frantz58 a écrit:C'est très bien que ton rapport puisse remonter en haut lieu.
greg59 a écrit:Jean Castex nommé à l'Agence de financement des infrastructures de France
la nomination de l'ancien Premier ministre a été officialisée par un décret publié jeudi au Journal officiel.
Jean Castex était fortement pressenti à ce poste. Sa nomination avait été proposée par le président de la République début juillet, et validée par les commissions du Développement durable et de l'aménagement du territoire de l'Assemblée nationale et du Sénat fin juillet. Lors de son audition à l'Assemblée nationale, il avait alors reconnu la nécessité d'investir massivement dans le ferroviaire pour décarboner les transports, sans oublier la route, essentielle pour "désenclaver les territoires".
https://www.francetvinfo.fr/sante/malad ... 14396.html
Conseil national de la refondation : Macron annonce une «consultation en ligne» et de possibles référendums
Le chef de l'État a pris la parole en amont du lancement du CNR, jeudi 8 septembre à Marcoussis.
Emmanuel Macron veut «innover», et «regarder en face la demande démocratique». C'est en tout cas ce qu'il a fait savoir à la presse ce jeudi à Marcoussis (Essonne), juste avant d'officialiser à huis clos le lancement du Conseil national de la refondation. Pour poursuivre dans le sens de sa nouvelle méthode, le chef de l'État a répété vouloir permettre aux Français d'être «plus associés» à l'action publique.
Et cela passe selon le président par deux biais : une consultation en ligne, et de possibles référendums à venir. Dans l'esprit du Grand débat national qui avait permis selon Emmanuel Macron de «faire émerger beaucoup de questions», bien que de nombreuses critiques aient émergé alors, le locataire de l'Élysée a ainsi annoncé l'ouverture dès la semaine prochaine d'une «consultation nationale». Accessible numériquement, elle permettra de créer «des débats sur le terrain», dans la «transparence» et «l'ouverture».
«Accouchement collectif»
Les référendums - déjà évoqués par Emmanuel Macron ces cinq dernières années mais jamais véritablement mis en place -, seront quant à eux une possible conséquence du CNR. «Je n'exclus rien», a déclaré le chef de l'État, qui souhaite qu'il y ait «une part d'accouchement collectif» avec «du consensus et en même temps une part d'action». «Donc oui, ça peut déboucher aussi sur des référendums, a-t-il précisé. Je veux remettre nos compatriotes au cœur des grands choix de la nation. Il faut ensuite qu'on puisse décliner (les travaux du CNR), qu'ils puissent s'exprimer sur ces grands choix, ces grandes transitions.»
Malgré le scepticisme de la quasi-totalité de la classe politique, Emmanuel Macron l'a martelé à plusieurs reprises : ce CNR permettra de «lancer de l'action concrète dans les prochains mois», avec des «déclinaisons locales». Tant pis pour «celles et ceux qui ont décidé de ne pas être là». «C'est leur choix, je le respecte, la porte sera toujours ouverte», a assuré le président. Avant de souligner que «toutes les associations d'élus sont présentes», ainsi qu'une «large part des organisations syndicales». Et d'ajouter : «Quand on a un mandat, on a un mandat pour représenter, parler, même venir dire qu'on n'est pas d'accord. Quand on n'est pas là, il ne faut pas après dire qu'on n'a pas été consultés, que c'est trop vertical, c'est trop ceci ou cela. Il y a une formule de bon sens qui dit que les absents ont toujours tort.»
frantz58 a écrit:Il y a apparemment un problème dans ton lien.
frantz58 a écrit:C'est un bon résumé de la situation, en revanche, il y a une coquille page 32 où tu as écrit montage à la place de montagne.
Autre correction qu'il faudrait apporter, celle de mettre les légendes directement à côté des cartes.
https://www.batiactu.com/edito/budget-2023-pres-4-milliards-deuros-infrastructures-64845.php
Budget 2023 : près de 4 milliards d'euros pour les infrastructures de transports
POLITIQUE. Le Gouvernement a présenté le 26 septembre 2022 le premier budget de la nouvelle législature. Les mobilités semblent plutôt bien servies, et les crédits consacrés aux infrastructures sont une nouvelle fois en hausse, avant même l'actualisation de la trajectoire des investissements de l'Etat, prévue en 2023. Mais est-ce suffisant ?
60 milliards d'euros. C'est le budget sur lesquel devraient pouvoir compter les ministères de la Transition écologique et de la Transition énergétique en 2023, en hausse de 15% par rapport au périmètre équivalent en 2022. C'est en tout cas ce qu'a annoncé le Gouvernement, en présentant le premier projet de loi de finances du quinquennat, le 26 septembre 2022. De quoi "amorcer la hausse des moyens avant même les travaux de planification écologique qui auront lieu cet automne", se félicite le cabinet du ministre de la Transition écologique Christophe Béchu.
Dans cette enveloppe, une part conséquente sera consacrée aux mobilités, promet l'exécutif : près de 10 milliards d'euros ! 9,7 pour être précis. Avec toujours le même objectif : favoriser les transports du quotidien, le ferroviaire (qui représentent ensemble plus de la moitié des investissements), et des mobilités plus durables.
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