tanaka59 a écrit:2) Préconisation d'une nouvelle taxe sur les pneus.
tanaka59 a écrit:3) L'autre taxe est le remplacement de la TICPE par une taxe kilométrique. L'application au parc automobile thermique actuellement étant jugée trop compliquée, la taxe est belle est bien à l'étude pour le parc électrique par contre.
YET a écrit:Je le suis toujours demandé, vu que le fuel domestique est moins taxé que le gazole routier , comment ils n'ont pas pensé taxer différemment le kWh des convecteurs et le kWh des vehicules électriques. Ce serait logique, non?
basco - landais a écrit:C'est déjà prévu ...
Lors de l'installation de mon compteur Linky, le technicien a évoqué le problème, non des taxes, mais du raccordement d'une prise dédiée à la recharge d'un véhicule électrique qui serait, suivant ses dires, fortement recommandée pour pouvoir distinguer une recharge d'un usage courant
tanaka59 a écrit:Bonjour,basco - landais a écrit:C'est déjà prévu ...
Lors de l'installation de mon compteur Linky, le technicien a évoqué le problème, non des taxes, mais du raccordement d'une prise dédiée à la recharge d'un véhicule électrique qui serait, suivant ses dires, fortement recommandée pour pouvoir distinguer une recharge d'un usage courant
Surtout que pour utiliser la charge d'une VE il faut un prise de type industrielle (dite pentaphasée ou tétrapolaire) : https://www.lelectricien.net/207-prise-tetrapolaire . C'est de 230 à 400 Volts.
Par rapport au compteur il y a un donc une dérivation . Le réseau domestique étant sur 230 Volts maxi
pour utiliser la charge d'une VE il faut un prise de type industrielle (dite pentaphasée ou tétrapolaire)
fredo_chato a écrit:Le rechargement domestique est surtout plus lent que le rechargement en borne car les puissance souscrites en individuel sont généralement de l'ordre de 6 à 9kVA et que la puissance des prises à installer pour une recharge est limitée par la réglementation pour suivre les contraintes techniques nottamement lorsque les installations électriques sont vétustes.
https://www.lavoixdunord.fr/1062727/art ... e-au-plomb
Plus aucun pays ne vend d’essence au plomb
L’essence au plomb n’est plus utilisée dans aucun pays du monde, a annoncé lundi l’ONU, saluant une « étape majeure » qui permettra de sauver chaque année plus d’1,2 million de vies et d’économiser plus de 2 400 milliards de dollars.
Près d’un siècle après les premiers avertissements sur les effets toxiques de l’essence au plomb, l’Algérie, dernier pays à utiliser ce carburant, a épuisé ses stocks le mois dernier, a déclaré le PNUE.
« L’application réussie de l’interdiction de l’essence au plomb constitue une étape majeure pour la santé dans le monde et pour notre environnement », s’est félicité Inger Andersen, directrice exécutif du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), dont le siège est situé dans la capitale kényane Nairobi.
La disparition de ce carburant marque « la fin d’une ère toxique », a souligné dans un communiqué Thandile Chinyavanhu, en charge des campagnes de Greenpeace sur le climat et l’énergie pour l’Afrique.
Une centaine de pays il y a 20 ans
« Cela montre clairement que si nous pouvons éliminer progressivement l’un des combustibles polluants les plus dangereux du XXe siècle, nous pouvons éliminer absolument tous les combustibles fossiles », a-t-elle ajouté.
Il y a encore 20 ans, plus d’une centaine de pays utilisaient l’essence au plomb, malgré des études scientifiques la pointant comme cause de morts prématurées, d’effets néfastes sur la santé et de pollution de l’air et des sols.
La première alerte a été donnée en 1924, lorsque des dizaines de travailleurs ont été hospitalisés et cinq déclarés morts après avoir souffert de convulsions dans une raffinerie du New Jersey (États-Unis). Néanmoins, jusqu’aux années 1970, presque toute l’essence vendue dans le monde contenait du plomb.
Lorsque le PNUE a lancé sa campagne en 2002, plusieurs grandes puissances, comme les Etats-Unis, la Chine et l’Inde, avaient déjà cessé d’utiliser ce carburant. Mais il est resté largement utilisé dans les pays à faible revenu.
Un premier pas
En 2016, après que la Corée du Nord, la Birmanie et l’Afghanistan ont cessé de vendre de l’essence au plomb, seule une poignée de pays exploitaient encore des stations-service fournissant ce carburant. L’Algérie a finalement suivi l’Irak et le Yémen parmi les derniers pays à s’en affranchir.
Le PNUE estime dans un communiqué que l’éradication de l’essence au plomb « évitera plus de 1,2 million de décès prématurés par an, augmentera les points de QI chez les enfants, économisera 2 440 milliards de dollars (2 034 milliards d’euros) à l’économie mondiale et réduira le taux de criminalité ».
Mais, ajoute le PNUE, l’utilisation des combustibles fossiles en général doit être considérablement réduite pour freiner les effets du changement climatique, notamment face à la hausse exponentielle annoncée des ventes de véhicules routiers sur les marchés émergents.
Émissions mondiales de gaz à effet de serre en hausse
« Le secteur des transports est responsable de près d’un quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre liées à l’énergie et devrait augmenter d’un tiers d’ici 2050 », a déclaré le PNUE, soulignant que 1,2 milliard de nouveaux véhicules seraient mis en circulation au cours des prochaines décennies.
« Cela comprend des millions de véhicules d’occasion de mauvaise qualité exportés d’Europe, des Etats-Unis et du Japon vers les pays à revenus intermédiaires et faibles revenus. Cela contribue au réchauffement de la planète et à la pollution de l’air et (est) susceptible de provoquer des accidents », a ajouté l’organisme.
Cette annonce intervient quelques semaines après un rapport du groupe d’experts climat de l’ONU (Giec) début août décrétant une « alerte rouge pour l’humanité », alors que le réchauffement planétaire s’opère de manière plus grave et plus rapide que redouté.
La planète devrait atteindre le seuil des +1,5ºC dix ans plus tôt que que la précédente estimation du Giec en 2018.
https://www.lavoixdunord.fr/1062727/art ... e-au-plomb
La disparition de ce carburant marque « la fin d’une ère toxique », a souligné dans un communiqué Thandile Chinyavanhu, en charge des campagnes de Greenpeace sur le climat et l’énergie pour l’Afrique.
Une centaine de pays il y a 20 ans
« Cela montre clairement que si nous pouvons éliminer progressivement l’un des combustibles polluants les plus dangereux du XXe siècle, nous pouvons éliminer absolument tous les combustibles fossiles », a-t-elle ajouté.
https://www.lavoixdunord.fr/1064321/article/2021-09-03/le-controle-technique-des-deux-roues-tel-qu-il-etait-envisage-est-abandonne
Le contrôle technique des deux-roues «tel qu’il était envisagé», est abandonné
Après plusieurs années de reports, côté gouvernement, et de manifestations, côté motards, le contrôle technique « administratif » qui devait être mis en place « n’existera pas » affirme le ministre des Transports.
Cet été, un décret publié au Journal officiel instaurait le contrôle technique obligatoire tous les deux ans pour les deux-roues motorisés à partir de 2023. Une mesure obligatoire au niveau européen mais longtemps repoussée en France et qui provoque la colère des motards. Mais le lendemain, Emmanuel Macron surprend en suspendant cette mesure sine die.
Interrogé ce vendredi sur RMC, le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari a indiqué que ce contrôle technique, « tel qu’il était envisagé » ne serait pas mis en place. Pour se conformer à la directive européenne, il y a d’autres voies que le contrôle technique classique, a expliqué le ministre qui dit vouloir sortir des « logiques administratives ». « L’objectif est de faire mieux et plus simple », tout en répondant aux objectifs de sécurité et de normes environnementales. Fin août, Emmanuel Macron avait déjà justifié la suspension de la mesure en estimant qu’il ne fallait pas « rajouter des contraintes ».
Côté sécurité, le ministre va en discuter avec les fédérations d’usagers, il devrait s’agir notamment d’un module de sécurité renforcé dans le permis de conduire. Côté environnement, plusieurs mesures sont à l’étude, l’une d’elles consistera à accompagner les propriétaires de scooters vers la transition électrique.
Mais le ministre a été clair : « Le contrôle technique administratif qui consiste à aller dans un endroit, payer 50 euros et recevoir un petit tampon : ça n’existera pas ».
le ministre a écrit:Le contrôle technique administratif qui consiste à aller dans un endroit, payer 50 euros et recevoir un petit tampon : ça n’existera pas
Samib a écrit: dans le principe le fait de contrôler les points de sécurités et pollution par quelqu'un d'indépendant qui ne fera pas de réparations et qui suis une procédure officielle, moi ça me semble pas idiot du tout
https://www.francesoir.fr/societe-trans ... ux-hackers
Danger avec les parcmètres connectés : les données sont exposées aux hackers
Le principe des horodateurs connectés peut rendre le paiement des places de parking beaucoup plus simple. Il suffit d’entrer son numéro de plaque d’immatriculation dans la machine, et l'horodateur, à l'aide d’une application mobile, indique en direct à l’utilisateur combien de temps il reste avant la fin du stationnement pour qu’il puisse modifier la durée en fonction de ses besoins. C’est une innovation très pratique, mais attention : lorsque l'on donne une autre plaque d’immatriculation que la sienne à l’application, elle indique où la voiture est garée ! Cela peut permettre à des malfaiteurs de suivre et surveiller les voitures et leurs passagers…
Certaines applications d'horodateur pourraient être détournées par des inconnus pour les surveiller
Comme l’explique Laurent Schmidt dans une vidéo publiée sur sa chaîne Youtube, après s’être un jour garé avec un ami et avoir enregistré sa plaque et celle de son ami sur la même application, il a continué à recevoir tous les mouvements de cette autre voiture les jours suivants. Cela pose un important problème de sécurité. En effet, en répétant l'expérience, il a pu confirmer que l’application d’horodateur connecté ne vérifie à aucun moment que la plaque d’immatriculation enregistrée appartenait à la personne qui l’utilisait. À cause de cette faille, ces informations pourraient servir à des voleurs qui veulent savoir où est garée la voiture et pour combien de temps.
“La faille est énorme, le risque est extrêmement grave”
Des villes ont déjà rendu incontournables ce système de paiement par application, et si c’est le cas chez vous, vous risquez d'être surveillés par des "prédateurs" qui pourront suivre vos mouvements. “La faille est énorme, le risque est extrêmement grave”, alerte Laurent Schmidt, qui a contacté la compagnie présentant cette faille et attend des réponses de l’entreprise pour qu’une solution soit trouvée.
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