Bonjour,
jml13 a écrit:Même si
je suis d'accord , qui aujourd'hui se soucie du numéro de la route sur laquelle il roule ? 0,1 % des gens ?
En cas d'accident ou de travaux suite à des intempéries.
Communes, intercos, département, voire Etat peuvent se renvoyer la balle... D'où des situations ubuesques ou suite à un sinistre un équipement / infra va rester des mois indisponibles ...
jml13 a écrit:Ceux qui savent encore lire une carte ? Et, surtout, qui emprunte la route sur des centaines de km alors qu'il existe une autoroute la longeant ? Très très peu...
Le contribuable lui même... Est-il plus efficace d'avoir un département et les services de la voirie de l'Etat à payer pour faire des études ? Ou bien démultiplier le nombre de strates administratives, de couleurs politiques, de politiques différentes ? Payer 2 ou 5 fois le même service à des niveau différents, avec des avis différents voir contradictoire n'est guère efficace et efficient ^^
C'est couteux ...
Pour l'automobiliste sur le réseau hors autoroute et VE, c'est encore pour sa poire aussi . En cas d'infraction un automobiliste ou touriste de passage, a statistiquement plus de chance de se faire avoir par un radar par exemple.
C'est franchement rageant de se prendre 90 billets d'amende et un point moins ... pour avoir roulé à 82 au lieu de 80 ...
L'automobiliste devient une espèce de variable d'ajustement qui est comme une espèce de "truc" qui être garde à vous ...
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Entre maintenant et il y a 10 ans, je trouve qu'un nombre croissant d’automobilistes ont des conduites nerveuses . D’où aussi un nombre croissant de petits accidents avec juste de la tôle froissée. Ces "petits accidents" sont aussi couteux pour l'assuré qu'il est ... car les cotisations assurance auto augmentent.