basco - landais a écrit:Dans les années 80, nous avions étudié
basco - landais a écrit:Dans les années 80, nous avions étudié la possibilité qu'avaient émises les mairie de Sucy et de Bonneuil (pourtant d'obédience politique inverse) avec le soutien du CG 94, d'améliorer et d'augmenter la capacité du petit parking qui existait déjà coté ZA sucy Bonneuil
http://goo.gl/maps/1vDEm
Cela n'a pas abouti parce que la RATP n'avait pas voulu participer financièrement
Comme quoi .....
guy21 a écrit: ...et sans doute parce qu'elle envisageait déjà son utilisation comme terminus du TCSP Sucy-Pompadour, mais on en a déjà parlé ici.
L'emprise n'a d'ailleurs été utilisée qu'en partie par la gare terminale du bus, comme on le voit sur Google maps.
eomer a écrit: Remarquons au passage que ce sont les céréaliers, qui se gavent en permanence de subventions européennes dont il n'ont pas besoin, qui sont les premiers à pleurnicher.
Samib a écrit:C'et quand même bizarre un accident mortel en arrivant sur un barrage. Le pompier en question roulait peut être trop vite ...
Le Parisien a écrit:Selon le parquet de Pontoise, le camion, un poids lourd de 19 tonnes, était à l'arrêt lors de la collision. «Il avait mis ses warnings» mais la victime «n'a pas pu s'arrêter à temps». «A l'heure où ça s'est passé, il faisait nuit. La chaussée était mouillée et la route n'était pas éclairée», détaille Yves Jannier. «Habituellement, à cette heure là, la circulation est relativement fluide. La victime a peut-être été surprise» par le bouchon.
L'accident a eu lieu «à environ 2 km du rond-point dit de "La Croix Verte", sur la Francilienne (N104), dans le sens ouest-est», a précisé la préfecture.
Samib a écrit:Je ne suis pas objectif certes en travaillant dans l'élevage, mais quand on voit "l'inflation" du prix des céréales, comparée à celle du prix du lait par ex (en moyenne sur plusieurs années bien sûr), alors qu'ils gardent actuellement les mêmes aides à l'ha, il est temps de réformer un peu le truc. Les céréaliers, avec de grandes surfaces, gagnent très bien leur vie aujourd'hui, surtout ramené à l'heure de travail.
En termes d'agriculture et d'élevage, tout débat sur les prix, les "gagnants" et les "perdants" est de toute façon illusoire.
Le Figaro a écrit:Trafic routier: l'Ile-de-France au bord de la saturation
Depuis 2010, les kilomètres d'embouteillages aux heures de pointe ont augmenté de 26% près de la capitale. Chaque jour, plus de la moitié du périphérique parisien tourne au ralenti.
L'Ile-de-France est de plus en plus congestionnée. C'est ce que révèle mardi une étude du fournisseur d'informations V-Traffic, selon laquelle les kilomètres de bouchons aux heures de pointe ont augmenté de 26% dans la région depuis 2010. Une hausse qui atteint même 45%, le soir, dans le sens Paris-Banlieue. Pour Philippe Goudal, directeur de l'innovation chez Mediamobile, «cette situation s'explique doublement par les nombreux chantiers d'aménagement lancés ces dernières années et la politique de piétonnisation du centre-ville conduite par la mairie de Paris».
Le périph' au ralenti
Seul point positif, les encombrements sur le périphérique parisien ont diminué de 6% entre 2012 et 2013. Mais les difficultés rencontrées par les automobilistes sur la boucle sont quasi-constantes: en moyenne, leur vitesse au cours de la journée n'y dépasse pas les 32 km/h. Durant les pics horaires, vers 8 heures et 18 heures, 70% de l'axe périurbain sont saturés sur la voie intérieure. Les embouteillages atteignent souvent leur paroxysme entre la Porte d'Auteuil et la Porte d'Orléans, en raison des nombreuses connections autoroutières, des passages à deux voies et de la vétusté des infrastructures de ce tronçon. Dès 2015, la prolongation de la ligne 3b du tramway jusqu'à la Porte d'Asnières risque de compromettre davantage la circulation au nord de la capitale.
Les autoroutes engorgées
L'A6, la N118 et l'A4 sont les axes majeurs les plus touchés de la région aux heures de pointe. Matins et soirs, impossible d'y dépasser les 50 km/h. Sur le premier, qui dessert l'aéroport d'Orly et le marché de Rungis, les automobilistes ont perdu chaque jour 30 minutes en moyenne l'année dernière dans le sens Banlieue-Paris-Banlieue et 15 minutes dans l'autre sens. Des perturbations imputables aux travaux de rénovation des chaussées dans l'Essonne, entre mars et août derniers. Sur la nationale, qui permet de rallier Vélizy, les Ulis et Saclay, il fallait escompter, en semaine, 27 minutes de bouchons en moyenne au départ de Paris. Enfin, les conducteurs empruntant quotidiennement l'autoroute de l'Est ont été confrontés à 23 minutes de ralentissements en moyenne au cours de l'année 2013.
Le mardi, journée noire
Départ en weekend oblige, les kilomètres d'embouteillages enregistrés le vendredi dès 17 heures, les plus élevés de la semaine, étaient de 30% supérieurs à ceux du lundi soir l'année passée. Tout horaire confondu, le mardi était de loin la journée la plus difficile en 2013. Au niveau saisonnier, les mois d'hiver enregistrent les bouleversements les plus importants, expliqués par le passage à la voiture des motocyclistes. Sans surprise, le mois d'août est de loin le plus tranquille, avec un écart de 94% par rapport à la fin de l'année.
gavatx76 a écrit:(Je faisais référence à l'autre sujet, sur le périph' parisien, où l'on semblait dire que la congestion du périph' était en hausse de 26%)
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