fandezoran a écrit:Pourtant c'est ce qui se passe à chaque changement d'opérateur de transport public dans une agglomération, l'opérateur est tenu de reprendre l'ensemble du personnel (hors cadres dirigeants) aux mêmes conditions sociales.
Estate45 a écrit:C'est une situation que j'ai connu dans le privé, il y a 5 ans et demi. J'imagine qu'il doit en être de même dans le public ?
Lorsqu'une entreprise rachète une société, elle est tenue de reprendre le personnel qui est vendu avec les "murs". Libre à elle ensuite de former ce personnel à une nouvelle activité ou une nouvelle méthode de travail. Ou bien de le licencier. Dans mon cas, nous avons été formés et certains ont même bénéficié d'avancement. D'autres qui ne souhaitaient poursuivre ont préféré démissionner.
Les Echos a écrit:
Les sociétés d’autoroute veulent un nouveau plan de relance
Lionel Steinmann |Le 14/05 à 14:59|Mis à jour à 17:11 |
image: https://www.lesechos.fr/medias/2017/05/ ... 277795.jpg
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Emmanuel Macron a activement participé aux négociations pour permettre le lancement du précédent plan en avril 2015.
Comme ils l'ont fait en 2012, les concessionnaires autoroutiers vont accueillir le nouvel exécutif en lui proposant un plan de relance autoroutier. Le mécanisme, rodé par Nicolas Sarkozy avec le « paquet vert » de 2010 (d'un montant de 1 milliard d'euros) puis par François Hollande en 2015 (pour 3,2 milliards), est désormais bien connu : les sociétés financent des travaux sur le réseau (ce qui crée des emplois), en échange d'une prolongation de la durée de leur concession.
« Beaucoup plus de pression »
Emmanuel Macron est d'autant plus familier de ce principe qu'il a contribué à sortir de l'ornière le plan de 2015, qui avait donné lieu à une crise politique majeure . En septembre 2014, alors que le gouvernement, après deux ans de négociations ardues avec les autoroutiers, attendait le feu vert de Bruxelles, l'Autorité de la concurrence avait jeté un pavé dans la mare en dénonçant la « rente » perçue par ces sociétés , rente que les plans de relance successifs ne feraient qu'accentuer. Dans la foulée, 152 députés avaient signé une lettre réclamant le rachat anticipé des concessions, et le gouvernement avait durci le ton. « Nous allons mettre beaucoup plus de pression sur les sociétés d'autoroutes », avait alors affirmé Emmanuel Macron, ajoutant même : « Nous ferons baisser les tarifs là où c'est possible ».
In fine, le premier engagement fut tenu (par la création d'une autorité de contrôle du secteur), pas le second. Le ministre de l'Economie, par l'intermédiaire de son directeur de cabinet, a pris une part active aux négociations avec les autoroutiers pour sortir de la crise. Et c'est d'ailleurs lui qui annonça en avril 2015, lors de l'assemblée générale de la Fédération nationale des travaux publics, la conclusion d'un accord qui permettait notamment le déblocage du plan de relance.
Négociateur exigeant mais fiable
Le nouveau président a laissé à ses interlocuteurs l'image d'un négociateur exigeant mais fiable, en tout cas moins versatile que Ségolène Royal, également impliquée dans ce dossier. Et ils comptent bien lui vanter les vertus d'un plan de relance supérieur au précédent : Sanef (Groupe Abertis) , le plus petit des trois concessionnaires français, propose à lui seul un potentiel de 4 milliards de travaux.
Alexandre a écrit:Nouvelle proposition des SCA : reprise de 600 km de tronçons périurbains !!
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