qui a la numérotation de l'A16 pour le Nord?
Timothee a écrit:Les 30000 veh/j sont pour les deux directions ensemble?
Je pense que 60-70000 veh/j sont normalement possible sur une autoroute avec 2x2 voies.
Dunkerque: c’est lundi qu’on change ses habitudes sur l’autoroute A16!
Le nouveau dispositif de restriction de vitesse sur l’A 16, dans l’agglomération dunkerquoise, sera opérationnel lundi. Il va falloir s’habituer…
La direction interdépartementale des routes (DIR) et la préfecture communiquent officiellement sur les changements opérés sur l’A16. Dès lundi matin, l’A16 prend un nouveau virage. Ce sera 80 km/h pour les poids lourds et 90 km/h pour les automobilistes sur le tronçon de onze kilomètres entre Téteghem et Loon-Plage, dans les deux sens. Puis il y aura une zone « tampon » de six kilomètres, avant et après Loon-Plage et Téteghem, où les 130 km/h autorisés jusqu’à maintenant, seront réduits à 110 km/h. Finalement, l’interdiction de doubler pour les poids lourds sera levée. D’abord parce qu’à 80 km/h, la manœuvre s’annonce compliquée. Ensuite, parce que les autorités ont constaté que l’interdiction mise en place jusqu’à présent n’avait eu aucun effet sur la baisse des accidents. Les poids lourds ne la respectaient pas. Avec la pose de deux radars « discriminants » pour les camions, à Coudekerque-Branche et à Grande-Synthe, aux emplacements actuels, cela devrait refroidir les ardeurs des chauffeurs routiers, au moins pour les immatriculations françaises. Les radars pour les voitures restent en place. Sur une période d’un mois environ, ils resteront réglés à 110 km/h, avant de flasher à plus de 90 km/h. Cela pour éviter une pluie de PV, le temps que les habitudes se mettent en place. La DIR assure que ce dispositif va fluidifier le trafic, réduire les émissions polluantes et les nuisances sonores. Surtout, il est censé réduire le nombre d’accidents, donc les bouchons. Sur ce point, rendez-vous dans un an pour faire un bilan.
Quel allongement du temps de trajet?
De nombreux messages de lecteurs nous sont parvenus, se plaignant de la nouvelle limitation. Il y a un impact psychologique fort et beaucoup pensent que leur temps de trajet va s’allonger considérablement. Il est vrai que nous vivons dans un monde « pressé » . En passant de 90 à 110 km/h sur un tronçon de 11 km, combien faudra-t-il compter de temps supplémentaire, lundi, pour effectuer le même trajet ?
Le problème rappelle quelques mauvais souvenirs d’école. La réponse est 1 minute et 20 secondes de plus. Si c’est le prix à payer pour réduire le nombre d’accidents, donc les bouchons, cela en vaut peut-être la peine…
frantz58 a écrit:Oui, la partie au Nord de Boulogne appartenait à la RN1 à l'origine.
Le Monde a écrit:lundi 1 juin 1992
L'autoroute de la discorde En région Nord-Pas-de-Calais, les Verts continuent de demander un moratoire avant la réalisation de l'axe Boulogne-Amiens, malgré les protestations des autres élus
LARONCHE MARTINE
LILLE de notre envoyée spéciale - "L'AUTOROUTE A16 sera bel et bien au rendez-vous du tunnel sous la Manche. C'est impératif. " Ces propos ne sont pas ceux de M. Jean-Louis Bianco, l'actuel ministre des transports, mais ceux de son prédecesseur, M. Michel Delebarre, en mai 1990, à l'occasion de l'inauguration du premier tronçon de la rocade littorale. Depuis, les dernières élections régionales en Nord-Pas-de-Calais ont bouleversé les cartes. Le jeu des alliances a voulu que le principe d'un moratoire soit décidé entre les Verts et les socialistes à propos de l'autoroute A16 (Calais-Boulogne-Amiens-Paris), qui doit desservir le tunnel sous la Manche, de même que pour l'autoroute A1 bis conçue pour décharger l'axe Paris-Lille encombré par le trafic des poids lourds.
La décision a suscité un véritable tollé de la part d'élus de tous bords, principalement pour l'A16. La partie frontière belge-Calais-Boulogne de cette liaison devrait être totalement achevée l'année prochaine, date de la mise en service du tunnel, sous forme d'une liaison à caractéristique autoroutière gratuite (LACRA). Les travaux ont commencé entre Amiens et L'Isle-Adam (Val-d'Oise). C'est la portion Boulogne-Amiens qui est remise en question. Confiée à la Société des autoroutes du nord et de l'est de la France (SANEF), la réalisation de cette section n'attend plus que la signature de la déclaration d'utilité publique (DUP) par le ministre de l'équipement.
La colère du maire d'Amiens
Dans les départements de la Somme et du Pas-de-Calais, les élus ont fait front commun. MM. Guy Lengagne (PS), député du Pas-de-Calais, Léonce Deprez (UDF-PSD), maire du Touquet, Gilles de Robien (UDF-PR), maire d'Amiens, ou encore Dominique Dupilet (PS), maire de Wimereux, ont manifesté leur opposition au projet de moratoire. Même le maire de Boulogne, M. Jean Muselet, qui figurait, lors des dernières élections régionales, sur la liste de Jean-Louis Borloo, partisan d'une voie express à la place de l'A16, a signifié son opposition.
Dans le Pas-de-Calais, frappé par le chômage, et la région d'Amiens, les espoirs de développement économique se sont cristallisés autour de l'A16. " Il faut désenclaver Boulogne-sur-Mer, martèle M. Guy Lengagne, l'ancien maire de la cité portuaire. L'autoroute permettra de retenir une partie des touristes sur la Côte d'Opale et de créer un débouché sûr pour les industriels qui préfèrent le camion. Le projet de TGV Nord lié au tunnel va déjà nous valoir la suppression d'une bonne part de notre desserte ferroviaire vers Paris. Boulogne, premier centre européen de transformation du poisson, a besoin de l'autoroute. "
Le credo est repris tout le long du littoral du Pas-de-Calais. M. Léonce Deprez, président de l'Association pour le développement de l'A16, a imaginé, avec la commune voisine d'Etaples et la chambre de commerce et d'industrie de Boulogne, un projet baptisé " Opalis ", pour développer le bord de mer. A l'image de Sophia-Antipolis, Le Touquet-Etaples rebaptisé " Opalopolis " deviendrait l'un des " pôles de développement d'activités touristiques et tertiaires mais aussi de technologies de pointe attirées par la qualité de l'environnement ". Le maire d'Amiens, quant à lui, ne décolère pas.
L'autoroute A1 avait évité sa ville il y a une trentaine d'années; plus récemment, le TGV Nord ne lui a pas accordé de gare : deux absences qui expliquent son désir de bénéficier d'un grand équipement. Projet de zone tertiaire au sud de la ville, de zone industrielle et de bureaux à l'ouest le long de l'A16, étude d'un grand centre de logistique routier au nord : les cartons de la municipalité débordent. Virulent quand il dénonce " l'accord scélérat " du conseiller régional Delebarre " en totale contradiction avec le ministre Delebarre et son programme autoroutier ", M. Gilles de Robien adopte un ton plus conciliant pour convaincre la présidente du Nord-Pas-de-Calais, lui proposant de s'associer à toute démarche " pour doter les autoroutes déjà programmées d'un nombre important de sorties ".
Depuis leur arrivée à la présidence du conseil régional, les Verts ont abandonné leur discours " doctrinaire ". " Le projet d'A16 est écologiquement criminel et économiquement absurde ", affirmaient-ils dans leur programme avant les élections, en réclamant son abandon pur et simple. " Cette autoroute n'amènerait que des dommages : franchissement de l'Authie, de la Canche, percées dans le plateau du Sorrus le Grand (...), dans la forêt d'Hardelot, séparation irrémédiable entre le pays intérieur et la zone littorale, qui perdrait l'équilibre de sa faune et de sa flore au profit d'une urbanisation à vocation saisonnière (...); l'autoroute n'irrigue pas les territoires traversés, elle les stérilise ".
Aujourd'hui, si les préférences des Verts continuent d'aller vers l'aménagement de la RN1 en voie express, ils se montrent moins intransigeants. " On veut toujours organiser un débat sur l'A16, quitte à retarder la déclaration d'utilité, explique Mme Marie-Christine Blandin. Mais ce n'est pas forcément notre solution qui émergera du débat. " Dernièrement, la présidente a déclaré qu'elle ne se coucherait pas devant les bulldozers pour empêcher les travaux. Et les Verts disposent de peu de moyens de pression pour imposer leur moratoire à l'Etat, seul décideur en la matière. La présidente évoque bien la possibilité de démissionner, ce qui " risquerait de faire basculer la région à droite ". " Mais l'A16 vaut-elle bien la peine de claquer la porte ? ", s'interroge-t-elle ensuite.
Jusqu'où M. Michel Delebarre est-il prêt à aller pour défendre la cause de ses alliés ? Pas très loin si l'on en croit son discours lors des Journées techniques de la route, vendredi 15 mai. " Qui peut imaginer que le tunnel sous la Manche n'implique pas la réalisation d'une infrastructure suffisamment dimensionnée, déclarait-il. Pourquoi, pour autant, refuser tout débat dès lors qu'il a lieu dans les délais qu'auront à prendre en considération les ministres de l'équipement et de l'environnement, seuls habilités à arrêter la décision définitive. " Aujourd'hui, le ministre se défend d'avoir souscrit à un moratoire d'un maximum de six ans, comme l'affirme la présidente de la région, et se déclare contre ces procédures qui " remettent les choses sine die ".
M. Jean-Louis Bianco a annoncé qu'il prendrait rapidement une décision sur l'A16. Si la déclaration d'utilité publique n'est pas prise d'ici le 13 août, les travaux seront reportés d'environ deux ans. Raison de plus pour que la décision soit prise dans les temps, mais " en douceur ". Depuis plusieurs semaines, la direction des routes au ministère recense les avantages de l'autoroute A16 par rapport à une voie express. " Avec une voie express, on ne pourra réutiliser que 40 % de la route nationale, plaide M. Christian Leyrit, directeur des routes, et l'on passe au plus près des habitations avec des nuisances fortes. "L'expérience montre qu'il faut créer, de part et d'autre d'une voie express, des voies continues qui permettent aux riverains d'accéder aux échangeurs, assure le spécialiste. Dans le cas présent, la voie express nécessiterait beaucoup plus de terrain que l'autoroute. " L'autoroute A16 serait environ 10 % plus chère que l'autre solution, poursuit le directeur des routes. Il faudrait entre quinze et vingt ans pour la financer par les régions et l'Etat; l'autoroute, elle, sera payée par le péage. "
L'impact du tunnel sous la Manche
En matière de choix, le financement prend parfois le pas sur les questions d'aménagement du territoire. Et si l'A16 est devenue autoroute en 1987, c'est peut-être pour des questions financières et pour dédommager Amiens, privée de TGV. " On a détourné le plan transmanche ", s'insurge M. Guy Hascoët, vice-président Vert, chargé des transports au conseil régional. En 1986, l'autoroute Boulogne-Amiens n'était pas au programme qui prévoyait de relier le tunnel au sud-ouest de la France et au nord de l'Europe.
Des " aménagements partiels de capacité " étaient prévus sur la RN1 (entre Boulogne et Amiens) et entre Abbeville et Rouen. Finalement, le comité interministériel d'aménagement du territoire d'avril 1987 a intégré les liaisons Boulogne-Abbeville-Amiens dans le schéma directeur autoroutier, comme le soulignait récemment un rapport de la Cour des comptes (le Monde du 20 mai). Pour sortir de l'impasse financière de la voie express, les Verts réclament un cadre légal nouveau et reprennent à leur compte la proposition de loi du député Philippe Vasseur (PR) : créer dans les régions une taxe sur l'énergie qui alimenterait un fonds régional d'infrastructures.
Les Verts pourraient bien perdre une manche - celle de l'A16, - mais sans perdre la partie. Prochainement, un groupe de travail sera mis en place pour l'élaboration d'un nouveau schéma régional des transports. Au programme : l'amélioration des liaisons entre les trains express régionaux et le futur TGV, le développement des transports fluvial et rail-route pour constituer - pourquoi pas ? - une alternative à l'A1 bis.
Les Echos a écrit:vendredi 17 juillet 1992
NORD-PAS-DE-CALAIS Opposition des Verts
Bianco donne son feu vert à l'A16
Le ministre des Transports a signé le décret autorisant les travaux de l'autoroute A16 entre Amiens et Boulogne-sur-Mer. Une décision qui risque de remettre en cause l'accord passé entre les socialistes et les écologistes du Nord-Pas-de-Calais et compromet à moyen terme une alliance au niveau national entre le gouvernement et les Verts.
Le ministre des Transports, Jean-Louis Bianco, a signé mercredi soir un décret déclarant d'utilité publique les travaux de l'autoroute controversée A16, entre Amiens et Boulogne-sur-Mer. Cette décision satisfait les élus de la Picardie, mais remet en cause l'accord fragile passé entre les socialistes et les écologistes du Nord-Pas-de-Calais. Ces derniers, qui président la région depuis mars dernier, souhaitaient un moratoire de six ans sur la construction de cette autoroute, lui préférant un aménagement de la RN1 à deux fois deux voies.
Des études complémentaires, menées après cette controverse, ont montré que les impacts écologiques des deux projets seraient « sensiblement équivalents » mais ont fait ressortir un argument technique en faveur de l'autoroute, écrit M. Bianco dans une lettre aux élus des régions concernées. La prise en charge du financement de la 2 x 2 voies par l'Etat et les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie aurait entraîné, selon lui, un délai « de l'ordre de quinze à vingt ans » pour le lancement des travaux.
Le ministre souligne que des études détaillées seront menées par un groupe d'experts sous l'autorité des préfets, afin de déterminer les « conditions de passage de l'autoroute à l'intérieur de la bande de 300 mètres déclarée d'utilité publique » les moins préjudiciables possibles pour la faune et la flore. Enfin, ajoute-t-il, un suivi sera mené par la société concessionnaire sur les impacts de l'autoroute, pendant et après les travaux.
Les écologistes n'ont pas tardé à réagir: dès mercredi soir, la présidente verte du Nord-Pas-de-Calais, Marie-Christine Blandin, indiquait que la décision du ministre l'incitait à « reconsidérer la validité de l'accord entre les Verts et le PS » pour la direction de la région. Les Verts du Nord-Pas-de-Calais ont demandé hier au PS, au cours d'une conférence de presse, une « clarification nécessaire et urgente » de l'accord qui les lie depuis les élections de mars dernier. « Nous venons d'avaler la première couleuvre, il n'y aura pas de place pour une autre entorse » , a déclaré Alain Tredez (Verts), vice-président du conseil régional chargé de l'environnement. Et d'estimer que la présence des Verts à l'exécutif de la région était « plus que compromise »
M. Delebarre, selon les Verts, aurait accepté d'examiner au cours du mois d'août les conditions de l'accord de la majorité verte-rose. « Nous verrons si M. Delebarre a assez de poids au gouvernement » pour s'opposer au début des travaux de l'A16, a ajouté M. Tredez. Les Verts devraient ensuite décider s'ils poursuivent leur collaboration avec les socialistes au conseil régional.
https://www.leparisien.fr/economie/a-am ... Oow7zR44zM
A Amiens, la rocade devient payante
4000 usagers bénéficiaires du Pass Amiens (Somme) ne profiteront plus de l’exonération de péage sur la rocade ouest à partir du 1er avril. Automobilistes et maires des alentours sont en colère.
C’est une affaire qui fait grand bruit dans les environs d’Amiens (Somme). A partir du 1er avril, la rocade ouest sera payante pour tous, même pour les 4 000 usagers qui bénéficiaient d’une exonération de paiement grâce au Pass Amiens. Sans abonnement à Bip&Go (10 euros d’activation et 1,70 euro par mois), il leur faudra désormais débourser 1,30 euro à chaque passage entre l’embranchement à l’A16 à Argoeuves et la sortie à Dury.
Une décision d’Amiens Métropole (39 communes) à qui cette exonération coûtait 400 000 euros par an alors que, selon elle, pour la moitié des bénéficiaires du Pass Amiens, l’économie réalisée ne représentait que moins de 5 euros/mois. La colère gronde chez les usagers, en particulier sur les réseaux sociaux et certains maires indiquent n’avoir pas été consultés sur le projet.
«Une mesure inégalitaire et pas écologique»
Aujourd’hui retraitée, Colette Marchet, habitante de Creuse, fait circuler une pétition sur change.org. Elle a recueilli plus de 650 signatures. La rocade, elle l’a prise chaque jour lorsqu’elle travaillait. Elle se rappelle que le Pass Amiens a été obtenu il y a dix-sept ans par la volonté du député PC Maxime Gremetz, opposant farouche de l’ancien maire centriste Gilles de Robien : « C’est une mesure inégalitaire, martèle-t-elle. Elle n’est pas écologique car davantage de personnes circuleront en centre-ville d’Amiens ou passeront par les petits villages pour ne pas payer. Et c’est dangereux. Moi-même, je suis obligée de prendre la rocade pour me rendre à la déchetterie à Saint-Fuscien. »
Jeudi soir, le sujet a été abordé en Conseil d’agglomération. Alain Gest, le président, a annoncé la constitution d’un groupe de travail pour réfléchir à un dispositif réservé aux trajets domicile-travail reposant sur les revenus : « C’est du saupoudrage », balaie Colette Marchet. La SANEF, elle, propose une réduction de 30 % pour les trajets domicile-travail.
Une manifestation de protestation sera organisée lundi 29 mars au matin, aux 3 péages du tronçon concerné par la levée de la gratuité…
«Une mesure inégalitaire et pas écologique»
https://www.lepharedunkerquois.fr/11450 ... -dunkerque
Sondage : l’autoroute A16 doit-elle passer à trois voies entre Calais et Dunkerque ?
Travaux, circulation dense de poids lourds entre Calais et Dunkerque… Le débat est ouvert pour savoir si l’élargissement de l’A16 serait pertinent.
L’autoroute A16, qui longe le littoral de la Manche, est aussi appelée l’Européenne. Ses premiers tronçons ont été mis en service en 1993, entre Boulogne et Dunkerque. Cet axe autoroutier, long de 312 kilomètres, a métamorphosé la Côte d’Opale, mais a aussi rapidement montré ses limites. Avec 2x2 voies, la circulation y est souvent bien trop dense, notamment dans le Dunkerquois.
La parole est à vous
Si la décision d’ajouter une troisième voie à l’A16 appartient à l’État, les élus locaux peuvent enclencher le débat.
Patrice Vergriete, maire de Dunkerque, président de la Communauté urbaine de Dunkerque, mais aussi président du Pôle métropolitain de la Côte d’Opale (PMCO), qui couvre un territoire de plus de 700 000 habitants sur le littoral de la Côte d’Opale (Audomarois, Boulonnais, Calaisis, Dunkerquois, Montreuillois), a décidé de ressortir ce sujet.
https://www.lepharedunkerquois.fr/11355 ... e-ouvre-le
Élargissement de l’A16 à trois voies : le Pôle Métropolitain Côte d’Opale ouvre le débat
Si la décision d’ajouter une troisième voie à l’A16 appartient à l’État, les élus locaux peuvent enclencher le débat. C’est ce que vient de faire le Pôle Métropolitain Côte d’Opale (PMCO), comme l’explique son président Patrice Vergriete.
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