tanaka59 a écrit:D'où tiens tu ce chiffre ? Tu peux me communiquer le lien ?
benjisop a écrit:- 9(8) sites en diffuseur (Troarn #31, Dozulé #30, Quetteville A13/A29 (A29 -> A13 > Caen et A13 depuis Paris -> A29), Toutainville #27 (dommage d'avoir construit un péage pour le détruire 5 ans après), Bourneville #26 (idem avec la refonte complète de l'échangeur en même temps que Toutainville), Bourg Achard #25, Val de Reuil A13/A154 (il faut espérer soit que ça soit en même temps que l'A133 soit que le futur échangeur y soit facilement intégrable), Chambourcy #6.a sur A14)
Arnaud a écrit:benjisop a écrit:- 9(8) sites en diffuseur (Troarn #31, Dozulé #30, Quetteville A13/A29 (A29 -> A13 > Caen et A13 depuis Paris -> A29), Toutainville #27 (dommage d'avoir construit un péage pour le détruire 5 ans après), Bourneville #26 (idem avec la refonte complète de l'échangeur en même temps que Toutainville), Bourg Achard #25, Val de Reuil A13/A154 (il faut espérer soit que ça soit en même temps que l'A133 soit que le futur échangeur y soit facilement intégrable), Chambourcy #6.a sur A14)
C'est bizarre, le demi-diffuseur au sud d'Honfleur côté Le Havre, sur l'A29, ne semble pas concerné si on se réfère à la carte de la SAPN. Un oubli ? Ou le périmètre du free flow se limite strictement aux A13 et A14 ? Ça aurait été pertinent d'intégrer aussi ce petit péage.
Actu a écrit:Drubec : excédés par les projets sur l'A13, ils veulent vendre leur maison à la société d'autoroutes
Habitant une maison à Drubec au bord de l'A13, la famille Noré dit avoir déchanté en apprenant les travaux liés à l'autoroute. Depuis, ils n'espèrent qu'une chose : la quitter.
Après avoir acquis sa maison au bord de l’A13 à Drubec (Calvados), la famille Noré dit avoir déchanté en apprenant les travaux d’élargissement et le projet d’échangeur. Une seule obsession les anime : se la faire racheter par la Sapn. Pour la société d’autoroutes, le sujet n’est pas encore d’actualité.
La proximité de l’A13, « la contrepartie »
« C’était l’achat d’une vie. On s’y voyait pour faire grandir nos enfants. » Teddy Noré et son épouse vivent avec leurs deux enfants à Drubec, dans une maison au plus proche de l’A13. Leur souhait depuis plusieurs années : la quitter. Et ce depuis qu’ils ont appris les travaux d’élargissement de l’autoroute et le projet d’échangeur à la Haie Tondue. Le sujet a (re)fait l’actualité récemment, suite à la réunion publique qui a rassemblé défenseurs et opposants au projet.
Pour retracer une situation qu’il juge invivable, Teddy Noré regarde dans le rétro. En 2013, le couple est séduit par cette propriété, malgré sa proximité avec l’autoroute. « C’était la contrepartie pour avoir un grand terrain, une grande maison, et être au calme », rappelle-t-il.
C’est à quelques jours de l’achat que le couple entend parler d’un certain échangeur, censé relier la Haie Tondue à Caen par l’A13. « On a appris ça en cours de route, notre notaire nous a dit que le projet avait plus de 20 ans et n’était pas près de se faire », se souvient-il. « Rassuré », Teddy Noré, qui n’exclut pas aujourd’hui un manque de « conseils, de connaissances ou d’informations », signe.
Le couple dit couler des jours heureux jusqu’à 2015. « On a déchanté en apprenant dans le journal les travaux d’élargissement. C’était la douche froide. » Ainsi débutent les échanges avec la Sapn, société d’autoroutes en charge du chantier, « plutôt rassurante au départ, en nous disant qu’ils feraient le maximum pour ne pas nous impacter ou nous parlait aussi d’un mur antibruit ».
Après la 2×3 voies, le futur échangeur
Au quotidien, Teddy Noré vit mal les nuisances du chantier et les incivilités liées notamment à localisation de sa propriété. Mais sa maison aurait également subi les conséquences des travaux, « des fissures et lézardes sur la façade, des encadrements de porte ayant bougé ». Une série de cailloux sur la chaussée de la famille, qui ouvre alors « grand la porte à la Sapn pour proposer le rachat de notre bien ».
Pour le Drubecois, s’il n’y avait eu que les travaux d’élargissement, passe encore, mais le projet d’échangeur, un drapeau rouge. « Je ne suis pas foncièrement contre le projet, mais en tant que riverain, le point de vue est différent. » La réalisation de l’échangeur nécessitera la construction d’une bretelle à deux pas de sa maison. « On parle d’une voie d’insertion au bout de mon jardin ! Cette bretelle passerait en limite de propriété. Qui pourrait affirmer que vivre à 15 mètres de celle-ci ne serait pas plus contraignant que l’était notre bien quand nous l’avions acheté ? »
Le père de famille y voit des différences notables : « Oui, l’autoroute était déjà là. Mais comment imaginer laisser mes enfants jouer dehors, à proximité de cette piste de lancement ? Nous tous, dormir avec les bruits de moteurs vrombissants pour atteindre les 130 km/h ? À vitesse constante, les véhicules relâchent moins de particules qu’à pleine charge. Je ne peux pas laisser ma famille vivre dans ces conditions et les mettre en danger physiquement, ou au niveau sanitaire et sécuritaire. »
Dans l’attente de voir rachetée leur maison
Le couple souhaite que la Sapn rachète son bien, mais le sujet ne semble pas d’actualité. « On est dans l’inconnu totale, dans l’attente. On avait encore plein de projets pour cette maison dans laquelle on a déjà beaucoup investi, mais on a tout cessé depuis. On a l’impression que notre vie s’est arrêtée et que notre qualité de vie se dégrade », déplore Teddy Noré, qui se dit épuisé.
Il rêve d’un coup d’accélérateur pour pouvoir se projeter. « Même si ce n’est que dans quelques années, on veut juste que ce soit acté : rachèteront-ils notre bien ? Pour connaître la finalité, retomber sur nos pattes et retrouver un peu de sérénité », martèle le propriétaire, qui pense que ce qu’il décrit comme « un combat » en amènera un autre : « l’estimation de la maison. Si elle est acquise, que ce ne soit pas pour une poignée de cerises ». Avant de résumer son sentiment : « On n’est plus maître de son avenir. »
4 questions à la Sapn
Contactée au sujet de la demande de Teddy Noré, la Sapn, maître d’ouvrage du projet, nous répond par la voix de Jérôme Fossé, responsable construction auprès du groupe Sanef.
Cette famille était-elle en mesure d’acheter cette maison en toute conscience ?
Jérôme Fossé explique que l’élargissement de l’A13 était déjà d’actualité à l’époque, et l’échangeur de la Haie Tondue, un projet de longue date. « Les travaux d’élargissement ont été déclarés d’utilité publique en 2007. Le projet de la Haie Tondue avait déjà fait l’objet d’enquêtes publiques ; même si elles avaient été sans suite, l’existence du projet était connue, avant d’être intégré au plan de relance autoroutier en 2015 », détaille-t-il.
Les dégradations constatées sur la maison sont-elles liées aux travaux d’agrandissement de l’A13 ?
Si la Sapn n’exclut pas cette possibilité, seul l’état des lieux d’après-travaux pourra l’avérer. « Préalablement aux travaux, nous avons réalisé des constats d’état des lieux auprès des habitations concernées. L’état des lieux sortant permet de voir si les travaux ont réellement généré des dégâts », explique Jérôme Fossé, ajoutant que celui-ci sera réalisé une fois que le chantier sera totalement achevé. Et si dégâts il y a, « on indemnise les propriétaires ».
Quelles seront les conséquences directes du futur échangeur sur leur propriété ?
Le futur échangeur nécessitera la réalisation d’une bretelle à quelques mètres de l’habitation de la famille Noré. Une proximité de l’autoroute déjà existante, selon la Sapn. « La bretelle n’apportera pas de nuisances complémentaires. Nous ne sommes pas dans une configuration où l’on aura l’obligation de mettre en œuvre des mesures acoustiques car il n’y aura pas d’évolution de celles-ci. Sapn est aujourd’hui conforme quant au statut de cette habitation et de sa protection acoustique et le sera a posteriori », détaille Jérôme Fossé, indiquant que la maison avait déjà été précédemment isolée avec l’ancien propriétaire. La société d’autoroutes indique que si, à « quelque moment que ce soit, on estime que la réalisation des travaux fait porter un risque sur l’habitation, nous assumerons nos responsabilités ».
Quand et dans quelles mesures leur maison pourrait-elle être rachetée ?
« Dans l’état actuel de nos études, nous n’avons pas d’impact sur sa maison. Tant que la maison est habitable et n’est pas impactée, il n’y a pas de règle qui nous impose d’acheter la maison », indique Jérôme Fossé, avant de rappeler une responsabilité morale : « Si à un moment on considère que la situation est invivable ou dangereuse, Sapn prendra ses responsabilités ».
Le sujet de rachat n’est pas à l’ordre du jour, et dépend de l’avancée du projet de l’échangeur : « Il faudra que le projet soit formellement engagé. Aujourd’hui, le calendrier ne nous permet pas de statuer ». La concertation publique s’est clôturée il y a quelques semaines, à laquelle la famille Noré a participé en remplissant le registre en mairie.
Prochaine échéance : l’enquête publique, prévue en milieu d’année, pendant laquelle l’avis de la population sera à nouveau sollicité. Cette procédure est menée par un commissaire enquêteur qui peut émettre des observations ou des réserves. « Fin 2022, début 2023, c’est un moment où l’on pourra reprendre le dialogue sur ce sujet. On sera pragmatique et raisonnable. Nous restons à l’écoute des riverains comme de la commune », assure Jérôme Fossé.
Une série d’étapes, qui peuvent paraître longues, relevant du processus démocratique. Rappelons que si tous les feux sont au vert, le début des travaux de l’échangeur de la Haie Tondue est prévu en 2023, pour une mise en service l’année suivante.
France 3 Régions a écrit:Quand pourra-t-on rouler à 130 Km/h sur l'Autoroute A 13 entre Caen-Dozulé et Pont l'Evêque? Il va falloir patienter encore un peu et slalomer entre les zones de ralentissements et celles autorisées à 110km/h. La Sanef avait annoncé la fin des travaux 2021 puis début 2022. Mais les échéances semblent retardées au point que la société d'exploitation ne donne plus aucune date. A l'été 2022? Au printemps? Explications.
C'est une petite portion d'autoroute en Caen et Pont l'Evêque. Vingt-deux kilomètres à passer à deux fois trois voies, mais c'est un chantier de titan. Le début des travaux remontent à 2017 et ils piétinent depuis 2019. Un dossier délicat pour la Sanef, source de grande colère chez les automobilistes.
"Je prends cette route plusieurs fois par semaine mais à chaque fois que je l'emprunte je suis énervée ! On paie plein tarif une autoroute qui n'en est pas une, on roule à 90km/h (110km/h depuis peu) et il y a souvent des bouchons", nous explique une première habituée. "On se demande pourquoi la troisième voie n'est pas enfin ouverte, elle est terminée depuis longtemps", précise une autre.
Dans mon ancien travail je la prenais tous les jours 2 fois aller-retour, c’était juste l’horreur. On paye pour gagner du temps mais finalement on en perd.
utilisateur de l'A13 entre Dozulé et Pont l'Evêque dans le Calvados
Les automobilistes interrogés au péage ou sur la page Facebook de France 3 Normandie, sont unanimes sur le ras-le-bol de voir ce chantier s'éterniser sous leur yeux et à leurs dépens. "Vous parlez de cette troisième voie providentielle qui est terminée mais sur laquelle on n’a pas le droit de rouler? Ça doit être pour pas l’abîmer, sûrement ."
Une ironie qui en dit long sur l'incompréhension qui règne. En effet, depuis cet été, chaque jour, ils roulent sur une voie rétrécie, limitée en vitesse à 90 km/h d'abord puis à 110 maintenant , tout à côté d'une troisième voie à priori terminée mais pas utilisable.
Les enrobés sont terminés depuis fin 2021 mais il faudra certainement encore un peu de finitions par endroit. Très frustrant pour les usagers de l'A13 de voir ce beau bitume, en voie fermée à la circulation.
"Le prix n'a pas pour autant été ajusté malgré la limitation de vitesse." La question du tarif qui n'a pas été adapté est dans toutes les têtes. Personne ne comprend vraiment. Et certains usagers quotidiens ressentent même une certaine rancœur. "Une escroquerie pure et simple ce tarif au péage qui est resté à 3,70€ tout le temps du chantier. C’est inadmissible."
Une portion de 22 km et plus de cinq ans de travaux pour passer de deux à trois voies
"On n'a pas eu de chance entre la météo et la Covid"
Toutes ces critiques sont bien connues et entendues dans les plus hautes sphère de la Sanef. Jérôme Fossé, le directeur des opérations Sanef, la société d'autoroute qui gère cette portion entre Caen et Pont l'Evêque, va plus loin que les excuses. "On est conscient de la gêne". Il y a des paramètres liés à l'époque. "En 2019 on a d'abord essuyé les conséquence d'un hiver long et pluvieux qui nous a retardé. Les inondations ne nous ont pas épargné depuis le début du chantier. Et même en période estivale."
Un paramètre important auquel s'ajoute la crise du Covid 19 : "On a d'abord été impacté au printemps 2020 quand il a fallu mettre notre personnel à l'abri puis nous avons eu beaucoup de cas et des équipes décimées pendant de longues semaines. Quel est le secteur qui peut se vanter de ne pas avoir été touché ?"
Et il faut ajouter à cette désorganisation permanente et les phases de chantier stoppées brutalement, des difficultés de livraison pour certains matériaux. En résumé, tout ce qui est métal est susceptible de prendre du retard. Le Béton, pose moins de problème.
En plus des équipes touchées dans leurs effectifs par la Covid 19, on souffre depuis un an de l'approvisionnement au compte goutte de certains matériaux en métal comme les glissières de sécurité, les grilles à poser au-dessus des assainissements, les clôtures, etc. Après c'est aussi une désorganisation dans nos chantiers de poses qui s'installe et tout cela retarde la mise en service
Jérôme Fossé, direction des opérations A13-Sanef
Des bassins de rétention ont été construits : quatre sont finis, un autre est terminé depuis quelques jours et l'un d'entre eux, le sixième et dernier, pose quelques problèmes techniques.
L'enrobé c'est le plus visible mais il y aussi les gros ouvrages. L'élargissement de ces 22 kilomètres ne comporte pas qu'une troisième voie à tracer. "Déclaré d’utilité publique en 2007, prorogée en 2012, le projet d'élargissement de l'A13 entre Pont-l'Evêque et Dozulé est un projet majeur pour la modernisation des infrastructures autoroutières françaises", précise la Sanef.
Le redimensionnement des bandes d'urgence pour répondre aux normes actuelles de sécurité. Elles rendront plus sûre la présence des automobilistes en cas de panne et des équipes d’intervention sur ces dernières.
La création de 6 bassins pour la protection de la ressource en eau. Ils visent notamment à assurer la protection de la qualité des cours d'eau et à préserver les captages d'alimentation en eau potable de tout risque de pollution.
L’intervention sur plusieurs ponts : 9 passages inférieurs (route en dessous de l'autoroute) et 7 passages supérieurs (route au-dessus de l'autoroute).
Enfin, des mesures de protection acoustique (écrans, protections de façade) qui permettent de diminuer la gêne occasionnée aux riverains.
Inspection des services d'Etat et finitions encore au programme
De gros travaux qui ont rencontré d'importantes difficultés imprévues, liées notamment à la "geostructure du sol normand". Ainsi, dans ces sols argileux et composés de cavités, les surprises sont fréquentes.
Le dernier des six bassins de rétention pose encore problème. D'importantes cavités empêchent le bon déroulement des opérations. "Il faut maintenant qu'on le dissocie du reste du chantier", précise Jérôme fossé, sinon le retard va être conséquent.
Un risque qui ne dépend pas uniquement de la Sanef. Des inspections sont en cours par les services de l'Etat sur l'ensemble des réalisations pour valider la mise en service de la troisième voie. Et c'est un calendrier assez contraignant géré indépendamment du chantier.
Côté finitions, il y a là-aussi encore des choses au programme avant l'ouverture des trois voies. L'enrobé devra être revu sur certaines zones quand il a été posé en période de grosses intempéries. Il reste aussi des balisages et à chaque "atelier", il faut sécuriser le personnel avec des constructions en bord de route. Tout cela prend du temps.
"On va aussi devoir couper la circulation par endroit, encore quelques nuits. En effet, il nous faut poser des portiques de signalisations. Ces panneaux sont assemblés au sol puis levés."
Autant de choses à régler qui empêchent la Sanef de se prononcer sur une date de mise en circulation des trois voies à 130 Km/h. Après avoir annoncé 2021 puis début 2022, la société d'autoroute préfère miser sur la prudence. Été 2022 ? Printemps ? Aucune réponse n'est donné. "On peut juste dire que pour le moment on profite d'une météo hivernale favorable. Mais que nous réservent février et mars ?" Chat échaudé, craint l'eau froide.
SAPN a écrit:La nuit du 10 au 11 février de 20h à 5h* : la circulation du sens Caen > Paris est basculée sur la voie rapide du sens Paris > Caen. La bretelle de sortie A13 Caen > A132 Lisieux/Pont-L’Evêque/Deauville est également fermée. Une signalisation spécifique est alors déployée par nos équipes, afin d’accompagner au mieux les automobilistes.
SAPN a écrit:En dehors de cette nuit et sur les autres portions de l’A13 entre Pont-l’Evêque et Dozulé : nous réalisons d’autres interventions ponctuelles, sous neutralisations de voies. Cela concerne : des interventions sur certains ponts, sur les dispositifs de retenue, au niveau des accès de service, etc. Ces travaux sont alors indiqués sur la section courante via une signalisation
SAPN a écrit:Dernière ligne droite avant la mise en service !
Parallèlement à ces travaux de finition, le processus de contrôle et de mise en service avec les services de l’Etat a été engagé depuis le début de cette année.
Dès la fin de cette ultime étape, Sapn devrait alors obtenir, la Décision Ministérielle permettant la mise en circulation des 3èmes voies entre Pont-l’Evêque et Dozulé.
Arnmax a écrit:Excellente nouvelle Cela tombe à pic pour le pont de l'Ascension qui risque d'être encore + chargé que les autres années !
Bugsss a écrit:Mise en chantier en 2016. Bigre, ca a fait long
Il reste donc le tronçon A131 et la BPV de Beuzeville, qui reste à 2x2 voies. L'idée était de se dire qu'entre A29 et A131, le trafic était moindre car une partie partait vers le Havre, mais à mon sens, ca n'est plus le cas. Le trafic reste majoritaire et de loin, vers Paris ou depuis Paris
Et bien sûr le tronçon Dozulé/Caen, mais pour cela, il faudra résoudre le problème des sols meubles du côté de Troarn. Enfin, de mémoire, car je ne suis pas passé depuis 7 ans dans le secteur
Arnmax a écrit:Bref cet élargissement a eu un effet, sans surprise, très positif sur le trafic et là où on est agréablement surpris c'est que ça n'a amplifié qu'à la marge les bouchons au delà.
Arnmax a écrit:Mettre Dozulé-Caen à 2x3 voies me semble très important, ça doit boucher 25-30 j/an. En revanche entre A131 et Beuzeville ça doit boucher 5 à 10 fois par an, donc un élargissement me semble bien dispensable pour le moment. À voir quand les BPV auront sauté, ça peut rebattre les cartes.
Arnmax a écrit:Par contre j'en profite au passage mais franchement il serait peut être temps de mettre à 2x4 la portion Orgeval-Epône (si ce n'est pas Mantes).
projet C13-F13 de liaison entre l'A13 et l'A14 (Epône - Pontoise):
Arnmax a écrit:Bilan de cet élargissement entre Dozulé et Pont l'Evêque à l'issue du week end de l'Ascension, le + chargé de l'année au moins sur l'A13 : malgré certaines craintes, le bilan est au final extrêmement positif.
Arnmax a écrit:Déjà dans le sens Paris->Caen, mercredi et jeudi, fini les bouchons au rétrécissement à Pont-l’Evêque, on peut même dire que tout est fluide de Beuzeville jusqu'à Dozulé et le péage de Dozulé a bien encaissé l'afflux plein pot de véhicules qui étaient filtrés en amont sur la portion à 2 voies les années précédentes.
Arnmax a écrit:Entre Dozulé et Caen c'était à peine plus bouché que les autres années et ça c'est une très bonne surprise, parce qu'on aurait pu penser que ça allait grandement congestionner les arrivées à Caen.
Arnmax a écrit:Dans le sens Caen->Paris, dimanche, la sortie de Caen bouchée comme d'hab' et je ne vous parle pas du périph ... et à partir de Dozulé c'était totalement fluide jusqu'à Pont-L'Evêque et c'est peu dire les progrès apportés par cet élargissement car les autres années c'était la portion la + saturée en retour de l'Ascension et c'était presque bloqué vraiment fallait voir ... Et là au croisement A132/A13 on aurait pu craindre que ça allait réactiver un vieux bouchon qu'il y avait avant que Pont-L'Evêque-Beuzeville ne passe à 2x3 mais finalement c'était un léger ralentissement et qui a eu lieu seulement au plus fort de la journée (faible amplitude horaire donc). Et puis après au péage de Beuzeville c'était seulement un tout petit peu plus encombré que les autres années mais là encore on aurait pu s'attendre à ce que les bouchons qui avaient disparus avant ne se reportent à cet endroit là. Et puis la suite vous la connaissez Beuzeville-A131 à 2x2 donc bouché ...
Arnmax a écrit:Bref cet élargissement a eu un effet, sans surprise, très positif sur le trafic et là où on est agréablement surpris c'est que ça n'a amplifié qu'à la marge les bouchons au delà. Mettre Dozulé-Caen à 2x3 voies me semble très important, ça doit boucher 25-30 j/an. En revanche entre A131 et Beuzeville ça doit boucher 5 à 10 fois par an, donc un élargissement me semble bien dispensable pour le moment. À voir quand les BPV auront sauté, ça peut rebattre les cartes.
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