À Renac, un bras de fer avec la famille du Halgouët, propriétaire du vaste domaine autour du château du Brossais, a retardé les travaux. « Mais nous n'avons pas pris de retard globalement, car nous avons lancé d'autres tronçons. »
Dans ce secteur, comme la 2x2voies sera aménagée sur le tracé actuel de la départementale, le conseil départemental construit d'abord la voie de desserte parallèle (cette voie est obligatoire pour permettre la circulation de tous les véhicules interdits sur les voies rapides). D'ici la fin 2018, c'est sur cette voie, longue de 6 km, que sera détournée toute la circulation, jusqu'à la fin des travaux.
Ouest France a écrit:
Près de Redon. La voie express Redon – Rennes trace sa route
Le chantier de la future 2 x 2 voies qui doit directement relier Redon à Rennes, à l’horizon 2021, vient de connaître une nouvelle étape. Les engins de travaux publics, qui restaient jusqu’à présent cantonnés dans la campagne de Saint-Just et de Renac, sont en effet passés à l’action à deux pas du bourg.
Depuis les fenêtres de la mairie renacoise, on peut désormais observer l’évolution des travaux, et notamment ceux de la route de La Chapelle-de-Brain, laquelle était auparavant masquée par des arbres qui entravaient la progression des travaux, et ont donc été abattus.
Si bien que sur le remblai de l’actuelle route départementale 177, on découvre maintenant – outre les fûts récemment coupés – plein de débris qui ont été jetés sur le bas-côté par des automobilistes : canettes de sodas ou de bières, sacs-poubelles pleins, emballages de charcuteries et de fast-food, bouteilles en verre ou en plastique, et même un vélo entier rongé par la rouille et la végétation après des années d’abandon.
Depuis la chaussée ouverte à la circulation, on aperçoit également, esseulés dans le paysage, la grande grille ainsi que les piliers du portail qui mène au château du Brossay.
remy a écrit:La fin de la D177 avant la rocade de Rennes est de plus en plus urbanisée et il est de plus en plus impossible d'envisager une continuité en route express jusqu'à la rocade, d'autant plus que les ronds-points de l'échangeur avec celle-ci ont été remplacés par des carrefours à feux, ce qui entraine encore plus de bouchons qu'auparavant.
La seule solution serait en effet d'aménager un itinéraire vers l'échangeur du Bois Harel / Porte de Bréquigny, mais surtout pas par le nord de la Haute Teillais, ce qui entrainerait la destruction d'espaces naturels et agricoles relativement épargnés. L'idéal serait par la D34 et la D837 avec mise à 2 x 2 voies de la première, suppression des carrefours et ronds-points sur la seconde, et refonte des échangeurs pour orienter le trafic.
remy a écrit:La fin de la D177 avant la rocade de Rennes est de plus en plus urbanisée et il est de plus en plus impossible d'envisager une continuité en route express jusqu'à la rocade, d'autant plus que les ronds-points de l'échangeur avec celle-ci ont été remplacés par des carrefours à feux, ce qui entraine encore plus de bouchons qu'auparavant.
La seule solution serait en effet d'aménager un itinéraire vers l'échangeur du Bois Harel / Porte de Bréquigny, mais surtout pas par le nord de la Haute Teillais, ce qui entrainerait la destruction d'espaces naturels et agricoles relativement épargnés. L'idéal serait par la D34 et la D837 avec mise à 2 x 2 voies de la première, suppression des carrefours et ronds-points sur la seconde, et refonte des échangeurs pour orienter le trafic.
Renac. Le chantier de la voie express fait débat
Les élus locaux et départementaux promoteurs de l’opération ont expliqué les détails du grand projet routier. Un débat qui n’a connu aucun moment creux.
Le débat
151 millions d’euros
Une réunion publique s’est tenue avec pour sujet le chantier de la voie express. En août 2018, le conseil départemental d’Ille-et-Vilaine a estimé le coût de la liaison routière directe entre Redon et Rennes à 151 millions d’euros. Un gros projet, dont une grande partie est en service, mais dont il reste des tranches importantes à réaliser, notamment pour desservir les bourgs de Saint-Just et Renac.
C’est devant une assistance nombreuse que les concepteurs et réalisateurs de l’axe routier ont ouvert la réunion, organisée vendredi soir, à la salle des fêtes. André Lefeuvre, vice-président du délégué aux grands projets routiers, à la gestion, l’exploitation et la sécurité des routes, a animé les débats. Il était assisté de ses collègues élus du Département et d’un aréopage de conseillers techniques.
« Nous arrivons aux dernières phases du chantier, sur lequel il reste encore 7 km à réaliser localement, notamment la construction des voies et des ouvrages d’art. Cela va entraîner un certain nombre de conséquences sur la circulation, car nous sommes tout près du bourg. » Pierre Ewald, directeur des grands travaux d’infrastructure, et son adjointe, Ingrid Pavard, ont ensuite pris le relais.
Des changements d’habitude à prévoir
Selon les intervenants, la prochaine étape verra l’ouverture d’un tronçon neuf, créé depuis les terrains de foot, situés en bordure de la route de Langon (RD 55) jusqu’à la Soualais. « Il passera par la zone artisanale de la Gautrais pour rejoindre la déviation des Panages » précédemment ouverte à la circulation au mois d’avril. « Il devra être emprunté par tous les véhicules jusqu’à la fin de l’année 2020, car on ne pourra plus circuler sur l’actuelle route de Rennes (RD 177), qui sera en travaux. Quand celle-ci sera totalement achevée, il sera alors affecté à la desserte locale. »
Dans l’immédiat, les véhicules pourront rouler sur la RD 55, mais ils devront respecter de nouvelles règles, dont la perte de la priorité actuellement en place sur la voie.
Par ailleurs, au niveau du pont de Brossay, les bretelles d’accès et de sortie seront définitivement fermées. « Elles ne sont pas conformes pour une voie à 110 km/h. De plus, il nous faut creuser la route sous l’ouvrage pour araser la bosse. »
Deux échangeurs et deux giratoires
Outre les trois ouvrages d’art actuellement en construction, deux autres ponts verront simultanément le jour. Ce seront des passages construits au-dessus de la voie express et dotés chacun d’un giratoire à chaque extrémité.
L’un sera édifié au lieu-dit Bel Air, à Saint-Just, à la jonction de la route (RD 54) vers Saint-Ganton, laquelle sera fermée dès la fin du mois, puis à la mi-octobre vers Saint-Just. Tandis que le second sera construit aux portes de Renac.
Si les auditeurs ont bien compris le déroulement technique du chantier et ses inconvénients, certains n’entendent pas tout à fait la même musique que les conférenciers de la soirée. Les questions ne manquent pas de surgir, notamment des riverains. À propos des bruits de circulation : « On utilisera un enrobé phonique qui abaisse le niveau des décibels », répond Pierre Ewald.
Ou au sujet des accès et sorties du bourg : pourquoi faire passer le trafic par le lotissement de Beauregard, pourquoi pas la rue du Cimetière ? « C’est en raison d’une difficulté liée à la topographie du terrain » explique l’intéressé. « Nous nous attacherons à trouver la meilleure solution avec la commune, même s’il nous faut construire 50 m de plus », conclut André Lefeuvre.
L’axe devrait être ouvert dans sa totalité à la circulation à la fin de l’année 2020.
Ille-et-Vilaine. Encore 7 km et le chantier de la voie express Rennes-Redon touche à sa fin
Toute une génération n’a connu la départementale reliant les deux villes qu’en travaux. Dans un an, la 2x2 voies sera achevée. Les communes tirent déjà leur épingle du jeu en devenant attractives pour les entreprises et la population.
Le pont de Panage, l'un des nombreux ouvrages d'art est en cours de construction.
« Attention zone de travaux signalée sur votre trajet. » Ce message délivré par les GPS est devenu banal pour les usagers de l’axe Rennes Redon qui ont dû composer depuis 2004 avec des déviations, ronds-points provisoires, circulation alternée au fil de l’avancée du chantier de construction de la deux fois deux voies. En décembre 2020, ce sera fini. « On se reverra tous pour couper le ruban », souriait, hier, Jean-Luc Chenut à l’adresse des élus du pays de Redon. La conclusion de ce chantier de 58 km dont la facture avoisine les 150 millions d’euros tient sur sept kilomètres, entre Renac et Saint-Just.
Pour l’instant sur la portion Saint-Just – Renac, la circulation se fait sur une voie sans séparation.
Une voie parallèle créée
Sur ce tronçon, les grandes manœuvres ont commencé en 2018 avec la création d’une voie nouvelle, parallèle à la départementale. « Elle sera mise en service à la mi-octobre. L’objectif est de libérer de la circulation la RD 177 qui va être doublée pour achever l’axe, explique Ingrid Pavard, cheffe du service études et travaux du conseil départemental. Elle servira ensuite pour les véhicules lents ou en délestage si besoin. »
Plusieurs ouvrages d’art enjambant ou au contraire passant sous les voies existantes sont en cours de réalisation. Ils permettront la circulation entre communes pour les piétons et, pour certains formeront un corridor naturel pour la faune. À eux seuls, ils coûtent quelque 11 millions d’euros sur 25 dans ce dernier tronçon qui se veut comme le reste de la voie express, silencieux et respectueux de l’environnement, les eaux de ruissellement étant traitées.
Le patrimoine sauvegardé
Du côté patrimoine, la découverte de vestiges à Saint-Just implique de déplacer l’échangeur sur un sol plus rocheux qui pourrait nécessiter un minage. Le portail du château Le Brossay, à Renac, se retrouve seul, debout, au milieu d’un terrassement. « Il sera conservé et réinstallé en retrait », souligne Ingrid Pavard.
Les éléments, qui composent le portail du parc du château, seront démontés et reconstruits à l’identique quelques mètres en retrait de la future route.
Un gain attractivité
Le report de circulation sur la route parallèle permettra aussi la construction des échangeurs qui irriguent les communes. Un point essentiel. Depuis la mise en service des portions successives de voirie en deux fois deux voies, des zones artisanales ont fleuri aux abords de la route départementale voyant des entreprises s’y installer. À cet essor économique s’ajoutent un frémissement démographique mais surtout une dynamique avec une offre de services qui va grandissante. Des communes autrefois enclavées deviennent attractives.
Les élus et techniciens autour de Jean-Luc Chenut, ont visité le chantier de l’ultime tronçon.
« La balle dans le camp des communes »
C’est un peu le message qu’a souhaité délivrer Jean-Luc Chenut : « Outre la dimension routière et de sécurité routière, c’est un enjeu extrêmement important d’aménagement du territoire. Les infrastructures, c’est la condition nécessaire mais pas toujours suffisante qui rend les choses possibles, estime le président du conseil départemental. C’est aux communes de prendre la balle au bond, accueillir de nouveaux habitants dans des opérations d’aménagement. »
Message reçu et parfois anticipé par les élus qui retiendront peut-être aussi des propos de Jean-Luc Chenut, à propos du coût des routes soulignant « que l’argent ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval. »
Renac. Nouvelle phase de travaux sur la route Redon-Rennes
Le chantier routier a pris un nouveau virage avec l’ouverture d’une voie parallèle. Cela entraîne des modifications de la circulation qui vont durer plusieurs mois.
Sur le tronçon fraichement ouvert à la circulation, les ouvriers du conseil départemental d'Ille et Vilaine peaufinent les nouveaux dispositifs de la signalisation routière.
Les travaux de la voie rapide de Redon à Rennes viennent de franchir une nouvelle étape. « Nous avions initialement prévu de réaliser le basculement de la circulation sur une voie parallèle, fin octobre 2019, mais les conditions particulièrement pluvieuses n’ont pas permis de finaliser les travaux dans les délais prévus », indique Ingrid Pavard, ingénieure au sein des services du conseil départemental d’Ille-et-Vilaine.
Le nouveau ruban d’enrobé, qui passe par la zone de la Gautrais, est à présent achevé et a été ouvert à la circulation vendredi après-midi, avec des conséquences importantes pour l’ensemble des automobilistes.
Cela entraîne notamment la fermeture de la rue de Beauregard, qui dessert le bourg depuis la RD177 et qui passe devant le cimetière.
Par ailleurs, les usagers provenant de Redon doivent désormais emprunter la nouvelle bretelle construite près de la grille d’entrée du château de Brossay, puis tourner à gauche à hauteur du complexe sportif. Quant à ceux qui veulent se rendre à Rennes, ils prendront le même chemin, puis poursuivront leur itinéraire par la nouvelle route qui traverse notamment la zone de la Gautrais.
Cette nouvelle voie servira aussi dans l’autre sens, donc aux automobilistes venant de Rennes et circulant vers Redon. Cette configuration est prévue pour durer plusieurs mois, vraisemblablement jusqu’à l’ouverture définitive de la voie rapide normalement, prévue fin 2020.
Ponts et ronds-points
La mise en service de la déviation de la Gautrais s’est accompagnée de l’achèvement des ouvrages d’art de Couedel, des Panages et de la Soualais. Les engins de travaux publics vont donc pouvoir réaliser les terrassements nécessaires à la construction des futures chaussées.
Mais du béton devra encore être coulé ! Car il reste à construire deux autres ponts : l’un près de Bel Air, sur la commune de Saint-Just ; et le second aux portes du bourg, pour desservir, à l’ouest, Renac tout proche, et, vers l’est, pour permettre la liaison en direction de La Chapelle-de-Brain. Chacun d’entre eux sera doté de deux ronds-points et formera un échangeur dit à lunettes.
Outre ces ouvrages, un chantier de moindre envergure sera exécuté prochainement. En effet, l’entrée monumentale du parc du Brossay, qui trône esseulée au bord de la route, sera démontée et reconstruite en retrait de plusieurs mètres vers le château du même nom.
Rennes-Redon : dernière ligne droite
Le Département réalise actuellement la section de Saint-Just à Renac de la 2x2 voies Rennes – Redon : longue de plus de 7,4 km, cette section est la dernière de l’opération. Elle sera mise en service à l’été . À ce jour, sur les 58 km qui séparent la rocade de Rennes de l’entrée de Redon, près de 51km ont déjà été aménagés.
Le Département a engagé 152 millions d’euros pour le projet prioritaire de passage en 2x2 voies de l’axe Rennes – Redon. L’objectif attendu de ce chantier est d’améliorer la mobilité et la sécurité des usagers de cet itinéraire structurant mais également de favoriser le développement des territoires traversés.
La section de Saint-Just à Renac représente un investissement pour le Département de près de 25 millions. La mise en 2x2 de ce tronçon se fait en majeure partie en aménagement sur l’ancienne RD 177. Cela permet de réutiliser une partie du tracé existant entre Couëdel (lieu-dit de Saint-Just) et Renac. L’aménagement en tracé neuf se situe entre Saint-Just et Couëdel.
Les travaux de la section de Saint-Just à Renac ont débuté en juillet et s’achèveront à l’été, si les conditions météorologiques sont favorables.
Focus sur les aménagement spécifiques réalisés
Le château de Brossay
Sur la commune de Renac, la présence du château de Brossay et de son parc, classé monument historique, à proximité du tracé de la x voies et de la voie parallèle, a nécessité des ajustements techniques. La 2x2 voies a ainsi été abaissée de 1,90 m en dessous de son niveau actuel au niveau du pont de Brossay. Des aménagements ont également été réalisés pour déplacer le portail du château qui se trouvait sur le tracé d la voie parallèle.
Desserte du bourg de Renac
Le Département a également optimisé son projet pour la desserte du bourg de Renac. Il était initialement prévu d’avoir une seule sortie de la 2x2 pour Renac, située au niveau de la voie communale desservant le cimetière. Après avoir repris une étude approfondie sur ce point, parallèlement au déroulement des travaux, le Département a proposé de maintenir la sortie de la 2x2 au niveau du pont de Brossay et d’intégrer cet aménagement au chantier en cours. Une modification du projet à l’échangeur de Renac Ouest a également permis de créer un débouché de la voie communale du cimetière dans l’échangeur.
La création de nombreux ouvrages hydrauliques et de nombreux ouvrages d'art
Sur la section de Saint-Just à Renac, de nombreux ouvrages sont en cours de travaux alors que d'autres sont déjà achevés.
Plusieurs ouvrages déjà réalisés ou en cours de réalisation : le pont de Basse-Lande, le pont de Couëdel, le pont de Panage, le pont de la Soualais
D'autres ouvrages d'art restent à créer :
La construction de 2 échangeurs a débuté en septembre 2020 : un échangeur desservant Saint-Just, un échangeur à l'extrémité de la section pour la desserte de Renac au niveau de la route de la Chapelle-de-Brain
Le pont de Bel-Air (achèvement prévu en mars 2021)
Le pont de Renac (travaux démarrés en janvier 2021 pour une durée prévisionnelle de 5 mois)
Écran acoustique de Bel-Air avec mur de soutènement (d'octobre 2020 à juin 2021) et mur anti-bruit de la Veillonnerie (avril à fin mai 2021)
Pont de Brossay : travaux de consolidation destinés à conserver l'ouvrage en place
Une route durable
Des enrobés phoniques sont utilisés sur toutes les sections de la 2x2 voies pour réduire les nuisances sonores. Posés en dernière couche sur 2,5 cm d’épaisseur, ils permettent de réduire le bruit de décibels, comparé à la mise en oeuvre d’enrobés classiques, soit l’équivalent d’une diminution du trafic par deux. En complément, le Département a implanté un écran anti-bruit avec mur de soutènement à Bel-Air et un mur anti-bruit sera achevé en à la Veillonnerie.
Pour favoriser l’usage partagé de la voiture et développer les modes alternatifs tels que le vélo, le Département poursuit sa politique d’aménagement d’aires de covoiturage le long de la 2 x 2 voies, à proximité des échangeurs. Une dizaine d’aires sont déjà disponibles le long de l’axe Rennes – Redon et de nouvelles aires sont prévues à Saint-Just et Renac.
Les cheminements pédestres seront maintenus et notamment le GR39 qui empruntera le passage faune sauvage de Panage. Certains ouvrages sous la future 2X2 voies seront rallongés : le passage cavalier de Renac, l'ouvrage piéton de Sévéroué ou le pont de la Gautrais.
Enfin la biodiversité sera préservée avec le rétablissement de corridors écologiques : un ouvrage a été créé tout spécialement pour le maintien des continuités de part et d'autre de la 2X2 voies, au niveau du Bois de la Gréhandais. Ce passage inférieur de grandes dimensions permet à la faune locale de franchir la nouvelle 2X2 voies sous la route. L'aménagement d'hibernaculum (refuge, gîte ou partie d'un terrier qui sert à l'hibernation d'un animal) est également réalisé sur place. Des mares ont été créées à Basse-Lande, de part et d'autre de la 2x2. Implantées à proximité d'une zone humide, elles sont à la fois des zones refuges et des corridors écologiques.
Emploi et insertion
Dans le cadre des clauses sociales inscrites dans le marché public pour la réalisation de la section Saint-Just - Renac, 820 heures seront réalisées par des personnes éloignées de l'emploi et en insertion professionnelle.
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