Jean-Pierre Burnet l’assure, « il y a une tonne de recours possibles ». Le conseil d’administration de l’Acpat doit se tenir jeudi 8 février. « On est en contact avec un avocat qui va nous expliquer ce qui est possible de faire. Pour l’instant, c’est simplement le gouvernement qui décide de discuter avec un seul candidat. Ça peut prendre encore quelques mois avant de conclure, et après Eiffage doit définir le tracé, il y aura des enquêtes publiques et d’autres rebondissements pour tout ça. On est toujours mobilisé et on ne lâchera pas le morceau. »
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