gavatx76 a écrit:Encore une fois le fameux axe "Portugal-Europe de l'Est"?
Effectivement, ça prête toujours à sourire ces lignes droites tracées sur la carte d'Europe, on aurait pu dire aussi l'axe "Coimbra - Brno"
gavatx76 a écrit:Encore une fois le fameux axe "Portugal-Europe de l'Est"?
G.E. a écrit:Par rapport à ton message, il faut rappeler que le grand contournement de Toulouse pourrait être jumelé à une partie de l'A680.
Il est donc assez urgent de savoir s'il sera mis en œuvre ou pas !
La dépèche a écrit:
Le tracé de l'autoroute validé secteur par secteur
Publié le 07/08/2014 à 03:50, Mis à jour le 07/08/2014 à 07:51
Désenclavement
Les grandes lignes de l'itinéraire, déjà évoquées sérieusement depuis 2012, ont été définitivement arrêtées par le Préfet de Région./photo DDM.
Le Préfet de Région a donc validé le tracé de référence de la future autoroute Castres-Toulouse. En voici, secteur par secteur, les principales caractéristiques.
Dès le 31 juillet , dans la continuité de son prédécesseur, le nouveau Préfet de Région Pascal Mailhos a donc arrêté le tracé de référence pour la future autoroute concédée Castres-Toulouse. Au-delà des zones déjà aménagées ou disposant d'une déclaration d'utilité publique, voici donc les grandes lignes du tracé qui va maintenant faire l'objet d'études préparatoires à l'enquête publique.
De l'A68 à Verfeil. C'est le doublement de la bretelle A680 au nord de celle-ci qui est prévu.
De Verfeil à Villeneuve les Lavaur. La version nord est retenue entre la RD20 et la déviation de Verfeil. Sur la plaine du Girou, le tracé reste collé au plus près de l'actuelle RN 126. Il évite le Domaine de Bazialgues. Sur la commune de Vendines, le tracé se situe entre Messal et la 126. Sur Teulat, il passe entre la Revelle et Nagasse. Dans toute la plaine du Girou, la décision affirme qu'une attention particulière sera apportée pour limiter l'impact sur les propriétés agricoles.
Secteur Maurens-Scopont. Le tracé Nord est retenu et contourne le château de Maurens-Scopont. Il touche le moins possible la zone inondable du Girou.
Secteur Cuq-Toulza. Le tracé nord est retenu. C'est celui qui s'éloigne le plus du village de Cuq-Toulza. Il rejoint ensuite au plus près de la RN 126 au niveau de la commune d'Appelle.
Entre Puylaurens et Soual. Les déviations actuelles de Puylaurens et Soual sont intégrées au tracé de référence. Entre les deux, sur la commune de Saint-Germain des Près, le tracé reste au plus près de la RN 126.
De Soual à la Chartreuse. Le tracé de référence reprend l'itinéraire décidé depuis longtemps : il passe à l'arrière de la zone des Etangs pour rejoindre l'Agout au niveau de l'arrière de la zone de la Chartreuse. Un pont sur l'Agout doit être réalisé.
De la Chartreuse à Mélou. Cette section urbaine est déjà frappée d'une DUP et ne varie pas. Elle passe à l'arrière de la zone d'activités pour rejoindre l'échangeur actuel de Saint-Palais.
Les échangeurs. Seuls les échangeurs à Verfeil, Puylaurens, Soual et Castres (St-Palais) sont retenus pour l'instant. Le complément du demi-échangeur de Gragnague n'est pas retenu. Les demandes d'un échangeur supplémentaire à Castres-Chartreuse et à Maurens-Scopont fera encore l'objet d'études approfondies.
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La feuille de route est fixée
Dans sa décision concernant le tracé de référence de l'autoroute, le Préfet de Région fixe par ailleurs le calendrier des prochaines étapes qui conduiront au lancement d'une enquête préalable à la déclaration d'utilité publique fin 2015. Ainsi, la phase concertation va se poursuivre dans les prochains mois sur les itinéraires de substitution et sur les demandes de création d'échangeurs. De même, les études sur le tracé de référence seront affinées dans les mois à venir. Durant l'automne 2014, des réunions techniques de travail seront organisées par la Dréal avec les élus concernés sur les rétablissements routiers et agricoles ainsi que les mesures d'insertion du projet dans son environnement. Le dossier d'enquête préalable devrait être présenté au comité de suivi et au comité de pilotage début 2015.
L'intégralité du texte de la décision et des différentes cartes seront bientôt disponibles sur le site : http ://www.autoroute-castres-toulouse.midi-pyrenees.gouv.fr/
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Des réactions à propos du tracé de référence
Guy Bousquet, collectif des chefs d'entreprises Sud-Tarn
«La décision prise par le Préfet de Région démontre qu'il y a maintenant une continuité dans l'action de l'Etat. Nous avons le sentiment que le Préfet Pascal Mailhos a vite compris les besoins de notre territoire. Bien sûr, nous souhaiterions que les choses aillent plus vite mais nous sommes aujourd'hui très satisfaits que l'étape du tracé de référence soit franchie. On s'en félicite. Concernant le contenu détaillé de la décision, il ne nous appartient pas de rentrer dans la discussion du tracé précis qui sera choisi pour aller de Castres-Mazamet jusqu'à Toulouse. Ce n'est pas notre rôle. Ce qui nous importe, c'est que l'on réalise ce projet pour désenclaver notre territoire. Nous voulons être attentifs et veiller à ce que les délais annoncés soient tenus, qu'il n'y ait ni dérapage ni retard.
Philippe Folliot, député du Tarn
«Cette nouvelle étape est une bonne chose pour la poursuite du projet. En revanche, je regrette une nouvelle fois l'attitude du Conseil Général de Haute-Garonne qui ne joue pas le jeu en refusant de céder la déviation de Verfeil. Du coup, il y aura l'autoroute et la déviation côte à côte ce qui ne me paraît pas bon en terme de gaspillage de terres agricoles et de coûts. J'espère toutefois que cette période de concertation qui s'ouvre va permettre au Conseil Général de Haute-Garonne d'ouvrir les yeux et de faire preuve de plus de solidarité. Car outre le surcoût lié à la déviation, ce sont les collectivités du Tarn, Conseil Général et Agglomération Castres-Mazamet, qui devront supporter la part de subvention d'équilibre que refuse de verser la Haute-Garonne.»
Sabine Mousson, collectif des 14 maires opposés au projet
La dernière demande faite au Préfet de Région par les quatorze maires du Tarn et de la Haute-Garonne opposés à l'autoroute n'a pas été retenue. Dans un courrier datant de fin juillet en effet, ainsi que lors d'une réunion tenue à Toulouse le 28 juillet, ceux-ci lui demandaient de suspendre la décision de validation du tracé de référence. Ces élus en effet (1) estiment : «Ce n'est pas un tracé que retenez pour l'enquête publique mais un fuseau de 300 mètres appelé bande DUP dans lequel le concessionnaire choisira le tracé final qu'il souhaitera, sans aucune forme de concertation. La Dréal a bien reconnu ce point mais les élus, riverains et entreprises concernées par le fuseau de référence n'ont pas été informés. (...) Concernant le tracé de l'autoroute, tout tracé dans ce fuseau de 300 mètres reste donc possible.»
Les opposants développent par ailleurs les arguments de coût de l'autoroute, de coût du péage pour emprunter les sections réalisées et aujourd'hui gratuites. Par ailleurs, Sabine Mousson explique : «Nous réitérons notre demande d'étude sur la solution alternative au projet autoroutier, à savoir l'aménagement de la RN 126 autrement qu'en 2x2 voies au meilleur compromis besoin/coût et au bénéfice de tous.»
1- Il s'agit des maires de Saint-Pierre, Verfeil, Bonrepos Riquet, Teulat, Bourg Saint-Bernard, Montcabrier, Bannières, Le Faget, Vendines, Lacroisille, Appelle, Loubens, Francarville, Saussens.
Jean-Marc Guilbert
La Dépêche dy Midi a écrit:L'État confirme le projet d'autoroute et débloque des fonds
Publié le 02/12/2014 - Autoroute Castres-Toulouse - Castres (81) - Désenclavement
Le nouveau secrétaire d'État aux transports vient de confirmer que des crédits nécessaires à la poursuite des études pour l'autoroute Castres-Toulouse étaient débloqués. Il confirme aussi le calendrier vers une mise en service en 2022.
Dans un courrier adressé au député Philippe Folliot, le nouveau secrétaire d'Etat chargé des transports Alain Vidalies confirme le projet d'autoroute concédée Castres-Toulouse de façon assez précise d'ailleurs puisqu'il indique : «Afin de permettre la réalisation dans les meilleurs délais de la liaison autoroutière, j'ai décidé que les crédits nécessaires à la poursuite des études préalables à la déclaration d'utilité publique seraient mis en place en dépit du contexte budgétaire extrêmement contraint qui pèse cette année sur l'investissement routier du fait de la suspension de l'écotaxe.»
Par ailleurs, le successeur de Frédéric Cuvillier depuis le mois d'août, présente le calendrier prévisionnel du projet. Il annonce la possibilité de mettre à l'enquête publique le tracé de la future autoroute fin 2015. C'est pour préparer ces opérations que des fonds viennent d'être débloqués. Selon le secrétaire d'Etat, la déclaration d'utilité publique pourrait alors intervenir au début de l'année 2017. Il estime par ailleurs que le contrat de concession pourrait être signé en 2019 pour une mise en service de l'infrastructure courant 2022.
Le Gouvernement et les services de l'Etat, sont donc sur la lancée de la décision ministérielle d'avril dernier concernant l'accélération de l'aménagement de la Nationale 112 par la mise en concession de l'itinéraire.
«J'ai pleinement conscience des attentes fortes que suscite, au niveau local, le projet d'aménagement de la RN126. Celui-ci doit en effet permettre d'améliorer les perspectives de développement du sud du Tarn et de l'agglomération de Castres-Mazamet en leur offrant une accessibilité routière de meilleur niveau, répondant mieux aux besoins de la population et à la structure de l'économie locale.»
En revanche, les délais annoncés s'étirent dans le temps. En avril dernier, à l'occasion d'une rencontre entre les pro-autoroute et un conseiller du Président de la République, la date de mise en service envisageable de l'autoroute se situait autour de 2020. Le nouveau secrétaire d'Etat l'évalue pour sa part à deux années plus tard.
Philippe Folliot «c'est mieux quand c'est écrit par le ministre»
La lettre du secrétaire d'Etat Alain Vidalies vient en réponse à un premier courrier envoyé par le député UDI Philippe Folliot en juin dernier : «Entre-temps, il y a eu un changement de secrétaire d'État ce qui explique le retard, déclare le député tarnais. Le principe de la continuité de l'État est donc respectée quand un ministre change. Certes nous avions la décision d'avril dernier mais vu les incertitudes exprimées ci et là au printemps, ça va mieux quand c'est écrit par le ministre. Cela confirme en tout cas la volonté de l'État d'aller jusqu'au bout de ce projet important.»
G.E. a écrit:2 remarques :
- Il est une nouvelle fois prouvé que la mise en concession autoroutière d'un projet initial de voie express n'apporte aucun gain de temps.
- La décision prise fait avancer le projet mais n'engage pas ce gouvernement : la subvention d'équilibre sera financée par la majorité suivante.
lorp a écrit:Tout à fait, la réalisation de la partie Soual-Castres serait déjà bien entamée, réglant le point noir du parcours.
lemoniteur.fr, Christiane Wanaverbecq a écrit:Enquête publique pour l’autoroute Toulouse-Castres fin 2015
Le dernier comité de pilotage, le 29 janvier à Toulouse, a validé l’intégration des déviations existantes de Soual et Puylaurens au projet d’autoroute avec l’aménagement d’un «barreau» routier.
Il n’y aura pas d’échangeurs supplémentaires sur le tracé de la future autoroute reliant Toulouse à Castres (Tarn). Lors du dernier comité de pilotage, le 29 janvier à Toulouse, l’Etat et les collectivités (1) ont choisi de ne pas donner suite aux demandes d’échangeurs nouveaux au droit de la voie communale n°50 à Castres et à Maurens-Scopont. En revanche, sur la base des résultats des études et de la concertation, le Copil a validé l’intégration au projet des déviations de Soual et Puylaurens avec l’aménagement du «barreau» routier reliant la RD84 à la RD926 à Puylaurens.
«L’ensemble du programme de l’opération autoroutière qui sera soumis à l’enquête publique est ainsi validé», peut-on lire dans le communiqué publié le 9 février par la préfecture de Midi-Pyrénées, qui annonce le lancement de l’enquête publique pour la fin de l’année 2015.
Mise en service en 2021
La déclaration d’utilité publique du projet de l’aménagement de la RN 126 entre Castres et Toulouse selon la modalité de la mise en concession, retenu par la commission Mobilité 21, devrait intervenir au premier semestre 2016. La signature du contrat de concession devrait intervenir fin 2017 avant un début des travaux mi-2019 et une mise en service fin 2021 ou début 2022.
Le coût d’objectif fixé par le gouvernement à la Dréal est de 420 millions d’euros hors-taxes: 90 millions à la charge de l’État; 90 millions à la charge des collectivités locales répartis entre le Conseil Régional Midi-Pyrénées, les Conseils Généraux du Tarn et de la Haute-Garonne et la Communauté d’agglomération de Castres Mazamet.
Dans l’hypothèse d’une maîtrise d’ouvrage publique la participation des collectivités était évaluée à 230 millions d’euros HT, avec une réalisation à l’horizon 2030.
Le projet d’autoroute d’environ 70 kilomètres est très attendu par les habitants de cette partie est du Tarn qui souhaitent ainsi irriguer un bassin d’emploi de plus de 10 000 emplois salariés.
(1) conseil régional de Midi-Pyrénées, conseils généraux du Tarn et de la Haute-Garonne, Communauté d’agglomération de Castres–Mazamet.
Le Tarn Libre a écrit:
Autoroute Castres – Mazamet : programme validé en comité de pilotage, enquête d’utilité publique toujours prévue pour fin 2015
Publié le 20/02/2015 à 08h00 | Mis à jour le 20/02/2015 à 05h50
Un récent comité de pilotage a affiné et validé le programme de l'autoroute.
Le projet d’autoroute Castres – Toulouse, objet de débats récurrents et encore thème de campagne attendu pendant la campagne pour les élections départementales qui s’amorcent a été de nouveau examiné lors d’un récent comité de pilotage. Le programme est désormais validé dans son ensemble. L’enquête d’utilité pulbique devrait avoir lieu en fin d’année 2015. Le point.
•Le tracé de référence « acté » depuis juillet 2014
•Comité de pilotage le 29 janvier : Des demande d’échangeurs supplémentaires à Castres et Maurens Scopont n’ont pas été validées
•Intégration des déviations existantes de Soual et Puylaurens.
•Lancement de l’enquête publique toujours prévu pour fin 2015
Le tracé de référence « acté » depuis juillet 2014
Validé lors de la réunion du 12 mars 2012 consécutive à la phase de concertation sur les tracés, le tracé de référence, déterminé à partir du fuseau d'étude retenu, a été confirmé par les comités de pilotage des 6 et 24 juin 2014. La décision préfectorale du 31 juillet 2014 a arrêté le tracé de référence et fixe la feuille de route en vue du lancement de l’enquête publique.
La décision du préfet de région a fixé le tracé de référence, secteur par secteur, en référence au dossier de concertation de janvier 2012. Cela permet de constituer la bande de 300m soumise à l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Les études concernant le tracé de référence retenu sont en cours d’affinement d’un point de vue technique et pour déterminer précisément les mesures de réduction et de compensation environnementales indispensables pour constituer le dossier d’étude d’impact en vue de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique.
Durant l’automne 2014, des réunions techniques de travail sont organisées par la DREAL avec les élus concernés sur les rétablissements routiers et agricoles ainsi que sur les mesures d’insertion du projet dans son environnement.
Comité de pilotage le 29 janvier : Des demande d’échangeurs supplémentaires à Castres et Maurens Scopont n’ont pas été validées
La procédure suit son cours concernant le projet d’autoroute Castres Toulouse. Dans le prolongement de l’adoption du tracé de référence adopté le 31 juillet dernier, le comité de pilotage s’est a nouveau réuni le 29 janvier dernier sous la présidence du préfet de région Pascal Mailhos. Une réunion qui s’est déroulée en présence des préfets du Tarn et de la Haute-Garonne, des présidents du Conseil régional et des conseils généraux du Tarn et de la Haute-Garonne et du président de la communauté d’agglomération Castres Mazamet. Une réunion au cours de laquelle ont été examinées les demandes d’échangeurs supplémentaires, dont ceux de Maurens Scopont et de Castres. En effet Pascal Bugis, le maire de la commune et président de la communauté d’agglomération Castres Mazamet avait demandé la réalisation d’un échangeur supplémentaire au niveau du croisement de la VC 50 pour améliorer la desserte des zones économiques de Mélou et de la Chartreuse. Elles seront normalement desservies par l’échangeur de Saint-Palais et Puylaurens. Les demandes d’échangeurs supplémentaires n’ont pas été validées qu’il s’agisse de celui de Castres ou celui de Maurens-Scopons.
Intégration des déviations existantes de Soual et Puylaurens
Ayant pris connaissance des résultats des études et de la concertation, le comité de pilotage a validé l’intégration des déviations existantes de Soual et Puylaurens au projet d’autoroute avec l’aménagement du « barreau » routier reliant la RD84 à la RD926 à Puylaurens. L’ensemble du programme de l’opération autoroutière qui sera soumis à l’enquête publique est ainsi validé.
Lancement de l’enquête publique toujours prévu pour fin 2015
Le dossier d’enquête publique sera présenté au comité de suivi au printemps 2015 avant de poursuivre les procédures obligatoires précédant le lancement de l’enquête publique prévue pour la fin de l’année 2015.
Thierry Tchukriel avec Dominique Escorne - Source : préfecture de région
Mise en service en 2022
En ce qui concerne le projet d'autoroute Toulouse-Castres, «les études préalables sont en cours d'élaboration en vue d'une enquête préalable à la déclaration d'utilité publique début 2016». L'objectif d'une mise en service en 2022 «est effectivement visé» répond Alain Vidalies au député tarnais Jacques Valax.
S'agissant de la liaison aérienne Castres-Paris, «au vu de la situation budgétaire de l'Etat particulièrement tendue, le soutien financier de l'Etat se concentre sur le respect des engagements pris au titre des différentes conventions de délégation de service public déjà signées et sur le renouvellement de quelques conventions concernant les territoires les plus enclavés. La ville de Castres, située à environ une heure de route de l'aéroport de Toulouse-Blagnac, dont la desserte est particulièrement développée, ne peut, à ce titre, bénéficier d'un renouvellement à l'identique du soutien de l'Etat.» Mais Alain Vidalies précise : «Nous nous efforcerons d'accompagner le Syndicat Mixte de l'aéroport et l'ensemble des collectivités concernées dans le cadre de la nouvelle convention de délégation de service public.»
Projet de liaison autoroutière concédée Castres-Toulouse.
Ce projet a fait l'objet d'un débat public du 21 octobre 2009 au 28 janvier 2010. Depuis lors une concertation post-débat public, sous l'égide d'une garante désignée par la CNDP, a été engagée par la DREAL Midi-Pyrénées, maître d'ouvrage du projet. Ce processus de concertation a permis de déterminer le tracé. Le bilan du débat public ayant été publié il y a plus de 5 ans, le maître d'ouvrage a !'obligation de ressaisir la CNDP avant de décider de l'ouverture de l'enquête publique. Considérant que le projet n'a pas subi de modifications substantielles, la Commission a décidé de ne pas organiser un nouveau débat public sur le projet de liaison autoroutière concédée Castres-Toulouse mais recommande au maître d'ouvrage de poursuivre jusqu'à l'enquête publique le processus de concertation engagé sous l'égide de la garante.
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