la création du franchissement de la RN10 conduit en effet à une augmentation du trafic sur cet axe et à des risques de remontées de file aux heures de pointe. Les études menées mettent par conséquent en avant une augmentation des niveaux sonores pour les habitations situées à proximité de la RD213. Pour pallier cette situation, des mesures de réduction du bruit seront analysées dans le cadre des études préalables à l’enquête publique qui seront menées après la concertation (protections à la source, isolation de façade etc.) pour respecter la réglementation en matière de bruit.
G.E. a écrit:A quand le retour de l'A12 ?
La mise en œuvre du projet
Le calendrier
Plusieurs participants, notamment les élus, se réjouisent de voir se concrétiser ce projet ancien.
Un participant estime que si le projet de l’A12 avait été réalisé, la saturation de la RN10 aurait été évitée et la mise en œuvre de ce projet n’aurait pas été nécessaire.
La DiRIF confirme que le projet d’A12 n’est plus d’actualité.
L’A12
Un participant souligne que si l’autoroute A12 avait été réalisée, tout ce projet serait inutile.
La DiRIF précise que le projet de prolongement de l’A12 n’a pas été retenu dans le schéma directeur national et n’est plus d’actualité.
Julien94 a écrit::arrow: RN10 Malmedonne - Synthèse de la réunion de clôture du 12 décembre 2019
RN10 Malmedonne - Rapport définitif du garant de la concertationG.E. a écrit:A quand le retour de l'A12 ?
En lisant les documents ci-dessus, on ne sent pas trop le retour de l'A12 :La mise en œuvre du projet
Le calendrier
Plusieurs participants, notamment les élus, se réjouisent de voir se concrétiser ce projet ancien.
Un participant estime que si le projet de l’A12 avait été réalisé, la saturation de la RN10 aurait été évitée et la mise en œuvre de ce projet n’aurait pas été nécessaire.
La DiRIF confirme que le projet d’A12 n’est plus d’actualité.L’A12
Un participant souligne que si l’autoroute A12 avait été réalisée, tout ce projet serait inutile.
La DiRIF précise que le projet de prolongement de l’A12 n’a pas été retenu dans le schéma directeur national et n’est plus d’actualité.
Le Parisien a écrit :
Yvelines : l’enfouissement de la N10 à Trappes lancé en début d’année
L’objectif est de réduire les nuisances liées au trafic mais aussi de relier l’ensemble des quartiers au centre-ville. Ce chantier pharaonique doit s’étaler sur 7 ans.
Retardé mais pas abandonné. Comme beaucoup d'autres projets d'envergure, l'enfouissement de la N 10 à Trappes a fait les frais de la crise sanitaire et a vu son calendrier bouleversé. Les travaux, qui devaient commencer avant l'été dernier, seront finalement lancés durant le premier trimestre de l'année prochaine.
Le projet consiste à enterrer l'axe sur une portion d'environ 700 m et à réaliser un plateau urbain à la hauteur de la mairie. Le coût de l'opération est estimé à 100 M€, une somme financée par l'Etat avec la participation de la région, du département, de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et de la ville.
80 000 véhicules par jour sur cet axe qui coupe la ville en deux
Ce dossier avait été initié par Guy Malandain (PS) en 2001 après son installation à la mairie. Pour motiver ce projet, la ville expliquait alors qu'« autant de pollution et de bruit générés par la coupure de la ville en deux constituent une situation unique en France ».
Plus de 80 000 véhicules circulent par jour sur cette deux fois deux voies. L'objectif de ces travaux pharaoniques est de réduire les nuisances liées à la circulation bien sûr, mais aussi de relier l'ensemble des quartiers au centre-ville, notamment ceux des Merisiers et la Plaine de Neauphle qui se trouvent de l'autre côté l'axe.
« Ce sera le fil rouge du mandat », Ali Rabeh, le maire (Génération. s) de Trappes
Et si la réunion du comité de pilotage prévue lundi dernier a été reportée, les grandes lignes du chantier sont désormais définies. « L'opération devrait s'échelonner sur 6 à 7 ans et non sur 3 ans comme l'avait annoncé Guy Malandain mon prédécesseur, explique Ali Rabeh (Génération. s), le nouveau maire de Trappes. Ce dossier sera le fil rouge du mandat ».
Une ébauche du déroulement des travaux a été établie. Le coup d'envoi devrait être donné au niveau du pont qui enjambe la route à la hauteur de l'hôtel de ville. « Dans un premier temps, il est prévu de poser un pont métallique provisoire avant de retirer le tablier de l'ouvrage actuel », indique l'élu. Car la circulation doit être maintenue afin de permettre aux usagers d'aller et venir entre les quartiers, le centre-ville et la gare. Durant cette phase d'une durée de sept mois le trafic sera également maintenu sur la N 10.
Trappes. La ville est coupée en deux par cet axe au trafic intense. LP/Yves Fossey
Trappes. La ville est coupée en deux par cet axe au trafic intense. LP/Yves Fossey
Viendra ensuite la création de deux giratoires, l'un au niveau de la route de Dreux et du Pavillon Bleu, l'autre à proximité du stade Gravaud et de la station essence. C'est seulement après la construction de ces deux ouvrages que l'enfouissement deviendra réalité. « La N 10 ne sera creusée en pente douce de chaque côté que lorsque les trois premières opérations seront achevées », prévient Ali Rabeh.. Pendant cette ultime période la circulation sera modifiée. Afin de limiter les perturbations, les contre-allées seront transformées afin de maintenir une deux fois deux voies.
Une dalle de la superficie d'un terrain de football à aménager
La réalisation du plateau urbain sera menée en dernier. Une dalle de béton dont la superficie sera comparable à la grandeur d'un terrain de football sera alors coulée aux abords de l'hôtel de ville pour recouvrir entièrement la route. « Concernant l'aménagement du plateau urbain, une vaste campagne de concertation sera mise en place dans le but de permettre aux habitants de s'approprier le projet, annonce le maire. Nous partirons d'une page blanche et nous lancerons un appel aux idées ».
La boucle sera totalement bouclée avec l'urbanisation de cet espace qui deviendra alors le cœur de la ville. Des commerces, des équipements publics ou encore des logements et de locaux tertiaires y seront implantés. Ces derniers aménagements pourraient voir le jour à l'horizon 2026-2027.
frantz58 a écrit:Je peine à comprendre pourquoi le projet de prolongement de l'A12 avec tranchée couverte au niveau des zones bâties n'a pas été conservé à la place de cette solution qui est, je trouve, assez bancale. D'autant plus que les emprises existent encore...
Yvelines : le chantier d'enfouissement de la N10 se concrétise en 2021
Après vingt ans de concertation autour du projet de requalification de la route nationale 10, les travaux vont pouvoir démarrer au premier trimestre prochain.
L'objectif consiste à recouvrir d'une dalle urbaine l'axe routier qui coupe en deux la ville de Trappes et isole certains quartiers.
Nouvelle étape pour le chantier d'enfouissement de la N10 . Le tracé de la route nationale qui coupe en deux la commune de Trappes (Yvelines) va pouvoir être modifié après vingt ans de négociations autour du financement du projet et plus de deux ans de travaux préparatoires, lancés en 2018, pour accommoder les réseaux de canalisations au passage souterrain de la N10.
Le projet de 100 millions d'euros financés par l'Etat avec la participation de la région, du département, de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et de la ville de Trappes consiste à déniveler l'axe routier sur une longueur de près de 800 mètres, jusqu'à 7 mètres de profondeur, à hauteur de l'hôtel de ville. Un plateau urbain aménagé verra le jour au-dessus de la route enfouie.
Entre six et sept ans de travaux
L'objectif de cette opération est de désenclaver les quartiers Nord, notamment ceux des Merisiers et la Plaine de Neauphle, en les reliant au centre-ville et ses principaux commerces, situés au Sud, de l'autre côté l'axe. Il s'agit aussi de réduire les nuisances engendrées par le trafic routier aux abords de la nationale, classés en catégorie sonore 1, la plus bruyante.
Le chantier, qui doit durer six à sept ans, se fera en plusieurs étapes. L'enfouissement sera réalisé en dernier, juste avant l'aménagement de la dalle urbaine qui doit voir le jour à l'horizon 2027. L'urbanisation de cet espace deviendra alors le coeur de la ville où « l'implantation de commerces, d'équipements publics ou encore des logements et de locaux tertiaires se fera en concertation avec les citoyens », défend la Ville.
Plus de 70.000 automobilistes au quotidien
Alors que près de 70.000 automobilistes empruntent chaque jour l'artère composée de deux fois deux voies, le chantier, qui doit démarrer au premier trimestre 2021, assurera le maintien de la circulation durant les sept premiers mois de travaux. Un pont métallique provisoire sera installé en remplacement de l'ouvrage à démolir pour accueillir le trafic. Puis viendra le réaménagement des deux carrefours giratoires, aux deux extrémités de l'axe, « pour marquer deux entrées de ville », souligne la municipalité.
En plus de la crise sanitaire, de nombreux obstacles ont repoussé la réalisation du projet lancé dès 1999. Le dernier en date concernait un désengagement financier de l'Etat dont le budget 2019 ne permettait pas d'accorder les 14 millions d'euros promis. Une inversion des phases de travaux a dû être nécessaire pour permettre au gouvernement d'engager une part moins importante. Initialement, c'est l'enfouissement qui devait être effectué avant l'aménagement des carrefours.
G.E. a écrit:L'article des Echos ne se rend pas compte de l'absurdité du choix technique pour les carrefours : des giratoires pour 70000 v/j, c'est insensé.
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