gaston60 a écrit:Bonjour a tous,
A cet endroit c'est très illogique car on repart vers beauvais donc vers la N31.
La signalisation autour de Compiegne depuit l'ouverture du viaduc (N1031, N31 ) est dessastreuse.
En venant de Beauvais à l'entrée de Compiegne vient seulement d'etre mis en place la signalisation definitive qui indique Soissons tout droit via N31 et pour la sortie à droite il est indiqué D1131 Creil Senlis Compiegne Centre.
Je remarque aussi que l'on indique plus Reims ni Rouen.
Sinon au niveau de l'échangeur (D1032 (ex N32) N31 (ou N1031)) en venant de Beauvais aucune signalisation Soissons il est encore indiqué Compiegne Centre et le cartouche est resté N1031.
Le reclassement à t-il etait fait sur cette section?
Par contre la semaine derniere au niveau de ce même échangeur un magnifique radar automatique 3 géneration fut posé, certainement moins chers et plus profitable qu'une signalisation correct d'itinéraire.
La déviation Ribécourt-Noyon est ouverte… à moitié !
Île-de-France & Oise > Oise > Noyon | 22 mai 2017, 18h20
Pimprez, ce lundi. La nouvelle déviation à ouvert dans le sens Ribécourt-Noyon. Pour l’autre portion, il faudra attendre mercredi. LP/Stéphanie Forestier
Le prolongement de la D1032 jusque Noyon est opérationnel depuis ce lundi après-midi mais que dans un sens.
Il faudra attendre ce mercredi pour pouvoir emprunter la déviation Ribécourt-Noyon dans les deux sens. Ce lundi après-midi, cette nouvelle portion de la D1032 était enfin accessible en direction de la cité de Calvin. Pour revenir, il fallait encore passer par le village de Chiry-Ourscamp. « Ce n’est pas grave ! lâche le maire (SE), Jean-Yves Bonnard. Nos habitants vont enfin pouvoir traverser la route en sécurité, aller chercher leurs enfants à l’école sans la boule au ventre. Nous allons enfin pouvoir nous réapproprier notre commune ! » Cette déviation, tout le monde en entend parler depuis des années. Le maire a même retrouvé une archive de 1968 où elle était évoquée. Le village voyait passer chaque jour, 19 000 véhicules, poids lourds compris. La déviation devrait faire baisser le chiffre à 2 500 voire 3 000 véhicules.
leparisien.fr
G.E. a écrit:Une deuxième mise en service de voie express pour le département cette année. Un bon rythme !
Il semble malheureusement que la suite vers l'Aisne ne soit plus programmée...
L'Aisne Nouvelle (02/07/2017) a écrit:VOIRIE
La 2x2 voies Chauny-Noyon, c’est pour quand ?
Entre Saint-Quentin et Compiègne (et l’accès direct à l’A1), il ne reste plus qu’une quinzaine de kilomètres à dédoubler. L’enjeu est considérable pour notre secteur. Mais…
Par Ludovic Quillet | Publié le 02/07/2017
Ouverte depuis un peu plus d’un mois, la déviation entre Noyon et Ribécourt rapproche encore un peu plus le Pays chaunois, mais aussi le Saint-Quentinois, de la région parisienne via l’autoroute A1.
Un dernier tronçon reste à réaliser pour que l’axe Saint-Quentin – Compiègne, long d’environ 75 kilomètres, soit entièrement en 2x2 voies : il s’agit du segment compris entre Noyon et Chauny (Viry-Noureuil précisément), soit environ 6 km dans l’Oise et 9 km dans l’Aisne. Mais quand ?
Enjeu économique
La première réflexion est de se dire que ce dernier tronçon se fera naturellement.
Mais comme ce n’est pas aussi simple que cela, et que les finances des collectivités territoriales qui subventionnent ce type de projet ne sont pas au plus haut, le doute est permis. D’autant plus que ce projet routier remonte « à une bonne vingtaine d’années », souligne le conseiller départemental Jean-Luc Lanouilh. Ce dernier, élu depuis 1995, est bien placé pour le savoir car son prédécesseur l’avait déjà évoqué. Il a repris le « bébé » sans parvenir à le faire grandir.
Pourtant, les enjeux sont considérables pour notre bassin de vie, l’un des plus sinistrés de France. « Il y a d’une part le désenclavement de notre secteur dont bénéficieraient les zones économiques et commerciales de notre territoire en écourtant le temps de trajet avec Paris. Et d’autre part, nous allons devoir faire face à un flux de véhicules supplémentaires », estime l’élu.
Davantage de véhicules attendus
D’après les derniers relevés, 10 000 véhicules/jour empruntent cette portion de la D1032 entre Chauny et Noyon « dont 12 % de poids lourds ce qui est beaucoup », commente le directeur de la voirie départementale. Le conseiller départemental pense que la moyenne pourrait assez rapidement passer à 12 000 véhicules/jour. La mise à 2x2 voies pourrait alors encore plus se justifier.
Cet axe n’est toutefois pas le plus fréquenté dans l’Aisne. Loin devant, il y a le viaduc de Saint-Quentin (30 000 véhicules/jour), puis la RN2 entre Soissons et Villers-Cotterêts (23 000 véhicules/j) et la D1 entre Chauny et Saint-Quentin (14 000 véhicules/j), indique le service de la voirie.
Dans la partie Aisne, le contournement de Marest-Dampcourt serait « une bonne nouvelle » pour la majorité des riverains. Idem, dans l’Oise, pour ceux de Mondescourt, Baboeuf et Salency.
Le conseil départemental au point mort
Une chose est sûre, il n’y aura pas de dédoublement de la D1032 sans la volonté politique et financière du conseil départemental de l’Aisne. Or, ce projet est au point mort. « Il avait été évoqué lorsque cette route était nationale, mais depuis 2006, année du transfert au Département, aucune décision n’a été prise en ce sens », constate un spécialiste. « Ma demande est intacte depuis le début ; il s‘agit d’un dossier crucial pour notre canton et au-delà », insiste Jean-Luc Lanouilh.
« Ce n’est pas une priorité, dévoile de son côté Pierre-Jean Verzelen, le vice-président du CD en charge des Transports. Ce projet est un serpent de mer dont on entend parler depuis des années. » Et au passage, il tacle son collègue chaunois : « Jean-Luc Lanouilh a été vice-président du conseil général pendant quinze ans. Si ce dossier avait été une priorité, il ne fallait pas qu’il s’en prive. »
Au crochet de l’Oise
L’une des données à prendre en compte, c’est la décision que prendra le conseil départemental de l’Oise.
Celui qui vient de consentir un effort budgétaire considérable pour placer en 2x2 voies les secteurs Compiègne – Ribécourt puis dernièrement Ribécourt – Noyon est-il prêt à financer les 6 derniers kilomètres entre Noyon et Mondescourt ? Pas maintenant probablement car ce genre d’opération se chiffre en dizaines de millions d’euros.
Pour autant, tout espoir n’est pas perdu surtout qu’une plate-forme portuaire devrait voir le jour dans le Noyonnais avec la construction à venir du canal à grand gabarit. « Il va de soi que passer d’une voie à deux voies serait appréciable », conclut le conseiller départemental.
Toujours est-il que depuis l’ouverture de la nouvelle route qui contourne Chiry-Ourscamp, la liaison Noyon-Chauny semble désormais bien longue en temps de trajet.
gavatx76 a écrit:Ah? La RN31 entre Compiègne et l'A1 a été mise à 2x2 voies ces jours-ci?
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