G.E. a écrit:La règle est de ne pas suivre les panneaux car on peut "couper" très facilement à plusieurs endroits.
Très "sudiste" comme réflexion. Utile aussi pour la "rocade" de Montpellier.
Jonathan Balsamo a écrit:Pour la section en voie express de la RN116 . Pourquoi ne pas la transformer en autoroute A59 et la prolonger jusqu'à l'A9 ?
Jonathan Balsamo a écrit:Pour la section en voie express de la RN116 . Pourquoi ne pas la transformer en autoroute A59 et la prolonger jusqu'à l'A9 ?
jml13 a écrit:Pour avoir passé mes vacances en Catalogne(s) du Nord (Prades) et du Sud (Montseny) (j'espère ne froisser personne), j'ai pu me faire mon opinion :
N116 : belle VE jusqu'à Bouleternère malgré qq courbes, çà ne me parait pas si difficile que çà de doubler Ille - Prades-Est en place. Par exemple, le long du lac de Vinça, il y a une digue enrochée qu'il suffit d'enrocher sur qq mètres de plus, sans doute en supprimer un des échanges (3 sur 1 km c'est pas la peine). Déviation de Prades, pas évident car il faudrait entre autres déniveller le RP de la route d'Eus entre 2 supermarchés, et faire un viaduc de 3 ou 400 m au-dessus de la Têt le long du lac, pour se retrouver de toutes façons à la sortie sur une section à 2 voies.
jml13 a écrit: En effet, les conditions économiques et écologiques actuelles ne permettent pas de contruire une VE déviant Ria-Sirach et Villefranche-de-Conflent (il faudrait des tunnels de plusieurs km),
jml13 a écrit:et le trafic ne le justifie pas sauf qq heures par jour en août.
jml13 a écrit: Par contre, pourquoi pas quelques créneaux comme celui en construction autour du pont Séjourné sur environ 2 km.
La Clau a écrit:Le dossier de la déviation du hameau, bloqué au Ministère de l'Environnement
Nuisances routières: les habitants de Joncet attendront pour quitter l'enfer
Mercredi 4.11.2009. 23:00h
Le passage de la Route Nationale 116 par l'entonnoir du hameau de Joncet, dans la région du Conflent, occasionne toujours plus de désespoir chez les riverains, exposés à l'enfer. Alors que les 7 mètres de largeur de chaussée restent une étrangeté pour un axe sous responsabilité unique de l'Etat depuis 2005, l'Association pour le Contournement du hameau constate cette semaine que la verrue de Joncet est exclue d'un plan de rénovation de la RN116, dont le budget total, jusqu'en 2010, atteint 23 millions d'euros. L'association dénonce une « amnésie totale », car un « dossier Joncet », présenté par la Direction Régionale de l'Equipement en février 2009, a reçu l'approbation de la Communauté des Communes du Conflent et des 23 mairies concernées par la route. La préfecture des Pyrénées-Orientales a cependant justifié, le 22 octobre 2009, d'un délai pour obtenir les « dérogations nécessaires à la destruction de certains habitats d'espèces protégées », en l'occurrence un papillon et un petit lézard, avant d'annoncer une enquête publique dès l'automne 2010. Le président de l'association, Roland Hullo, évoque une « espèce humaine qui suffoque » et un « processus de désertification », tandis que le dossier reste bloqué au Ministère de l'Environnement, probablement en l'absence de crédits.
L'indépendant a écrit:[...]
"Il veut encore faire capoter un dossier"
Un peu avant, le même Bourquin avait évoqué un autre dossier, celui de la rocade perpignanaise pour laquelle manquent des financements "de la ville et de l'Agglo, environ 5 millions sur les 64 millions totaux". "Contrairement à Carcassonne ou Narbonne, la ville de Perpignan n'a jamais été capable de faire sa rocade, c'était un handicap pour tout le département et c'est pour ça que le conseil général y a investi. Monsieur Alduy doit comprendre que l'époque des bisbilles est terminée. Il veut encore faire capoter un dossier ! J'ai envie de lui dire : 'Jean-Paul, arrête tes conneries. chaque fois, tu tires par le bas les grandes avancées du département. Travaillons ensemble et soyons fiers des réalisations communes".
Midi Libre a écrit:PLAN ETAT-REGION
Quelles aides pour les P-O ? En marge de sa première visite officielle dans les Pyrénées-Orientales comme président de Région (voir notre édition d'hier), Damien Alary a confirmé l'enveloppe de 450 millions d'euros allouée à l'Etat dans le cadre du nouveau plan Etat-Région (CPER 2015-2020). «
Il sera en hausse de 44 % par rapport à ce qui était prévu en septembre dernier et cela suite à ma rencontre fructueuse le mercredi 19 novembre avec Manuel Valls ». Quant à savoir ce qui reviendra aux Pyrénées-Orientales, il faudra sûrement attendre la fin de l'année pour en savoir plus. Seule certitude pour l'heure, le soutien à hauteur de 2,7 M€ pour la construction du Mémorial de Rivesaltes. A l'issue de l'inauguration de l'Institut régional de Formation des Métiers de l'Artisanat à Rivesaltes, Damien Alary nous a annoncé d'autres chantiers qui recevront l'aide de la Région, via ce nouveau CPER 2015-2020. «
La mobilité, les routes et infrastructures à Arles-sur-Tech, Prades et sur la RN116 (déviation de Joncet) à hauteur de 12,3 M€. Mais aussi la formation, l'enseignement supérieur et le développement du numérique ». Ce contrat de plan Etat-Région sera soumis au vote en séance le 19 décembre prochain pour une signature
« avant la fin de l'année à Montpellier en présence, je l'espère, du Premier ministre Manuel Valls ». On devrait alors mieux connaître la somme totale destinée pour le département et le soutien de la Région pour les projets structurants des Pyrénées-Orientales.
RÉGION
Alary prêt à rencontrer Jean-Marc Pujol Lors d'une rencontre à Montpellier avec le maire de Perpignan en juillet dernier, Christian Bourquin, alors président de Région, avait donné un accord verbal pour l'appui de la Région Languedoc-Roussillon à la ville de Perpignan sur différents projets portés par Jean-Marc Pujol (chantier du retour des étudiants en centre-ville estimé à 10 M€, musée du Grand Rigaud, logement social). Des engagements que le maire de Perpignan espérait toujours d'actualité avec le nouveau président de Région (Politicorama du 16 septembre). Interrogé sur le sujet, Damien Alary a confirmé
« l'existence de ces accords », un temps mis en doute par le socialiste et vice-président de la Région, Jacques Cresta. «
Je n'ai pas rencontré le maire de Perpignan depuis mon élection à la présidence de la Région pour discuter du soutien aux projets de Perpignan. Je suis prêt à le rencontrer comme je vais le faire dans les jours à venir avec le maire UMP de Nîmes. J'attends pour cela un rendez-vous de sa part pour aborder ces différents projets ». J. M.
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