lucienmathurin a écrit: Dinan - Caulnes - Saint Méen - Ploërmel ce n'est pas une mauvaise idée, mais effectivement le CD 22 a déjà assez à faire avec la RD 222 rocade de Saint Brieuc, la RD 700 branche de l'axe Triskell et la RD 7 vers Paimpol dont il a engagé la procédure pour doubler la section entre les deux qui le sont déjà.
Fougères
RN12. Les études pour la déviation de Beaucé en 2x2 voies vont reprendre
Suspendues depuis novembre 2017, les études autour de la déviation de Beaucé vont reprendre.
Antoine VICTOT.
Modifié le 11/09/2018 à 19h55
Publié le 11/09/2018 à 19h39
Suspendus pendant près d’un an, les études pour la déviation de Beaucé (RN 12), au sud de Fougères vont repartir. La préfet a reçu une lettre de mission de la ministre des Transports Elisabeth Borne pour réengager la discussion autour d’une 2 x 2 voies.
L’aménagement de la déviation de l’agglomération Fougères-Beaucé est reparti sur la bonne voie.
Un gabarit à trancher
Inscrit initialement dans le Contrat de Plan État Région 2015-2020 pour la région Bretagne, ce projet avait subi un coup d’arrêt en novembre 2017 suite au dernier comité de suivi.
Les élus de Fougères et les associations parties prenantes étaient montés au créneau face à l’État pour poursuivre les études sur une mise en 2x2 voies de cet axe stratégique pour le développement du nord-Mayenne et du pays de Fougères. Or à l’origine, la Direction régionale de l’environnement de l’aménagement (DREAL) privilégiait le scénario d’une section bidirectionnelle.
Résultat, les études avaient été suspendues par l’État, arguant que « depuis le premier comité de suivi de juin 2015, la commande ministérielle portait sur une déviation à deux voies et non à deux fois deux voies. »
Désenclavement et développement
Les élus locaux, le député Thierry Benoît en tête, avaient donc interpellé la ministre des Transports Elisabeth Borne sur le sujet au printemps, dans le cadre du pacte d’accessibilité de la Bretagne.
« C’est un projet structurant et essentiel pour le désenclavement du pays de Fougères », rappelle le parlementaire qui s’interroge sur « le sens d’une déviation si elle est limitée à 80/kmh ».
Le forcing a marché. Le préfet de Bretagne a reçu vendredi une lettre de mission de la ministre des Transports l’autorisant à reprendre les études selon un scénario à 2x2 voies, en prenant soin que tous les acteurs territoriaux, Département et Région se mettent autour de la table.
Reprise en main
Si rien n’est encore fait, la reprise des études et des discussions est une « bonne nouvelle » pour le député de Fougères, qui se félicite de voir le « préfet reprendre la main sur ce dossier. Nous avons besoin d’un barreau à l’est pour relier les deux bassins d’emploi de Fougères et Laval », ajoute Thierry Benoît. D’autant que le conseil départemental de Mayenne a confirmé la poursuite des aménagements en 2x 2 voies de la RD 31 entre Changé et Ernée.
RN 12 : on se rapproche d’une déviation à 4 voies pour contourner Beaucé
Les élus du pays de Fougères le réclamaient à grands cris. Ils viennent d'obtenir de nouvelles études pour que le futur contournement de Beaucé soit à quatre voies.
Publié le 11 Sep 18 à 19:53
Les nouvelles études ne remettent pas en cause le tracé privilégié par le comité de suivi, à savoir le Sud long 3 (en noir sur le plan) avec jonction au carrefour de Cimette.
La lettre de la ministre des Transports est arrivée vendredi 7 septembre peu après 22h. Elisabeth Borne y demande au Préfet de région Christophe Mirmand de relancer les études pour permettre la réalisation à 2 X 2 voies de la future déviation de Beaucé.
C’était une demande forte du comité de suivi
explique le député Thierry Benoit. Ce dernier avait rencontré la ministre Elisabeth Borne lorsqu’elle était venue à Rennes en mai dernier dans le cadre du pacte d’accessibilité de la Bretagne et lui avait fait part du souhait des élus du pays de Fougères d’une déviation à 2 X 2 voies plutôt qu’une route bi-directionnelle.
Le tracé ne change pas
Francis Rol-Tanguy, rédacteur du pacte d’accessibilité pour la Bretagne, a donné un avis favorable suite à une demande des élus du pays de Fougères et la ministre des Transports a chargé le préfet de réunir les conditions pour étudier la mise à 2 X 2 voies de la RN12
Pour le député, « cela a l’avantage de lever l’ambiguïté et de préciser la commande. Le comité de suivi va donc pouvoir reprendre ses travaux sans que cela modifie le tracé choisi, c’est-à -ire une déviation de 6 km passant au Sud de Beaucé » . Thierry Benoit précise qu’il y a unanimité pour une 2 X 2 voies au sein du comité de suivi qui comprend les élus locaux, l’association Alençon- Fougères-Dol Demain, le Département, la Région, la chambre d’agriculture et les associations d’expropriés.
Désenclavement et sécurité
Pourquoi une 4 voies plutôt qu’une route à double sens ? Pour Thierry Benoit, c’est important pour le désenclavement du pays de Fougères et cela améliore la sécurité.
Cela permettra de mieux aménager les carrefours pour prendre en compte l’accès aux exploitations agricoles.
Pour une 4 voies, des ouvrages d’art (ponts) sont en effet réalisés, ce qui n’est pas le cas pour une route à double sens.
Les nouvelles études retarderont-elles la mise en service de la déviation ? Ce n’est pas impossible mais on ne sait pas actuellement quel pourra être calendrier de réalisation. Il dépendra des financements décidés au cours des prochaines années. En tout état de cause, il faudra encore attendre quelques années pour rouler sur la déviation.
Mais la décision va dans le bon sens, on s’est battu comme les élus du pays de Fougères s’étaient battus pour obtenir le barreau d’accès à l’A84 que personne ne remet en cause,
conclut Thierry Benoit.
Bretagne
Déviation de la RN12 : un sujet toujours chaud à la Selle-en-Luitré
La visite du sous-préfet à La Selle-en-Luitré ne pouvait se faire sans que soit abordé un sujet qui fâche... Celui de la future déviation de la RN12.
Publié le 25 Nov 18 à 11:32
Denis Chopin, agriculteur a expliqué son point de vue sur la déviation de la RN12 au sous-préfet.
La Selle-en-Luitré, on le sait, n’est pas ravie du tracé choisi pour la future déviation de la RN12 contournant Beaucé, qui l’impacte le plus. Un tracé qui, s’il n’est pas remis en cause, va bénéficier de nouvelles études pour envisager la création d’une 2 X 2 voies.
Le sujet s’est invité à la table des discussions, mercredi 14 novembre, lors de visite du sous-préfet Richard Daniel Boisson dans la commune. Le maire Jean-Pierre Deshayes avait invité un agriculteur qui sera impacté par le tracé à venir s’exprimer.
« L’impression d’être pris pour des cons »
« Les citoyens de La Selle ont l’impression d’avoir été pris pour des cons » : Denis Chopin n’a pas la langue dans sa poche. Sans s’énerver, il a expliqué au sous-préfet pourquoi les habitants avaient eu l’impression de ne pas être entendus, avec une consultation qu’il estime avoir été faite dans « des conditions lamentables ».
Si on fait une déviation, il faut au moins que ce soit une route sécurisée. Actuellement, on veut dévier Beaucé et Fleurigné parce que c’est dangereux mais on fait une route à côté avec autant de croisements, on va transférer les accidents sur la route de La Selle-en-Luitré
Le passage de la déviation à 2 X 2 voies semblerait donc une meilleure solution pour l’agriculteur car elle impliquerait des ponts et donc plus de carrefours dangereux.
Mais c’est quand même bizarre qu’il ait fallu trois ans aux élus pour s’en apercevoir
s’étonne Denis Chopin. Rappelons que c’est à la demande des élus du pays de Fougères que la Ministre des transports Elisabeth Borne a missionné le Préfet pour relancer les études et étudier une 4 voies. Comme les élus de La Selle-en-Luitré, l’agriculteur aimerait aussi que l’on réfléchisse rapidement à la déviation nord de Fougères.
Richard Daniel Boisson a pris note des remarques. Il a toutefois précisé que dans toute consultation « il y a une majorité contre une minorité mais il faut faire en sorte que la minorité sorte par le haut ».
Saint-Denis-sur-Sarthon. Déviation retardée pour cause de viaduc ?
Les membres de l’association pour la déviation de Saint-Denis-sur-Sarthon réunis vendredi 12 avril, sont amers. Le dossier n’avance toujours pas.
Sarthon et Chandon
«Il semblerait que de nouvelles études soient en cours. Qu’un pont ne suffirait pas pour enjamber les rivières Sarthon et Chandon. Qu’il faudrait édifier un viaduc !» Jérôme Martin, président de l’Association pour la déviation de Saint-Denis-sur-Sarthon, n’en revient pas. «Il faudrait dix millions d’euros supplémentaires par rapport à l’enveloppe prévue qui s’élève déjà à 67 millions.» Surtout, le projet prendrait encore du retard...
Calendrier non respecté
Jérôme Martin, qui présidait l’assemblée générale de l’association, dans les locaux du centre social, vendredi 12 avril, fait le constat que «le calendrier, respecté dans un premier temps, ne l’est plus aujourd’hui». En décembre 2015, les études préalables étaient achevées. En 2016, avait lieu l’enquête nécessaire à la déclaration d’utilité publique. Les études de conception détaillées devaient être menées en 2017. Puis en 2018 les acquisitions foncières, travaux de défrichement, fouilles archéologiques... Et les travaux devaient débuter en 2019.
Pas de nouvelles, mauvaises nouvelles ?
«L’État envisage-t-il de tenir ses engagements ?» s’interrogent les membres de l’association. Le président s’inquiète également que le site internet de la Dreal, direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement, seule source d’information pour les citoyens qui subissent chaque jour le flux ininterrompu de poids lourds, «n’ait pas été mis à jour depuis la fin de l’enquête publique en 2016. Cela devient inquiétant, on peut tout imaginer…»
Quatorze études en 71 ans
« Notre association s’inscrit depuis son origine, en novembre 2014, dans le respect de la légalité, ne cherche en rien à créer un quelconque désordre», précise Jérôme Martin. Mais elle peut s’autoriser à pester tant ce dossier est ubuesque. Il a nécessité quatorze études en 71 ans. «Les premières traces du projet remontent à 1948. Le montant total de ces études aurait suffi à financer la totalité de la déviation, même en 2 x 2 voies.» Le coût de la quatorzième étude s’élève à 4,8 millions d’euros.
Panneaux démontés
Pendant ce temps, l’association a été contrainte de démonter les panneaux qu’elle avait installés en bordure de la nationale 12. Jérôme Martin a adressé un courrier à la préfète de l’Orne pour l’informer que les deux dispositifs qui invitaient le public à signer la pétition en ligne de l’association, ont été retirés. «La demande de suppression émanant de ses services était assortie d’une astreinte d’environ 200 euros par jour de retard, souligne le président. Et nous avons environ 300 euros de trésorerie !»
JOJO a écrit:Après 14 étude en 71 ans sur le projet de déviation de Saint-Denis-sur-Sarthon, il viennent juste de se rendre compte que le franchissement de deux rivières pourrait nécessiter... un viaduc!
https://www.ouest-france.fr/normandie/s ... uc-6309352Saint-Denis-sur-Sarthon. Déviation retardée pour cause de viaduc ?
Sarthon et Chandon
«Il semblerait que de nouvelles études soient en cours. Qu’un pont ne suffirait pas pour enjamber les rivières Sarthon et Chandon. Qu’il faudrait édifier un viaduc !» Jérôme Martin, président de l’Association pour la déviation de Saint-Denis-sur-Sarthon, n’en revient pas. «Il faudrait dix millions d’euros supplémentaires par rapport à l’enveloppe prévue qui s’élève déjà à 67 millions.» Surtout, le projet prendrait encore du retard...
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À l'entrée Est de Dreux, le giratoire ne tourne pas rond
Publié le 13/03/2019 à 07h06
Au fond, à droite, la longue file d'attente des automobilistes qui arrivent des Yvelines par la route nationale 12.
Ce n'est pas le boulevard périphérique parisien. Mais quand même... Chaque soir, aux heures de pointe, des automobilistes en provenance de la région parisienne patientent durant de longues minutes avant de pouvoir franchir le rond-point du Gué-aux-Anes, à l'entrée nord-est de Dreux...
"C’est un sacré bordel. Désolé mais il n’y a pas d’autre mot ! ", s’exclame Amadou, en ce lundi 11 mars 2019.
Il est 18 heures, employé en région parisienne, ce Vernolitain a les nerfs à vif, "comme chaque soir" lorsqu’il rentre du boulot. En cause, les longues minutes perdues à l’approche du giratoire du Gué-aux-Anes et de l’avenue Leclerc, à la sortie de la Route Nationale-12 et de l’entrée nord-est de Dreux.
Dès la mise en service, les problèmes de circulation sont apparus
Les importants travaux réalisés il y a deux ans, n’ont fait, selon les automobilistes, "qu’aggraver le problème. Surtout pour les gens qui sont très nombreux, le soir, à rentrer de l’Ile-de-France où ils travaillent."
"Une perte de dix minutes"
Christophe Savor, cadre à Guyancourt (Yvelines) en sait quelque chose : "À la sortie de la bretelle d’accès au rond-point, lorsque l’on quitte la “12”, les gens qui viennent de la région parisienne ne sont plus prioritaires lorsqu’ils arrivent sur le giratoire. Ils doivent céder le passage à ceux qui arrivent sur leur gauche et qui, à partir de Dreux, veulent rejoindre la Nationale, vers l'ouest, en direction d’Évreux ou d’Anet".
Le projet a joué de malchance avec l'effondrement d'une buse
Christophe a fait ses comptes : "Sur un trajet de 45 minutes entre mon domicile et mon travail, je perds dix minutes dans cet encombrement… ".
Comme Amadou et bien d’autres, il opte ainsi pour un plan B : " De plus en plus souvent, lorsque je reviens de Paris, je poursuis mon chemin jusqu’au rond-point des Coralines et je redescends par la rocade ouest. Je fais des kilomètres en plus, mais tant pis."
Eric Menou emprunte régulièrement le giratoire. Il est excédé...
Éric Menou, usager régulier du giratoire du Gué-aux-Anes, ne comprend pas pourquoi l’ordre des priorités et du sens de la circulation ont été inversés : "Avant les travaux, c’était beaucoup plus fluide : les gens qui arrivaient de Paris étaient prioritaires sur le rond-point. Et ceux qui partaient vers Évreux et Anet n’avaient pas de souci non plus puisqu’ils passaient par la bretelle qu’empruntent maintenant ceux qui arrivent de Paris. »
L'intervention du député Olivier Marleix
Une situation que le député (LR) Olivier Marleix a récemment portée au directeur Inter-départemental des Routes du Nord Ouest : "Ces dysfonctionnements créent régulièrement une file d’attente sur la RN12 dans le sens Paris-Province qui est extrêmement dangereux ". Il souligne que " cette nouvelle organisation crée beaucoup d’insatisfaction" et attend une réponse du directeur.
"Nous réfléchissons à une solution pour régler ce problème complexe compte tenu du fort trafic et de la configuration actuelle, tout en garantissant une sécurité maximale pour les usagers", nous a répondu la Dirno, ce mardi 12 mars 2019.
GPS Nico a écrit:De mémoire, nous avons déjà évoqué cette situation ubuesque ici (ou sur le fil dédié à la RN154).
RN12 : les élus réaffirment leur volonté d’une déviation de Beaucé en quatre voies
Le comité de suivi du contournement de Beaucé/Fleurigné (RN12) a étudié cinq variantes. Avec un fort penchant pour un passage en quatre voies.
Publié le 31 Oct 19 à 17:51
Une grande majorité d’élus de Fougères agglomération pousse pour que l’État passe la rocade de Fougères en quatre voies ainsi que le futur contournement de Beaucé-Fleurigné.
L’examen de la déviation de Beaucé/Fleurigné se poursuit. Deux ans après la suspension des études d’un contournement bidirectionnel, le comité de suivi s’est à nouveau réuni.
Il a analysé les cinq variantes possibles d’un projet qui intègre désormais la rocade sud-ouest de Fougères dans son périmètre d’étude.
« Pas jouer petit bras »
Cinq variantes, mais une a les faveurs des élus : une quatre voies d’un bout à l’autre. C’est-à-dire depuis le rond-point de Villeneuve (Leclerc Lécousse) jusqu’à Cimette, où la déviation récupérerait l’actuelle RN12.
Bernard Marboeuf, président de Fougères agglomération, défend cette position avec ardeur : « Il ne faut pas jouer petit bras sur ce coup-là ».
Pour lui, « c’est l’infrastructure adaptée. Elle finirait le bouclage de la Bretagne en quatre voies, elle irriguerait le territoire, desservirait la zone industrielle de l’Aumaillerie ».
Le maire de Lécousse estime qu’une 2X2 voies, avec bande d’arrêt d’urgence, permet d’envisager l’avenir :
Non seulement on sécurise les accès, mais elle serait adaptée aux mobilités et aux trafics de demain, pour les transports collectifs en site propre, par exemple, ainsi qu’aux voitures autonomes propulsées par des énergies propres. »
Cette hypothèse, si elle est retenue, induit un changement d’échelle financier. On passerait en effet d’un projet estimé à 30 millions d’euros (déviation bidirectionnelle) à 96,3 millions d’euros. « On a d’autres exemples, comme la Rennes-Redon réalisée par le conseil départemental pour des sommes inférieures », relativise Bernard Marboeuf.
Autre enjeu : la consommation de terres agricoles. Une quatre voies exige une emprise de 60 hectares au sol.
Trois fois plus que pour une route à double sens. « Une bonne fois pour toutes, on aurait une emprise foncière définitive et les agriculteurs sauraient à quoi s’en tenir », estime Bernard Marboeuf.
Lire aussi : Une route à travers les Cotterêts pour contourner Fougères ?
Les nouvelles études ne remettent pas en cause le tracé privilégié par le comité de suivi, à savoir le Sud long 3 (en noir sur le plan) avec jonction au carrefour de Cimette. (©La Chronique républicaine)
« Comme si le réchauffement n’existait pas »
André Robinard était présent à ce comité de suivi au titre de l’association de défense de l’environnement Passiflore. « D’accord pour éviter Beaucé pour des raisons de sécurité et de pollution* », il conteste les orientations prises :
La voiture, toujours la voiture. On parle toujours comme si le réchauffement climatique n’existait pas, comme si le Pays de Fougères était dans une bulle étanche. Comment, avec ce projet, Fougères agglomération peut-elle réduire par quatre les gaz à effets de serre ? »
La Passiflore demande « un plan mobilité global plus ambitieux ».
Et de citer, « sans être exhaustif », la gratuité des transports en commun (« 40 villes de France le font, 60 vont le faire »), plus de cadence, faire plus marcher les gens, promouvoir le vélo électrique, créer une plateforme Internet locale de covoiturage, se battre pour le retour du train, pour les voyageurs et le fret ferroviaire afin d’ôter les camions de la route. « À partir de là, on voit comment le trafic local évolue et si une déviation est nécessaire ».
À Court terme, avant qu’une décision soit prise pour la déviation, le comité de suivi s’est prononcé en faveur de la réalisation d’équipements de sécurité à Beaucé et Fleurigné.
* À quotidien, le bourg de Beaucé, dernière commune traversée par la RN12, voit passer plus de 10 000 véhicules. Dont énormément de poids lourds.
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