi sa révolution culturelle. Certaines coupures urbaines majeures de quelques grandes villes de l'Hexagone pourraient bénéficier dès cet été du même traitement. Sont évoquées l'arrivée de l'A1 à Lille, la traversée de Lyon par l'A7 et la rocade ouest de Bordeaux.
Le plus sceptique demeure le premier ministre Manuel Valls, qui craint de voir la gauche s'aliéner définitivement l'électorat populaire. "On va encore dire qu'on fait la politique des bobos", craint-on dans les couloirs de Matignon. Pas complètement faux...
P. de Vis
Coltrane a écrit:Mon dieu que de débilités
eomer a écrit:Coltrane a écrit:Mon dieu que de débilités
Auriom l'a envoye au bon moment...mais malheureusement, le serveur n'est pas passe a l'heure d'ete.
Coltrane a écrit:Mon dieu que de débilités
Samib a écrit:dommage que ce soit pas automatique
Retourner vers Politiques de transports
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité