[ N134 ] [ ex-A650 ] Pau - Oloron - Somport

[colvert]

https://www.francebleu.fr/infos/transpo ... 1625080098

Voie directe Pau-Oloron : vers un enterrement du projet ?
Mercredi 30 juin 2021 à 21:16 - Par Flore Catala, France Bleu Béarn Bigorre

Le projet de voie directe entre Pau et Oloron est mal en point : le gel des terrains réservés au chantier a été levé ce mercredi 30 juin, éloignant encore un peu plus la faisabilité de cette route reliant les deux villes plus directement que la RN134.
La nouvelle route doit partir de Pau, passer par Pouey de Lescar, entre Atiguelouve et Arbus, puis rejoindre directement Oloron

Le projet de voie directe entre Pau et Oloron est-il sur le point d'être enterré ? C'est ce que peut laisser penser la fin du gel des terrains réservés pour lancer le futur chantier, une bande de 300 mètres s'étendant de Pouey-de-Lescar à Oloron. Depuis ce gel débuté en 2011, le projet n'a pas avancé, faute de financement.

Le département des Pyrénées-Atlantiques porte ce projet de nouvelle route entre Pau et Oloron depuis des dizaines d'années : le but est de relier les deux villes plus directement que la RN134, partant de Pau, en passant par Lescar, entre les communes d'Artiguelouve et d'Arbus, pour rejoindre en ligne droite Oloron. Sauf que ce projet à plusieurs millions d'euros n'a jamais vu le jour, le département ne pouvant assurer le coût du chantier seul, et ni la région ni l'Etat ne voulant mettre la main à la poche.

En attendant de trouver une solution de financement, le département a opté, par délibéré en 2011, pour le gel des terrains sur lesquels la future route était imaginée. Et depuis, le projet piétine. Alors la fin du gel signe peut-être le coup d'arrêt définitif de cette voie directe.

C'est en tout cas ce que souhaitent les opposants au projet, réunis dans le Collectif pour les déplacements en Béarn, le "Code", même s'ils craignent que les hésitations et l'immobilisme des élus se poursuivent. "On demande un peu de courage" lâche Georges Dissard, membre du collectif. "Que les politiques décideurs puissent dire une bonne fois que c'est fini, et de le dire d'une façon claire, plutôt que d'attendre la fin d'une date butoir".

Mais les défenseurs du projet sont loin de vouloir tout enterrer. L'association Béarn Pyrénées Adour, qui promeut la création et la modernisation des réseaux de communication et de circulation dans le territoire, entend bien redoubler d'efforts et continuer d'interpeller les élus, au niveau local comme national. "Nous devons même participer à une réunion au Ministère des transports" explique Michel Le Gall, le président de l'association.

Et pour les habitants proches des terrains gelés, l'attente et l'incertitude commencent à être longues. Même si pour les propriétaires des terres, la fin du gel est une bonne chose, tout le monde semble attendre qu'une décision soit enfin prise et actée, dans un sens comme dans l'autre explique Jean-Marc Denax, le maire d'Artiguelouve : "ça fait vingt, voire trente ans qu'on parle de cette voie directe, qui a été pensée comme une autoroute, puis une trois voies, puis une voie directe, etc. Ce sont des atermoiements qui sont pénibles, il faut en sortir".

Maintenant que le gel des terrains est levé, reste à savoir si le conseil départemental va prendre la décision de tenter de les réserver à nouveau.

[G.E.]

Le gel de terrains dure 10 ans, au-delà il est levé automatiquement, avec le risque d'une perte des emprises. C'est au département de prendre ses responsabilités pour en demander un autre et de lancer enfin ce projet.

Par le passé, on l'a connu plus volontariste sur les routes.

[colvert]

La voie directe Pau - Oloron n'est pas oubliée par tous.
https://www.francebleu.fr/infos/economi ... 1626787569

Quatre parlementaires pour ressusciter la voie directe Lescar-Oloron
Mardi 20 juillet 2021 à 19:52 - Par Yannick Damont, France Bleu Béarn Bigorre

Une réunion importante a eu lieu mardi matin au ministère des transports. Plusieurs députés et sénateurs des Pyrénées-Atlantiques ont demandé à ce que le projet de route directe entre Pau et Oloron soit relancé.

Le gel de la bande des 300m était arrivé à échéance le 1er juillet dernier © Radio France - Yannick DAMONT

Trois députés, Jean Lassalle (Libertés et Territoires), David Habib (PS), Jean Paul Mattei ( Modem) et une sénatrice Frédérique Espagnac (PS) ainsi que plusieurs maires de la vallée d'Aspe avaient rendez vous ce mardi à Paris avec Jean-Baptiste Djebbari, le ministre délégué chargé des Transports et Marc Papinutti, le directeur général des infrastructures, des transports et de la mer. Les élus béarnais avaient obtenu cette réunion pour faire avancer des projets "qui trainent parfois depuis plus de 30 ans" selon Jean Lassalle.

Les opposants à la route directe Pau-Oloron pensaient que c'était de l'histoire ancienne © Radio France - Yannick DAMONT

Sur la table : le lancement des travaux pour la déviation du Gabarn vers Gurmençon, les contournements des communes de la vallée d'Aspe traversées par la RN 134 (Gurmençon, Asasp-Arros, Cette-Eygun et Urdos) mais aussi le projet de route directe entre Lescar et Oloron.
"Nous avons tout réveillé de nouveau" _ Jean Lassalle député des Pyrénées-Atlantiques

Pour mémoire : la voie directe entre Lescar et Oloron (prévue un temps pour être une autoroute) avait été abandonnée en 2008 lors du Grenelle de l'environnement. Le Conseil départemental avait maintenu le gel des terrains sur les coteaux d'Arbus au cas où les collectivités finiraient par trouver les financements nécessaires. Le gel de cette bande des 300 m est arrivé à échéance le 1er juillet dernier.

"Nous avons remis ce projet sur le tapis" se félicite le député Jean Lassalle et qui assure : "le ministre va nous aider là-dessus !" Un haut fonctionnaire en charge de tous les dossiers concernant la RN 134 devrait être nommé. Le ministre s'est également engagé à inscrire les contournements des communes de la vallée d'Aspe confrontées au passage des poids-lourds dans le contrat de plan Etat-Région 2022-2027. "Ce n'est pas Messieurs Lasserre (Jean-Jacques, Président du Conseil départemental) et Rousset ( Alain, Président de la Région Nouvelle Aquitaine" qui doivent _décider à notre place ce qui est bon pour nous_" conclut Jean Lassalle.

Annonce d'une enquête publique pour le tronçon Oloron-Buziet
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/ ... 840857.php

Des travaux de sécurisation programmés sur la RN 134, une enquête publique ouverte
L'Etat veut réaliser des travaux de mise en sécurité sur la RN134 sur le tronçon Oloron - Buziet.
publié le 21 juillet 2021 à 18h32, modifié à 20h00.

En vu de réaliser des ouvrages de sécurisation du tronçon Oloron-Buziet de la RN134, une enquête publique débute le lundi 16 août.

L’Etat projette de réaliser des travaux de mise en sécurité de la R134 sur la section comprise entre le lieu-dit Bélair à Buziet et l’entrée Est d’Oloron. Ces aménagements concernent les communes d’Oloron, de Précilhon, d’Escout, d’Escou, d’Herrère, d’Ogeu, de Buziet, de Lasseubetat, de Buzy et de Gan [...]

[G.E.]

Avant de réveiller des projets qui ne se feront jamais, il faut déjà réaliser l'urgente déviation d'Oloron !

Or, l'argent manque...

https://www.larepubliquedespyrenees.fr/ ... 795835.php

[colvert]

Pour info, sur le volet aménagement foncier sous maitrise d'ouvrage départementale.
https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlant ... 890016.php

Oloron : l’entreprise Laborde condamnée pour des travaux nuisibles au milieu aquatique
Par Étienne Czernecka
Publié le 10/11/2021 à 14h49
Mis à jour le 10/11/2021 à 17h51

L’entreprise de BTP était poursuivie pour avoir travaillé, en 2020, sur le tracé de la future déviation d’Oloron, en période de reproduction d’espèces protégées. Elle a été condamnée mercredi 10 novembre 2021 à 15 000 euros d’amende et devra verser 6 200 euros à une association, notamment pour dommages et intérêts

Le tribunal de proximité d’Oloron a rendu sa décision mercredi 10 novembre 2021 dans le dossier d’atteinte à la biodiversité dont faisait l’objet l’entreprise de BTP Laborde, dont le siège social se situe à Préchacq-Josbaig. En 2020, le Département des Pyrénées-Atlantiques l’avait missionnée pour réaliser des travaux en vue de la déviation Gabarn-Gurmençon. Deux associations avaient fait remonter plusieurs infractions dans le cadre de ces travaux.

L’entreprise oloronaise Laborde comparaissait mercredi 8 septembre au tribunal d’Oloron pour avoir travaillé, en 2020, sur le tracé de la future déviation d’Oloron, en pleine période de reproduction d’espèces protégées

En l’espèce, “l’exécution de travaux nuisibles à l’eau ou le milieu aquatique sans respect des prescriptions de l’arrêté d’autorisation [...] commis depuis le 26 février 2020 et jusqu’au 5 août 2020 à Précilhon” ; “non respect du projet fondement de l’autorisation ou de la déclaration d’une opération nuisible à l’eau ou au milieu aquatique”, commis sur la même période ; “réalisation d’une opération nuisible, etc., sans prendre les mesures correctives ou compensatoires prévues commis depuis le 1er mars 2020 et jusqu’au 31 mai 2020”, toujours à Précilhon.

Pour ces trois infractions, le tribunal a condamné l’entreprise à une amende de 5 000 euros pour chacune d’entre elles. De plus, la SAS Laborde devra aussi verser, notamment au titre des dommages et intérêts, 6 200 euros à l’association Sepanso, qui s’était portée partie civile dans cette affaire. La vice-présidente du tribunal, Catherine Sargenti, a renvoyé la décision à février 2022 concernant le montant des dommages et intérêts versés à Jean-Jacques Paulès, un riverain concerné par les travaux, qui s’était constitué comme victime dans ce dossier.

Ceci n'a pas empêché qu'un accord ait été trouvé pour le financement des travaux de la déviation prévus pour 2024. Une vigilance accrue de la maitrise d'ouvrage sera nécessaire lors des travaux pour éviter le même type d'action revendicative.
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/ ... 278031.php

Déviation d’Oloron : un accord trouvé pour régler le surcoût de 15 millions d’euros
Un accord a été trouvé entre le Département et l’État pour financer le surcoût de la déviation du Gabarn sur l’axe de la RN134.
Par Gildas Boënnec, publié le 8 décembre 2021 à 18h22, modifié à19h00.
Le préfet a annoncé ce mercredi que le Département et l’État étaient parvenus à un accord pour financer le surcoût de la déviation du Gabarn entre Oloron et Gurmençon. Les travaux devraient débuter fin 2024 et durer six ans.

À l’occasion de l’inauguration du pont permettant à la RN134 de passer au-dessus de la voie ferrée à Herrère, ce mercredi, le préfet des Pyrénées-Atlantiques Eric Spitz a annoncé qu’une étape majeure avait été franchie pour la concrétisation de la déviation du Gabarn.

Le projet, qui consiste à créer 3,6 kilomètres de route entre Oloron et Gurmençon, avait vu son coût augmenter, de 77 millions à 92 millions d’euros.

[G.E.]

L'Etat déclasse la traversée d'Oloron mais il prend évidemment soin de ne pas classer en retour la pseudo-rocade actuelle aux caractéristiques très médiocres (D6). Une nouvelle discontinuité du réseau routier national apparaît donc.

https://www.pyrenees-atlantiques.gouv.f ... pdf#page62

Si encore il daignait avancer sur le projet de grande déviation attendue depuis longtemps... Les problèmes de géologie et de surcoût ayant été réglés, on attend toujours le lancement des appels d'offres et le début des travaux.

[dark_green67]

Au passage, on a la confirmation que dans le centre-ville la RN134 passait par la rue Louis Barthou, contrairement à ce qu'indiquaient Google Map et la fiche du Wiki…

[G.E.]

On va corriger tout ça.

L'Etat conserve de nombreux passages en centre-ville alors qu'il y a une déviation : Alès, La Mure, etc. tout ça parce qu'il ne veut pas classer les itinéraires concernés dans son réseau et les entretenir.

Le maquillage de la signalisation ne change rien au statut de ces axes.

[colvert]

Mise aux points des élus pour rappeler l’intérêt de diverses déviations (dont celle d'Oloron-Sainte-Marie) sur la RN134 à faire inscrire au CPER en cours de discussion.
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/ ... 881797.php

RN 134 : les maires et associations en faveur des déviations interpellent à leur tour l’État

La vidéo de 15 minutes témoigne d’un important trafic de camions sur une route nationale qui traverse plusieurs villages.
Par Gildas Boënnec, publié le 19 décembre 2023 à 16h58, modifié à17h06.
Dans une vidéo, des associations et les maires de trois villages interpellent le ministre des transports sur les dangers des « centaines de camions » traversant la RN 134 et demandent la réalisation de déviations pour sécuriser les communes traversées par cet axe.

En novembre, huit élus écologistes et deux associations (PHBE et la Sepanso) avaient envoyé un courrier au ministre des transports afin de lui demander de se désengager du projet de déviation d’Oloron. Ce lundi 18 décembre, le collectif de riverains de la RN 134, l’association Béarn Adour Pyrénées et les maires de trois villages ont à leur tour adressé un message à Clément Beaune via une vidéo, cette fois pour l’alerter « sur la nécessité urgente et vitale » de concrétiser des déviations pour sécuriser les communes traversées par cet axe national, au moment où le Contrat de plan État-Région 2023-2028 est sur le point d’être finalisé.
https://youtu.be/FxpYRd5mqJ8?t=8
La déviation Gabarn-Gurmençon « s’impose plus que jamais »

[colvert]

Devant le coût important de la déviation d'Oloron, ce serait celle de Gurmençon-Asasp moins coûteuse qui serait mise en priorité.
On ferait le facile et on se garderait la grosse difficulté pour pour plus tard ?

https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlant ... 628738.php

Oloron : redistribution des cartes pour les déviations de la RN 134
Le lancement des travaux de la déviation du Gabarn pourrait être reconduit au profit de celle de Gurmençon.
Par Benjamin Roullier
Publié le 18/02/2024 à 16h10.
Mis à jour le 18/02/2024 à 18h29.

Estimée désormais à plus de 110 millions d’euros, la déviation de la RN 134 au niveau d’Oloron pourrait être reportée au profit d’ouvrages moins coûteux comme celle de Gurmençon

C’est à l’occasion de la réunion annuelle du Comité de sécurisation de la RN 134 qui s’est déroulé durant l’après-midi du jeudi 15 février, à l’auditorium de la villa Bedat d’Oloron, que la sous-préfète d’Oloron, Marion Aoustin-Roth, a annoncé le chiffre de 110 millions d’euros nécessaires à la réalisation de la future déviation de la RN 134 au niveau d’Oloron.
Un chiffre révélé par l’association oloronaise des Pyrénées rebelles, heureuse invitée de cette réunion. Interrogée samedi 17 février, sa présidente, Vanessa Lemaistre, contextualise l’annonce : « Nous avons eu d’abord une présentation complète des problématiques rencontrées, trafic, accidentologie, contrôles, modernisation et aménagements particuliers, type avalanche. Direction Interdépartementale des routes Atlantique (Dira), gendarmerie, et autre Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal) ont ainsi partagé leurs observations les plus récentes auprès des élus des communes traversées par l’axe routier. »

Arbitrages non terminés
Un premier temps dit de présentation qui a été suivi par un second consacré aux questions. C’est lors de cette seconde partie que le projet de déviation du Gabarn a été abordé ouvertement. D’abord par l’association du Comité de défense des Gurmençonnais et des communes riveraines (CDGCR), qui, s’adressant au député Iñaki Echaniz, a d’abord rappelé que cette déviation représentait un élément clef de la sécurité pour la commune et s’est ensuite interrogée sur le lancement des travaux prévu en 2025.
Ce à quoi le député a répondu que le choix de faire Oloron en premier, serait une erreur, « impact écologique et réchauffement climatique de la déviation Oloron se posent et nécessitent de mieux étudier ce projet ».
La sous-préfète s’est ensuite emparée du sujet rappelant que : « Le Contrat plan État Région (CPER) volet mobilité n’est pas encore sorti et les arbitrages ne sont pas terminés. Les chiffres ne peuvent donc pas être annoncés, le préfet de région négocie encore avec les collectivités des enjeux de sécurité », avant de confirmer, elle aussi, un possible changement de cap : « Le coût actuel de la déviation d’Oloron représente plus de 110 millions euros et nécessite la réalisation de deux ouvrages d’art, un tunnel tandis que celle de Gurmençon est estimée à 40 millions euros et semble moins impactante écologiquement. Il va falloir reposer sur la table les priorités à mettre en œuvre », a-t-elle conclu.

De 82 à 110 millions
Une augmentation constante du coût des travaux de la déviation du Gabarn, reprise par la CDGCR qui, pour mémoire, est remonté au 5 décembre 2019 : « Lors d’une réunion sécurisation similaire, la somme de 82 millions était annoncée, ensuite portée à 92 millions euros en anticipant sur les hausses, et aujourd’hui 110 millions ! »

« Il y a vingt ans, on était une centaine. Aujourd’hui, on est dix fois plus » : 1 500 personnes galvanisées à l’assemblée de la CR 47
De son côté Pyrénées rebelles s’est félicitée : « C’est la première fois qu’il est annoncé officiellement que les petites déviations de la vallée d’Aspe ne sont plus conditionnées à la réalisation de la déviation d’Oloron et nous en sommes ravis ».

[G.E.]

La stratégie de l'Etat est de ne pas faire la déviation d'Oloron, c'est assez limpide depuis une décennie. Il laisse trainer le dossier et les coûts s'envolent. Peu dynamiques, les élus locaux laissent faire.

A mon avis, ce serait une grossière erreur de lâcher la proie pour l'ombre car si la déviation est reportée, elle sera en réalité tout simplement abandonnée en raison de la péremption des études. Quant aux coûts, il n'iront jamais à la baisse... Aux élus de mettre la pression sur l'Etat pour qu'il respecte ses engagements après avoir abandonné l'A650 !

Quant à la déviation de Gurmençon, son tracé est connu, mais on repart de zéro au niveau des très lourdes procédures à mener. Donc autant faire celle d'Oloron et pendant ce temps finaliser le dossier de Gurmençon. En lisant l'article, on sent à demi-mot que les jeux sont faits. Ce serait une énorme bêtise.