Rocade de Royan : des travaux de confort
Le Département a entamé des travaux pour allonger la bretelle de sortie vers Leclerc et Médis en venant de Saint-Georges de Didonne
L'été, ça bouchonne sacrément dans le coin. La bretelle de sortie de la rocade vers Leclerc et Médis en venant de Saint-Georges étant trop courte, la circulation est perturbée jusque sur la rocade.
Le Département a donc engagé des travaux d'allongement de cette sortie. Le chantier, estimé à deux semaines, devrait être terminé ce week-end. Le coût du chantier s'élève à 230 000 euros HT.
http://www.sudouest.fr/2016/06/14/medis ... 6-1444.phpCharente-Maritime : un motard perd la vie dans un face-à-face avec un camion
Publié le 19/04/2016 . Mis à jour à 16h57 par Sudouest.fr
Un motard, qui circulait dans le sens Saujon-Médis sur la RN150, est décédé dans un face-à-face avec un camion ce mardi peu avant 8 heures
Un choc violent s'est produit ce mardi matin sur la RN150, au niveau de Médis
Ce mardi peu avant 8 heures, un accident de la circulation s'est produit au niveau de la commune de Médis, près de Royan. Dans cet accident, un poids lourd et un motard sont impliqués. Le choc a été violent. Le conducteur du deux-roues, qui circulait dans le sens Médis-Saujon, est décédé dans un face-à-face avec le camion.
Un véhicule de désincarcération a notamment été dépêché. Au total, 13 pompiers se sont déplacés sur l'accident qui a eu lieu route de Saujon (RN150), face au camping Les Chênes.
La gendarmerie est sur place et une déviation a été mise en place. Les circonstances restent à déterminer. Des témoins sont entendus.
http://www.sudouest.fr/2016/12/01/chare ... 9-1510.phpMédis (17) : un accident perturbe la circulation
Publié le 14/06/2016 . Mis à jour le 16/06/2016 à 10h28 par Sudouest.fr
Les pompiers sont intervenus sur place © Stéphane Durand
Une collision entre deux véhicules sur la route de Saujon, à Médis, a fortement perturbé la circulation ce mardi
Une collision entre un fourgon et une voiture, en fin de journée, vers 18h30, sur la RN150 entre Médis et Saujon a causé de fortes perturbations au niveau de la circulation. Les pompiers, le SMUR et les gendarmes étaient présents sur place.
Il semble qu'un conducteur venant de Saujon se soit assoupi au volant avant de se déporter sur sa gauche. Il aurait alors heurté un véhicule arrivant en face.
Aucun blessé grave ne serait à déplorer. Il y a quelques semaines, un motard avait trouvé la mort un peu plus loin, sur la même route.
.Charente-Maritime : deux piétons, dont une fillette de 4 ans, fauchés par une voiture
Publié le 01/12/2016 . Mis à jour à 17h45 par S. D.
La gendarmerie a sécurisé les lieux, notamment pour que les hélicoptères puissent se poser. Des déviations ont été mises en place. © RC
Un accident a eu lieu, ce jeudi après-midi, au niveau de la traversée de Médis. Une dame de 65 ans et une petite fille de 4 ans ont été percutées par un automobiliste
Il était aux alentours de 16h15 lorsqu'un accident s'est produit au niveau de l'intersection de la route du Pousseau et de la Départementale 150, dans la traversée de Médis, en Charente-Maritime. Une dame âgée de 65 ans et une petite fille de 4 ans ont été percutées par un automobiliste alors qu'elles se trouvaient vraisemblablement sur la chaussée, au niveau d'un passage pour piétons. Les circonstances de l'accident restent à préciser.
L'automobiliste, d'un certain âge, aurait été gêné par le soleil rasant et n'aurait pas vu les deux piétonnes. Deux hélicoptères, Dragon 17 et Dragon 33, ont été appelés sur site pour l'évacuation des victimes vers des hôpitaux.
L'état de la sexagénaire était jugé plus grave, bien qu'elle soit consciente. L'enfant a semble t-il était moins sérieusement touché.
La circulation, perturbée dans les deux sens, a été déviée
"Je veux que Saujon-Royan soit traité avant la fin de mon mandat" Sud Ouest.fr
A LA UNE/CHUTIER/Publié le 25/03/2017 à 3h45 . Mis à jour le 26/03/2017.
Avant de pouvoir réaliser les aménagements nécessaires à la fluidification du trafic à l'entrée de Royan, l'Etat concédera d'abord la RN 150 au Conseil départemental ©INFOGRAPHIE "SUD OUEST"
Dominique Bussereau entend mener rapidement à terme un vieux serpent de mer, fluidifier le trafic routier entre Saujon et l’entrée de Royan. Une problématique à tiroirs. Pour « traiter » la traversée de Médis, le Département imagine notamment d’y « enterrer » la RN 150.
Dominique Bussereau a beau jeu de rappeler le statut de la Charente-Maritime : « Le premier département en terme de fréquentation touristique. Et le Pays royannais est le secteur le plus fréquenté. » À cet égard, toutes les liaisons vers la presqu’île d’Arvert, la Côte de Beauté, les rives de l’estuaire doivent être optimisées. Il en va des infrastructures routières comme du train.
L’axe Saintes-Saujon étant enfin passé à deux fois deux voies, reste à « traiter » le barreau Saujon-Royan. Un vieux serpent de mer. Une première pierre a toutefois été posée à ce chantier avec la réalisation d’un carrefour giratoire au niveau de l’aérodrome. Il fait consensus depuis l’achèvement de voie express Saintes-Saujon que la portion Saujon-Royan ne sera pas aménagé de la même manière. « Les maires de Saujon, Médis et Royan ne le souhaitent pas », confirme Dominique Bussereau.
Crédit photo : Infographie "Sud Ouest"
« Des liaisons douces »
Médis, notamment, aurait à perdre à voir une éventuelle déviation permettre aux automobilistes d’esquiver son centre-bourg (lire ci-contre). L’actuel carrefour à feux, nœud de ralentissement en période estivale, nécessite un réaménagement. Du moins est-ce l’intention de Dominique Bussereau. « Il faut supprimer ces feux », estime le président du Conseil départemental. « De même qu’il faut réaliser des liaisons douces pour mettre fin à cette coupure en deux du bourg de Médis. »
Un rond-point pourrait constituer une alternative à l’actuel carrefour à feux. C’est pourtant un tout autre scénario qu’a imaginé la direction des infrastructures routières (DIR) du Département, avec l’assentiment de Dominique Bussereau : isoler la RN 150 dans sa traversée du bourg de Médis, en l’enterrant (lire par ailleurs). Un aménagement que refuse de but en blanc le maire de la commune, Yvon Cotterre.
Bois à déclasser
Des giratoires, le Conseil départemental en réalisera, néanmoins. L’un à la place du carrefour à feux entre les zones d’activités Belmont et Royan 2. L’autre, crucial, mais complexe, au niveau des feux de l’hypermarché E.Leclerc. « Là, nous manquons d’emprise. Il nous faudrait gagner de l’espace sur les bois de Belmont, du côté Saintes. Didier Quentin, propriétaire de ces bois, n’y est pas opposé. Le souci vient du classement de la zone en espaces boisés classés. Nous devons obtenir l’autorisation de la commission des sites pour la déclasser et ça peut prendre du temps », sait par expérience Dominique Bussereau.
La priorité des priorités dans cet ensemble d’aménagements consiste d’abord à obtenir le transfert de la nationale 150 de l’État au Conseil départemental. L’État ne voit pas d’un mauvais œil que l’entretien de ces kilomètres de bitume échoie à la collectivité territoriale. Au contraire. Il versera même une compensation financière au Conseil départemental au moment du transfert. « Nous sommes actuellement en train de négocier le montant de cette soulte », révèle Dominique Bussereau.
Le transfert de la N 150 acté, le président du Conseil départemental fixe déjà les chantiers prioritaires. « En premier lieu, réaliser le rond-point entre l’aérodrome et E. Leclerc. Dans un second temps, également, il faudra améliorer l’échangeur avec la rocade. Là, l’espace est suffisant pour réaliser ces travaux. » Un giratoire ne sera aménagé en face de l’hypermarché E.Leclerc qu’après ces aménagements, le temps d’obtenir le déclassement des surfaces boisées nécessaires, mais aussi de réfléchir aux flux générés par l’école et le collège Sainte-Marie. Un secteur effectivement complexe à traiter.
Pour autant, Dominique Bussereau entend voir la liaison Saujon-Royan ainsi modernisée « d’ici à la fin de (son) mandat ».
Voie enterrée ou giratoire carré
Le tracé rouge visible sur cette infographie matérialise le projet soumis au maire de Médis par le président du Conseil départemental, dont la direction des infrastructures a planché sur un encaissement de la RN 150 dans une partie de la traversée du bourg de Médis. Les automobilistes, une fois engagés sur ce tronçon, ne pourraient plus quitter cet axe, pour stationner temporairement sur le bas-côté ou accéder aux commerces bordant immédiatement ce tronçon.
Yvon Cotterre refuse cette hypothèse de travail. Lui suggère l’aménagement dans le bourg d’un giratoire... rectangulaire. Une scission de la RN 150 dans le bourg, en deux voies distinctes à sens unique formant, donc, un vaste rectangle, qui créerait une nouvelle zone à aménager, en plein cœur du bourg. " Cette idée est un projet global qui se réfléchit à 15 ou 20 ans ", nuance l’édile, conscient qu’un tel aménagement nécessite une vision d’ensemble du développement de Médis.
De 16 000 véhicules par jour hors saison, le trafic monte jusqu’à 23 000 en été dans Médis
Médis veut conserver les bénéfices de la 150
Il est un point sur lequel Yvon Cotterre rejoint, évidemment, Dominique Bussereau. La traversée routière de la commune dont il est le maire depuis 2014 nécessite d’être traitée en profondeur. À propos de profondeur, toutefois, Yvon Cotterre ne conçoit pas qu’on puisse descendre aussi bas que le projet imaginé par la direction des infrastructures du Département et que Dominique Bussereau lui a transmis début février (lire ci-dessous).
« Enterrer » la RN 150 dans sa traversée du centre-bourg, Yvon Cotterre ne veut pas en entendre parler. « Il ne s’agirait jamais que d’une déviation qui passerait dans le bourg. » Un tel aménagement ne résoudrait en rien, selon lui, le problème posé par la présence de ce ruban de bitume et les 16 000 véhicules à qui il permet de transiter au beau milieu du bourg. « En saison, le trafic est même à 23 000 véhicules par jour ! »
L’économie pour critère
Cette portion de la RN 150 pose une complexe équation. « Aujourd’hui, elle coupe la commune en deux parties qui sont devenues antagonistes. Nous sommes dans la négation de ce que doit être un centre-bourg », analyse Yvon Cotterre. Pourtant, la RN 150 est autant une bénédiction qu’une malédiction. Les commerces locaux captent une partie de ce trafic et souffriraient d’en être privés. D’où le rejet de l’idée d’un contournement de la commune.
Yvon Cotterre n’ira pas au bras de fer avec Dominique Bussereau. Les deux hommes partagent la même sensibilité politique. Pour autant, le maire de Médis n’acceptera pas n’importe quel aménagement sans qu’en soit consciencieusement pesé le pour et le contre. Yvon Cotterre sera ferme : « Toutes les propositions d’aménagement qui n’iront pas dans le sens d’une visibilité des acteurs économiques de notre commune n’auront pas notre accord ! »
Commune de quelque 3 000 habitants, limitrophe de l’« aimant » Royan, Médis ne veut pas être « une commune-dortoir », refuse Yvon Cotterre, qui veut au contraire dynamiser son tissu économique, dans le respect d’un équilibre. « Nous savons que Médis prendra sa part de l’accroissement annoncée de la population en Pays royannais, mais nous voulons nous développer raisonnablement, en conservant le côté rural de la commune. » Avec la RN 150 comme atout, non comme barrière.
"Ce serait une catastrophe"
« Si la RN 150 contourne Médis ou si elle est enterrée? Notre commerce meurt. Et tout le village meurt! » Derrière son comptoir des Délices de Médis, Isabelle résume en une formule la crainte de tous les commerçants médisais. Privé de la possibilité de capter une partie des 18 000 à 22 000 véhicules traversant chaque jour la commune, le tissu économique local souffrirait, doux euphémisme. La boulangerie d’Isabelle jouxte le carrefour à feux. « Les gens qui connaissent tournent avant, en arrivant de Saintes, les autres se garent à côté de la boulangerie. On a un large trottoir », accessible sans danger depuis la chaussée de la RN 150. « On a, bien sûr, notre clientèle locale, mais aussi beaucoup de gens qui travaillent à Royan et s’arrêtent sur la route. Et nous captons les touristes l’été, aussi. »
Isoler la RN 150 en l’encaissant serait « une catastrophe », juge également Éric Bourdeau, à la tête pour quelques jours encore de la concession Renault. « Dans un tel scénario, on peut estimer la baisse du chiffre d’affaires à 60–70 %. On l’a vu dans d’autres communes. La seule solution, dans ce cas, c’est de changer d’implantation. » Éric Bourdeau ne croit pas beaucoup, toutefois, à la concrétisation de cette « idée saugrenue ».
L’« enterrement » de la RN 150… enterré
A La Une Médis
Publié le 27/03/2017 à 3h41 par R. C.
Dominique Bussereau a précisé au cours du week-end qu’il venait d’en informer les jours précédents le maire Yvon Cotterre : « Cette hypothèse de travail est abandonnée ».
Horizon 2035
A La Une Médis
Publié le 24/06/2017 à 3h42 par Francis Veronneau.
Horizon 2035
Pour rompre avec la traversée linéaire du centre-bourg ! Photo Doc. Étude mairie de Médis
« Gouverner, c’est prévoir ! ». Fort de cette citation, une véritable projection dans le temps et dans l’espace a été présentée vendredi dernier (1) aux habitants de la commune de Médis par l’équipe municipale. Le concept de projet a même été visité dans toute sa globalité, que ce soit dans sa composante urbanistique, administrative, économique, voire éducative et environnementale.
« L’ambition » consiste donc à bannir le « coup par coup », inscrire cette évolution de la commune dans la durée et parler aux générations futures. Vaste programme !
Si le diagnostic réalisé a tôt fait de mettre le doigt sur le caractère vétuste du bâti communal, sur une politique d’aménagement reposant davantage sur des opportunités foncières que sur un véritable schéma directeur, sur l’état dégradé de la voirie et sur un tissu commercial manquant de densité, il apparaît que le handicap majeur se révèle être cette division de la commune en deux, traversée du nord au sud par la RN 150, véritable rupture en termes d’unité géographique, fonctionnelle, voire d’identité.
En faire un atout
C’est dans sa capacité à dénouer, plutôt qu’à trancher, ce « Nœud gordien » que la commune de Médis s’ouvrira des perspectives à la hauteur de ses légitimes ambitions, considérant son positionnement privilégié dans le Pays royannais.
Alors que « trancher » consisterait à dévier tout simplement la route par le « haut », par le « bas, ou bien « par-dessus », voire « par-dessous », s’efforcer de « dénouer » ce nœud mythique, cela signifierait faire de ce handicap un atout.
Il s’agirait en fait d’apaiser ce flux permanent de véhicules (16 000/jour en moyenne) en rompant avec la traversée linéaire du bourg, en l’intégrant et en le domestiquant en quelque sorte… Et si la prévision d’un pôle scolaire, éducatif, culturel et de loisirs peut être réalisée indépendamment, s’il en est de même concernant les infrastructures administratives et communales, bien des objectifs de cette « Ambition 2035 », de nature commerciale, économique, touristique, voire sociologique, restent étroitement dépendants de la réussite de l’option choisie.
(1) Lier également notre édition d’hier sur la première partie de cette réunion publique de vendredi dernier.
L’aménagement de la RN 150 à l’étude
A La Une Médis
Publié le 24/11/2018 à 3h52 par Denise Roz.
Le réaménagement de la traversée de Médis permettra une meilleure fluidité de la circulation.
Le Conseil municipal s’est réuni jeudi à la mairie.[...]
Participation financière
Parmi les sujets traités, l’approbation des dispositions de la convention avec le Département pour les études d’aménagement de la traverse de la RN 150. La participation financière de la commune aux études d’aménagement s’élève à 3 362,50 €, soit 50 % du montant total desdites études estimées à 6 725 €.
L’ensemble des délibérations de l’ordre du jour ayant été approuvé à l’unanimité, la séance a été levée, ce qui a permis, hors conseil, de questionner le maire sur cet aménagement qui pose réflexion.
Yvon Cotterre a rappelé que la RN 150 coupe la commune en deux parties. Ce qui actuellement pose un certain nombre d’inconvénients, notamment pour la sécurité des Médisais. La circulation y est dense, le trafic atteint 22 400 véhicules par jour en été, il apparaît donc important d’améliorer les conditions de transit de cet axe routier. Les services du Département ont engagé des études pour la réalisation d’un giratoire qui pourrait améliorer le trafic tout en préservant la vie locale.
La municipalité médisaise souhaite profiter de cet aménagement pour construire un projet de développement à plus long terme. Ce qui impliquerait d’aménager le centre-bourg dans un objectif plus économique, et de déplacer un certain nombre d’équipements vers d’autres sites. D’ores un déjà, tenant compte du projet d’aménagement et de développement durable (PADD) – consultable sur le site de la ville -, le maire a souligné les ambitions de son équipe pour les prochaines années. « On déplace la salle des fêtes ainsi que le groupe scolaire pour le rapprocher des équipements sportifs existants, évitant ainsi les déplacements des enfants entre l’école et les lieux de sports. L’aménagement d’un parking mutualisé entre les différents équipements est aussi prévu.
guy21 a écrit:Incompréhensible de s'opposer à une déviation de son bourg avec une telle circulation! Il n'a pas d'opposants M.le maire de Médis? Il craint pour le commerce local? Au premier accident grave, il changera d'avis.
Royan : des murs anti-bruit installés sur la rocade
A La Une Vaux-Sur-Mer
Publié le 11/03/2019 à 3h50. Mis à jour à 8h51 par Stéphane Durand.
Le Conseil départemental doit démarrer aujourd’hui le chantier qui va durer huit mois avec une interruption cet été.
Les riverains qui habitent des deux côtés de la rocade de Royan entre le rond-point du centre de secours et celui dit des carrelets à Vaux-sur-Mer vont pouvoir pousser un ouf de soulagement et enlever leur boules quies.[...]
Charente-Maritime Construction de protections acoustiques à Saintes et à Royan
le 13/02/2009 | Charente-Maritime
Des projets sont prévus à Saintes et à Royan pour protéger les riverains des nuisances sonores provoquées par le trafic routier.
A Saintes, les protections phoniques du lotissement des Ballandreaux, en bordure de la RD24, seront prises en charge en totalité par le département. Une participation de l’Etat, de la région et de la commune est prévue pour le hameau du « Terrier des Mouches » au droit de la RD137 (rocade de Saintes). Pour limiter leur impact visuel, les murs antibruit de 3 à 4 mètres de hauteur seront en bois reconstitué et végétalisés. Le projet est estimé au total à 2 millions d’euros. Les travaux sont prévus en fin d’année.
A Royan, le long de la rocade, deux phases ont été définies : la première comprend uniquement un mur ; la seconde phase comprend un merlon sur lequel sera érigé un écran. Des aménagements paysagers compléteront les réalisations. La phase 1 est estimée à 400 000 euros et la phase 2 à 800 000 euros.
Contact : conseil général, tél. : 05.46.31.70.00.
G.E. a écrit:Le CD17 était supposé passer à 2x2 voies l'infernale rocade de Royan (voire même supprimer des giratoires), mais depuis des années, c'est le néant total.
Poser des murs anti-bruit est bien le minimum à faire pour protéger des riverains, souvent installés après la construction de la rocade, dans la mesure où on préserve les possibilités de doublement.
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