lucienmathurin a écrit:Merci ! Donc ça veut dire qu'un appel d'offre "global" a été fait c'est bien ça ? C'est courant ? C'est la première fois que je vois ça.
spydrox a écrit:Une fois la 2*2 voies terminée, il n'envisage pas de construire au moins une aire de repos?
colvert a écrit:spydrox a écrit:Une fois la 2*2 voies terminée, il n'envisage pas de construire au moins une aire de repos?
Vu qu'il y a un échangeur tous les 5km environ, voire même encore plus près les uns des autres, c'est un réseau très ouvert vers l’extérieur. Faut-il des aires de repos comme sur une autoroute fermée avec un accès tous les 20 km? Ne faut-il pas plutôt privilégier des villages étapes?
Hanternoz a écrit:Des aires de service non, des aires de repos oui.
La question a été soulevée : une aire de repos est prévue, mais elle ne comportera pas de station-service. « C'est une réalité économique sur laquelle on n'a pas prise », expliquait Pierre-Alexandre Poivre, responsable du service maîtrise d'ouvrage à la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement. « En dessous de 25 à 30 000 véhicules par jour, ça n'est pas rentable, personne ne va se positionner. »
RN 12. Un manque cruel d'aires de repos
Aires de repos fermées, des pétroliers qui s'en vont... La RN 12 entre Brest et Guingamp est devenue un vrai désert.
[...]
Elle ne fait pas «riche», la RN12 avec ses aires de repos livrées aux herbes folles et ses stations-service fermées et abandonnées aux tags. Oh, ce n'est pas encore la Route66 du Grand Ouest américain. Mais elle donne une drôle d'image aux touristes qui découvrent l'Ouest de la Bretagne. L'image aussi d'un pays qui consacre de moins en moins d'argent au service et au domaine publics.
Plus rien entre Brest et Guingamp
De plus, en termes de sécurité routière, comment, dans ces conditions, inciter les conducteurs à des pauses régulières et leur offrir des services d'hygiène minimale ?
Or, on atteint le minimum du minimum entre l'aire et la station-service de Pors an Park, au niveau de Plounévez-Moëdec(22), et Brest. Sur 90kilomètres, l'usager de la route peut s'arrêter, en tout et pour tout, à l'aire de Saint-Servais(29), à 30kilomètres de Brest. Une aire maintenue provisoirement en service, proposant seulement deux toilettes mobiles. Entre-temps, l'automobiliste ou le chauffeur de camion sera passé devant une aire du Douron (Finistère) à l'accès interdit et une station-service désaffectée au niveau de Saint-Thégonnec. Dans l'autre sens, c'est encore pire: entre Brest et la station-service Bellevue à Ploumagoar (22), au niveau de Guingamp, soit 110kilomètres, il ne faut pas compter se ravitailler en carburant, ni même satisfaire des besoins naturels ou prendre un café. Il n'y a plus rien sur la RN12 depuis la fermeture de la station-service de Saint-Thégonnec-Sud, il y a quelques mois.
Les pétroliers s'en vont
Et ce parce que Total n'a pas renouvelé sa demande de concession. Aucun autre candidat ne s'est manifesté, explique Frédéric Lechelon, directeur interdépartemental des routes de l'Ouest (DIRO, ex-Équipement). De fait, à l'ouest d'une ligne Saint-Brieuc - Vannes, le marché n'intéresserait plus les pétroliers, au motif qu'une station-service n'est pas économiquement rentable, faute de trafic suffisant. Quant au cas particulier de Saint-Thégonnec, la proximité des pompes d'hypermarchés à Morlaix aurait précipité son abandon. Bref, l'administration va devoir puiser dans les fonds qui lui sont attribués dans le cadre de la modernisation des itinéraires pour proposer un service décent.
[...]
Attention à la panne sèche sur les grands axes
Modifié le 26/09/2013
RN12 : coup de pompe entre Brest et les Côtes-d'Armor
Depuis la fermeture, début janvier, du Relais Total de Guiclan, près de Landivisiau, il n'y a plus de pompes à essence dans le Finistère sur la RN12. Comme pour le Relais de Saint-Thégonnec (sens Rennes-Brest), qui a tiré ses rideaux le 31 octobre, le groupe Total n'a pas renouvelé la concession de la station de Guiclan (sens Brest-Rennes). La Direction interdépartementale des routes (Dir) - qui est le concessionnaire - a lancé deux appels d'offres pour la reprise des deux établissements. Ils n'ont rien donné pour l'instant.
Pas de repos sur la RN12
Avec la fermeture des stations service se pose aussi le problème des aires de repos sur la RN12. Dans le sens Rennes-Brest, il ne reste plus que celle de Saint-Servais, qui doit être prochainement réaménagée. Celle du Douron, sur la commune de Plouégat-Moysan, est définitivement fermée. Dans le sens Brest-Rennes, il n'y en a plus aucune après le bouclage pour des raisons de sécurité de l'aire de Penn Ar Vali, qui était nichée derrière le Relais de Guiclan.
Pénurie aussi à Châteaulin
Dans le secteur de Châteaulin, c'est également la pénurie de stations sur les grands axes. Sur la RN165 (Quimper-Vannes) ou la RN164 (Châteaulin-Rostrenen), les automobilistes qui veulent faire le plein doivent donc sortir de la quatre-voies pour se tourner vers les grandes surfaces.
Ça va mieux dans le sud
Dans le Sud-Finistère, la RN165 est mieux approvisionnée. Si une station a récemment fermé à Briec, dans le sens Quimper-Châteaulin, la zone de Quimper est correctement achalandée. Du côté de Concarneau, subsiste une station dans chaque sens, sur la commune de Saint-Yvi. Entre Concarneau et Quimperlé, une station Total a disparu. Entre Quimperlé et Quéven, dans le Morbihan, deux stations Total sont encore ouvertes, dans les deux sens.
Stations-service : c'est le désert sur la RN12
Modifié le 26/09/2013 à 22:35
« RN12 cherche repreneurs de stations-service. » L'annonce pourrait prêter à sourire, elle est pourtant sérieuse. Depuis la fermeture, il y a quelques jours, du Relais Total de Guiclan, près de Landivisiau, il n'y a plus de pompes à essence sur la RN12 dans le Finistère. Dans les deux sens.
Comme pour le Relais de Saint-Thégonnec, qui a tiré ses rideaux le 31 octobre, le groupe Total n'a pas renouvelé la concession de la station de Guiclan. La Direction interdépartementale des routes (Dir) - qui est le concessionnaire - a lancé un appel d'offres pour la reprise des deux établissements. « On doit obtenir la réponse des pétroliers intéressés d'ici la fin du mois de janvier », indique-t-on à la Dir.[...]
RN12. L’aire de repos d’Yffiniac est en cours de démolition
Modifié le 30/10/2015 à 17:34 | Publié le 30/10/2015 à 16:36
L’aire de repos d'Yffiniac, située au bord de la RN12, est fermée depuis 2009. Des ouvriers sont à l’œuvre pour la déconstruire.[...]
RN 165. Plus une seule station essence entre Guidel et Brest
Publié le 28 mars 2012 à 17h49
Modifié le 28 mars 2012 à 17h48
RN 165. Plus une seule station essence entre Guidel et Brest
Une nouvelle station-service vient de fermer ses portes le long de la RN 165, toujours dans le sens Nantes-Brest. "Le relais de Cornouaille", c'est le nom de cette station à l'enseigne Total située sur la commune de Saint-Yvi, juste avant un radar automatique. Les derniers litres de carburant y ont achetés dimanche.
Depuis le début de la semaine, les installations y sont en cours de démantèlement. Cette fermeture est la conséquence de la fin de concession entre Total et l'Etat confirme la direction interdépartementale des routes ouest (DIRO) qui précise qu'aucune offre de reprise n'a été présentée. Conséquence : le panonceau "dernière station avant Brest", longtemps visible à Saint-Yvi, va désormais pouvoir être installé à Guidel, à plus de 120 km de la capitale du Ponant.
Hanvec. Fermeture de la dernière station sur les voix express du département
Modifié le 27/09/2013 à 02:14 | Publié le 17/05/2013 à 11:50
Un courrier de la société Total parvenu à la mairie, annonce que la station Relais Elf de l’aire de Hanvec sur la RN 165 de Brest à Quimper fermera à partir du 9 août 2013.
Le courrier ne donne pas la raison de cette fermeture ni le devenir de l’espace libéré qui, une fois mis en sécurité, restera classé « site industriel ».
Il semble qu'il y ait là aussi une contestation mais qui porterait non pas sur le tracé, les ponts ou les échangeurs (comme à Plemet) mais sur l'absence d’itinéraires de substitution. Ce point est accessoire et devrait trouver une solution.Les plans de la future RN164 consultables en mairie
Publié le 02/03/2017 à 01:56
Soixante-dix personnes ont participé à la réunion de présentation de la mise en 2 fois 2 voies de la RN164, organisée par l'association de défense des riverains.
L'ensemble du tracé a été présenté, à partir des éléments repris dans le dossier de la Dreal. Ces derniers sont consultables en mairie jusqu'au 24 mars.
De nombreuses interrogations ont été soulevées, autour notamment de voies de substitution mal adaptées ou inexistantes, du risque de nuisances sonores, de rallongements de parcours et de la nécessité d'un aménagement foncier.
Les membres de l'association s'interrogent sur le fait que « la Dreal a les moyens de mettre en place deux ponts pour la faune sauvage séparée d'à peine un kilomètre l'un de l'autre, mais nous refuse les voies de substitutions que nous souhaitons pour raison financière. Si elles ne sont pas réalisées, il y aura une augmentation du trafic des véhicules lents et agricoles dans la ville de Merdrignac ».
L'association demande à la population de se mobiliser et d'aller consulter les plans en mairie, pour voir et faire part de leurs doléances, avant le 24 mars.
D'autres itinéraires autour de la RN164
Publié le 20/07/2016 à 05:09
Les élus souhaitent des itinéraires de substitution autour de la RN164, une fois qu'elle sera modifiée en 2x2 voies : ceux envisagés lors du dernier comité, doivent être réétudiés.
Michel Rouvrais, président de la communauté de communes, Éric Robin, maire de Merdrignac et Isabelle Goré-Chapel, conseillère départementale, rendent compte des échanges qui ont eu lieu lors des réunions du comité de suivi de la mise en 2x2 voies de la RN164, et plus particulièrement ceux liés aux itinéraires de substitution. Lors de la dernière réunion du comité, ils ont signalé que les itinéraires envisagés pour la tranche ouest doivent impérativement être réétudiés.
Isabelle Goré-Chapel précise que « pour la partie Saint-Guénaël, le tracé envisagé va nécessiter un grand nombre d'aménagements et d'élargissements qui ne permettront pas de faire face à l'augmentation du trafic de véhicules agricoles et de camions. Quant au passage sur la RD22, la configuration de cette route, coincée entre un ravin et une falaise, va entraîner des aménagements onéreux qui ne régleront pas les problèmes de sécurité que pose déjà ce tronçon. Il serait donc souhaitable que les solutions alternatives envisagées initialement soient réexaminées ».
« Le danger ne peut être ignoré »
Pour la partie La Boudardière, le passage dans le village est impossible du fait de son étroitesse. Une solution visant à passer en dehors doit être envisagée.
Lors de ces échanges avec les représentants de l'État, ils ont indiqué qu'ils « ne peuvent plus accepter que des tracteurs continuent de circuler sur le tronçon de 2x2 qui passe au sud de Merdrignac. Le danger ne peut être ignoré. Et cette situation va s'aggraver avec l'ouverture du tronçon entre Saint-Méen et Montauban. » Ce danger, dont ont parfaitement conscience les exploitants agricoles, les incite d'ores et déjà à passer par Merdrignac, et ils vont le faire de plus en plus.
Éric Robin précise que « les élus de Merdrignac ne peuvent accepter de voir s'accroître un trafic qui fait courir un risque réel à leurs administrés, et notamment aux 500 élèves du lycée du Mené. L'itinéraire de substitution aurait dû être réalisé en même temps que la mise en 2x2 voies. »
Le conseil régional est disposé à prendre en considération ces demandes locales en collaboration étroite avec le Département. Ainsi, dès l'instant qu'un accord se dégagerait pour ces aménagements complémentaires, la Région pourrait prendre à sa charge 50 % du coût de ceux-ci. Les représentants de la Dreal ont indiqué que l'État était prêt à financer les études et les travaux relatifs à l'itinéraire de substitution.
Après débat, le conseil approuve cette position et donne pouvoir au président et aux maires concernés de Merdrignac, Laurenan, Gomené pour demander aux services de l'État de prendre en compte dans ce projet de mise en 2x2 voies cette question cruciale des itinéraires de substitution ainsi que celle du foncier.
Des points à revoir pour le projet de la RN164
Publié le 13/03/2017 à 02:48
Les adhérents de l'association de défense de l'intérêt général ont exprimé leurs avis sur le rapport du commissaire-enquêteur, vendredi soir.
Le rapport sur le projet de mise en 2x2 voies de la RN164 est accessible. S'il y a des avancées, l'association de défense de l'intérêt général estime qu'il reste des points à revoir.
Le projet
L'association RN164 pour la défense de l'intérêt général a invité ses adhérents, vendredi soir, à une réunion d'information « pour avoir le sentiment des habitants sur les choix du commissaire-enquêteur qui a récolté quelque 150 avis sur le projet de mise en 2x2 voies de la RN164, précise Joseph Chapel, le président. Il a aussi parcouru l'ensemble du territoire concerné. Au terme de ses analyses, il a refusé le pont agricole du Bos-Josselin et ne juge pas nécessaire le pont de la Poterie, puisque l'échangeur Ouest de la Ville-Moisan ne sera qu'à 300 m. »
Le commissaire-enquêteur émet deux recommandations : l'une est de réaliser une passerelle au-dessus de la RN164 pour relier le secteur de Belna, au centre de Plémet, aboutissant dans le parc du centre de rééducation ; et la seconde est la variante B 0'' de l'échangeur Est, à la Fourchette.
« Important pour la rapidité d'intervention des secours »
« La variante B 0'' va de l'échangeur vers la rocade en passant par les maisons Clisson, Daniel et Jossé et sans impacter la maison de Fabien Eludut. Elle mettrait en impasse la rue de Rennes mais une voie uniquement pour les voitures, joindrait l'échangeur à la rue de Rennes, au carrefour de la rue de Laurenan. »
Si les adhérents ont apprécié l'écoute du commissaire-enquêteur, ils souhaitent toutefois insister auprès des instances décisionnaires pour que leur choix se porte sur la variante D.
« Nous souhaitons que l'échangeur de la Fourchette soit remonté au niveau de la rocade avec une desserte allant vers la zone du Ridor en passant par les mêmes maisons que la B 0'' et en permettant aux usagers de la route de se rendre vers Plémet via la rocade et les entrées déjà existantes. » Ce choix rendrait caduque la voie au carrefour de la rue de Rennes et de la rue de Laurenan.
Ils demandent aussi que la passerelle soit transformée en pont pour desservir Belna et les Terres en rejoignant le village de Bodiffé et la rue des Fraîches. « Cela permettrait aux voitures de traverser et ce serait surtout très important pour la rapidité d'intervention des secours dans ce secteur. »
Les adhérents n'ont émis aucune remarque en ce qui concerne l'annulation du projet de pont à la Poterie toutefois, ils insistent sur l'importance de celui du Bos-Josselin.
Il est possible de lire le rapport du commissaire-enquêteur sur le site de la préfecture des Côtes-d'Armor
Merdrignac. Des agriculteurs mécontents bloquent le bourg en tracteur
Modifié le 21/03/2017 à 17:36 | Publié le 21/03/2017 à 17:36
Des tracteurs ralentissent la circulation dans le centre bourg de Merdrignac ce mardi 21 mars.
Ce mardi après-midi, sept tracteurs ont ralenti la circulation dans la rue principale de Merdrignac. Les agriculteurs manifestent leur mécontentement concernant le projet de la RN164 : en effet, aucune voie pour les véhicules lents n’est prévue.
Pour l’heure, aucun débordement n’est à déplorer.
RN164 : les riverains veulent des voies de substitution
Publié le 24/03/2017 à 00:11
Les rues de Merdrignac seront encombrées, s'il n'y a pas de voies de substitution de réalisées lors de la mise en 2x2 voies de la RN164.
Mardi, l'association des Landes d'Ifflet, les agriculteurs et les partenaires de l'agriculture ont souhaité sensibiliser la population au trafic des engins agricoles et les dangers encourus par le manque d'aménagement des voies de substitution lors de la mise en 2x2 voies de la RN164.
L'association est favorable à la 2x2 voies à condition que les routes de substitution ne traversent pas les villages ; qu'elles soient adaptées en largeur ; qu'elles évitent les rallongements de parcours et qu'elles ne contraignent pas les camions et les véhicules agricoles à passer par le centre-ville.
« Nous invitons la population à se rendre en mairie avant le 24 mars pour consulter le dossier et faire part des observations sur le registre d'enquête publique, après il sera trop tard », explique les membres de l'association.
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