dark_green67 a écrit:Il n'en reste pas moins que, même si on supprime quasiment toute circulation automobile, on ne supprime pas toute la pollution, loin de là (qu'on considère la remarque stupide ou pas…)
Nono a écrit:D'un autre côté, on ne sera plus à une ou plusieurs dizaines de milliards d'euros près.
Autant en profiter pour finir les morceaux de VE et contournements manquants et faire des métros et RER partout dans les grandes villes. Au moins, ça profitera à l'économie...
nanar a écrit:Oui : c'est pas comme si on vivait sur une planète aux ressources limitées, hein ?
Après la mise en place de cette "solution" les gens ne devront plus aller travailler ? Génial.Des solutions sont envisageables pour l'avenir tel que l'hydrogène par exemple (à condition qu'il soit fabriqué de manière propre), mais tant que cette solution ne sera en pas en place ou une solution équivalente, tu excuseras les gens de devoir aller travailler.
La façon dont tu déformes mes propos est tout simplement pathétique. Ce que j’entends par là, puisque tu fais preuve d'un talent incomparable pour ne pas vouloir comprendre, c'est que les gens utilisent à majorité des véhicules thermiques pour se déplacer à des fins professionnels étant donnés que dans de nombreux cas aucune alternative crédible existe que ce soit en matière de transport en commun ou de véhicule individuel fonctionnant à l'énergie propre.nanar a écrit:Après la mise en place de cette "solution" les gens ne devront plus aller travailler ? Génial.Des solutions sont envisageables pour l'avenir tel que l'hydrogène par exemple (à condition qu'il soit fabriqué de manière propre), mais tant que cette solution ne sera en pas en place ou une solution équivalente, tu excuseras les gens de devoir aller travailler.
Nono a écrit:D'un autre côté, on ne sera plus à une ou plusieurs dizaines de milliards d'euros près.
Autant en profiter pour finir les morceaux de VE et contournements manquants et faire des métros et RER partout dans les grandes villes. Au moins, ça profitera à l'économie...
Les Echos a écrit:Confinement : l'air parisien encore encombré de particules fines
Depuis un mois, les rejets dus au trafic routier ont diminué d'environ un quart et même de moitié le long de certains grands axes de l'agglomération parisienne. Mais les concentrations de particules fines n'ont pas suivi la même courbe, déplore Airparif.
Les bienfaits collatéraux du confinement , liés à la qualité de l'air, se confirment. Les rejets de dioxyde d'azote dans l'agglomération parisienne ont diminué depuis un mois, dans une fourchette comprise entre 20 à 25 % selon les semaines, selon un nouveau bulletin publié ce mardi par Airparif, l'organisme surveillant le niveau de pollution de la capitale. La baisse de ces gaz, principalement émis par les transports, atteint même 50 % le long des axes de circulation. Au bord de certaines grandes voies routières, les niveaux observés atteignent parfois ceux observés habituellement dans les parcs !
Cette fourchette encourageante est toutefois un peu moins large que celle (-30 % à -75 %) observée sur la même période par le réseau Atmo France dans les autres villes de l'Hexagone. Elle s'accompagne d'une diminution de 30 % des émissions de CO2, principale substance génératrice des gaz à effet de serre qui réchauffent l'atmosphère.
Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes si la pollution due aux particules - les PM10 et les PM2,5 dans le jargon des experts - connaissait une baisse de même intensité. Tel n'est pas le cas. En ce qui concerne ces polluants, aux origines multiples et pas seulement locales, « l'impact du confinement est resté moins visible […] avec des niveaux toujours soutenus certains jours », indique Airparif. Un dépassement du seuil d'information aux particules a même été constaté le 28 mars dernier.
Cette contre-performance tient à l'importance des concentrations de particules dite secondaires. Il s'agit de toutes celles qui se forment à partir des oxydes d'azote provenant du chauffage et de l'ammoniac relâché par l'agriculture. Les substances issues de ce cocktail circulent sur de très longues distances et sont en grande partie responsables de l'alerte du 28 mars dans laquelle les particules primaires, celles dues au trafic routier, n'ont que très peu joué (6 %). Aux particules inorganiques rejetées par l'agriculture et auxquelles 32 % des émissions de PM10 et PM2,5 sont imputables, est venue s'ajouter la douceur printanière du jour qui a amplifié ce processus chimique. La fraîcheur des températures la nuit, qui a entraîné un recours accru du chauffage, notamment au bois, l'a accéléré.
JOJO a écrit:Il vas falloir arrêter d'accuser la voiture de tous les maux d'autant plus qu'être seul dans sa voiture permet de se déplacer tout en respectant la distanciation sociale.
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