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Le Grand Lyon vote 5,9 millions d’euros de plus pour l’Anneau des Sciences
Serpent de mer qui traîne depuis trente ans, le projet d’Anneau des Sciences, qui doit permettre un contournement ouest de Lyon, a reçu une subvention de 5,9 millions d’euros dans le budget 2019 de la métropole de Lyon. Un choix de l’exécutif critiqué par les élus et associations écologistes.
Après plus de trente ans d'études et de concertations sur le contournement ouest de Lyon, appelé successivement TOP puis Anneau des Sciences*, la métropole de Lyon a inscrit dans son budget 2019 une nouvelle enveloppe de 5,9 millions d'euros pour “des études, les sondages géologiques et la mise en place du dispositif de dialogue et de concertation”. “Un montant qui vient s'ajouter aux 12,7 millions d'euros d'études préalables déjà dépensés sur les près de 30 millions prévus lors de ce mandat”, note Pierre Hémon, élu EELV de la majorité.
Cette nouvelle subvention est critiquée par Fabien Bagnon, de la Coalition Climat-Alternatiba Rhône. “Durant la même séance, on vote une zone à faibles émissions (ZFE), largement insuffisante, mais qui est une première étape qui va dans le bon sens, et simultanément, de façon très discrète dans le budget de la métropole, on projette des études en vue de réaliser l'Anneau des Sciences, qui favorise l'usage de la voiture. C'est contradictoire”, déplore-t-il. Selon le militant écologiste, ce projet n’est plus d’actualité : “Aujourd’hui, les métropoles essaient d’induire du report modal en investissant dans le réseau de transports en commun. Or, si l’on se contente de dévier le trafic routier à six ou huit kilomètres alors que l'objectif c'est bien de le diminuer, on déplacera le problème du centre-ville vers la périphérie. C’est incohérent par rapport à l’époque, mais aussi par rapport à l'urgence sanitaire.”
Même discours pour Pierre Hémon. “Contrairement à ce que dit Gérard Collomb, qui a d’ailleurs changé d’avis sur le sujet, le déclassement de l'A6/A7 permet de se passer de l'Anneau des Sciences. C'est un vrai challenge. Si l’objectif c’est de réduire le trafic à 30 000 voitures sur cet axe, est-ce qu’on va dépenser près de 3 milliards d’euros pour ça ?” interroge ce membre de la majorité de David Kimelfeld.
Un contournement ouest de Lyon pour “2038” selon le rapport Duron
Du côté du Gouvernement, l’on se dit – dans le rapport Duron, qui a servi de base à la loi d’orientation sur les mobilités (LOM) – “pleinement conscient des problèmes que soulèvent la traversée routière de l’agglomération lyonnaise et la nécessité de mener à son terme la comparaison [entre les contournements ouest et est de la métropole]”. Pour autant, ce rapport notait que “les éléments d’analyse que la commission a eus à disposition (…) ne permettent pas de conclure qu’un grand contournement routier par l’Ouest ou par l’Est apportera une réponse définitive aux problèmes de saturation de cette traversée en raison de la faible part de trafic qui pourrait avoir naturellement intérêt à se reporter”. Ce rapport demandait par ailleurs “d’approfondir les réflexions engagées” et “d'examiner la mise en place d’un péage urbain”, et du fait de ces interrogations classait le COL en projet de “seconde priorité” réalisable “à partir de 2038” quels que soient les scénarios.
Un enjeu politique pour 2020
Promesse de campagne du candidat Collomb en 2012, qui prévoyait les premiers coups de pioche pour 2020, l’Anneau des Sciences pourrait bien avoir des conséquences politiques sur les élections de 2020. “Comme l'A45, ce sont des projets du XXe siècle. C'est déjà vieillot. Pourtant, on ne les lâche pas. Pourquoi ? Parce qu'il y a des élus qui se sont construits sur ça et qui n'ont pas la capacité d'envisager autre chose, parce que c'est trop dans leur culture. Même si aujourd'hui d'autres sont plus hésitants”, lâche Pierre Hémon. Une référence à peine voilée à Gérard Collomb et David Kimelfeld. “On continue de financer des études parce qu'il y a beaucoup d'hésitation du côté de l'exécutif, abonde un cadre Les Républicains. Ça permet d'entretenir le flou et de satisfaire tout le monde.”
Questionné sur le sujet par Lyon Capitale en juillet dernier, le président du Grand Lyon s'était plutôt prononcé pour le contournement ouest, sans pour autant en faire un horizon indépassable. “On a encore besoin d’infrastructures. Pas forcément pour accueillir les mêmes modes de déplacement qu’il y a vingt ans. L’Anneau des Sciences, ça n’a de sens que si on pousse des modes alternatifs comme les transports en commun ou le covoiturage”, estimait-il alors. De son côté, Pierre Hémon prévient David Kimelfeld, dont la candidature à la présidence de la métropole est officielle depuis peu : “S'ils font des travaux, il va y avoir une ZAD. Ce projet sera donc un enjeu en 2020. Si la liste écologiste doit négocier avec d'autres candidats, il ne devra pas être dans le panier de la mariée.” Il pourrait même être une cause de divorce.
Chaponnay : l’Adec vent debout contre le passage à 2 x 3 voies de l’A46 Sud
Lors de sa dernière assemblée générale, l’association de défense de l’environnement de Chaponnay (Adec), qui compte 160 adhérents, a fait part de son désaccord sur l’augmentation du nombre de voies sur l’A46 Sud, solution préconisée par la préfet et la Métropole à la suite du déclassement de l’A6-A7 à Lyon.
L’argumentaire contre le passage à 2x3 voies de l’A46 sud,à la suite du déclassement de l’A4-A7 à Lyon, a été présenté par Robert Rivoire, membre actif de l’Adec (association de défense de l’environnement de Chaponnay).
Celui-ci a indiqué que, dans le cas d’une augmentation du nombre de voies sur cet axe, le seuil de saturation de l’actuelle A46 passerait de 45 000 à 65 00 véhicules par jour. Mais, même cela ne pourra absorber l’afflux supplémentaire de trafic généré par le déclassement. Cela ne ferait qu’aggraver la pollution de l’air (ozone et particules fines) sur la commune qui dépasse régulièrement les seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la santé (1).
«Cela ne ferait qu’aggraver la pollution»
Au nom de l’Adec, Robert Rivoire a préconisé une solution pour résoudre ce problème : elle s’appuie sur l’expertise commandée au bureau TTK et financée par le débat public de 2013 sur l’anneau des sciences. Ce projet préconise le raccordement de l’A432 directement au sud de la barrière de péage de Reventin-Vaugris sur l’A7.
Une solution qui permettrait de capter les 45 000 véhicules jour de transit qui ne passerait plus par Lyon ou l’A46. Mais aussi le trafic de transit du Sud, de l’Est et du Nord, qui permettrait de contourner Lyon sans barrière de péage, d’où la suppression des ralentissements associés.
Un raccordement au sud pour dévier le trafic sur l'A46
Cette solution soulagerait également la D75 entre Vienne et Heyrieux, aujourd’hui très chargée. Et elle offrirait un itinéraire alternatif aux habitants du Nord-Isère qui viennent travailler sur Lyon et l’Est Lyonnais. « Cette position n’engage que l’ADEC et non pas le collectif FRACTURE, auquel l’Adec est adhérente », a précisé Robert Rivoire.
«L’Ouest Lyonnais doit aussi prendre sa part de nuisances»
« Le vrai combat est que l’Ouest Lyonnais doit aussi prendre sa part de nuisances », a souligné une des soixante personnes présentes la semaine dernière à l’assemblée générale. Le maire Raymond Durand a demandé à amplifier les manifestations contre le Contournement de l’Est Lyonnais, voulu par la Métropole qui justifie ce passage à 2x3 voies sur l’A46.
tanaka59 a écrit:Au nom de l’Adec, Robert Rivoire a préconisé une solution pour résoudre ce problème : elle s’appuie sur l’expertise commandée au bureau TTK et financée par le débat public de 2013 sur l’anneau des sciences. Ce projet préconise le raccordement de l’A432 directement au sud de la barrière de péage de Reventin-Vaugris sur l’A7.
Une solution qui permettrait de capter les 45 000 véhicules jour de transit qui ne passerait plus par Lyon ou l’A46. Mais aussi le trafic de transit du Sud, de l’Est et du Nord, qui permettrait de contourner Lyon sans barrière de péage, d’où la suppression des ralentissements associés.
tanaka59 a écrit:« Le vrai combat est que l’Ouest Lyonnais doit aussi prendre sa part de nuisances », a souligné une des soixante personnes présentes la semaine dernière à l’assemblée générale. Le maire Raymond Durand a demandé à amplifier les manifestations contre le Contournement de l’Est Lyonnais, voulu par la Métropole qui justifie ce passage à 2x3 voies sur l’A46.
Lyon. Une association saisit le Conseil d'Etat contre le projet d’élargissement de l’A46 Sud à 3 voies
Le projet remonte à 2015 : élargir l'autoroute A46 au sud de Lyon, pour la transformer en 2 fois 3 voies. Mais une Fédération d'associations environnementales veut saisir le Conseil d'Etat pour une meilleure concertation locale.
La Fédération d'associations Fracture, qui regroupe plusieurs associations environnementales sur 28 communes du Sud-Est lyonnais, vient de saisir le Conseil d’Etat dans le dossier de l'autoroute A46 au sud de Lyon.
La "Fédération Régionale des Associations Contre le Train en zone Urbaine et pour le Respect de l’Environnement" veut faire annuler la décision qui vise à autoriser l’État et Vinci Autoroutes du Sud de la France (ASF) à lancer une concertation en vue de l’élargissement de l’A46-Sud à 2 fois 3 voies.
"Ce n'est pas acceptable"
Fracture met en avant le fait que "le contexte a beaucoup changé, puisque l’Anneau des sciences ainsi que le projet A45 ont été abandonnés, et que le déclassement de l’A6/A7 a été mis en chantier sans avoir de projet(s) alternatif(s) en face pour absorber ou supprimer le trafic de transit actuellement dans Lyon. Dès lors, la 3ème voie de l’A46-Sud deviendrait le seul exutoire que l’État prescrive, et ce n'est pas acceptable."
La Fédération demande "un débat public à la bonne échelle, c’est-à-dire qui intègre tous ces abandons de projets."
Selon les responsables de la structure, "le site internet ASF Vinci de présentation de la consultation publique A46-Sud annonce d’entrée de jeu qu’aucune alternative ne sera étudiée, or ceci est en parfaite contradiction avec le code des transports et le code de l’environnement. Une telle concertation ne va pas dans le bon sens pour diminuer efficacement et durablement la pollution dans le Sud-Est lyonnais alors que ce secteur est déjà trop fortement impacté et qu’il devrait, au contraire, être protégé car soumis au Plan de Protection de l’Atmosphère."
Le Conseil d’Etat avait déjà été saisi il y a deux ans pour demander au gouvernement une amélioration de la qualité de l’air "rapide et efficace". L’injonction du Conseil d’Etat avait été prononcée.
Un projet de 250 millions d’euros
L'autoroute A46 relie Anse à Chasse-sur-Rhône et contourne Lyon par l'est, entre le noeud de Ternay et le noeud de Manissieux. Elle constitue donc le deuxième contournement est de Lyon avec le Boulevard périphérique et l'A432.
Selon Vinci Autoroutes, dans son dossier d'information au public disponible en ligne, "cette infrastructure permet une irrigation locale du sud-est de Lyon, mais aussi le passage des grands itinéraires de transit nationaux et internationaux reliant le nord-est de la France et de l’Europe, à la vallée du Rhône, et plus loin la péninsule ibérique et l’Italie. L’A46 Sud supporte un trafic très important, et est fortement congestionnée aux heures de pointe quotidiennes et lors des grands épisodes estivaux. Cette situation dégrade la qualité des conditions de déplacement offertes aux usagers, ainsi que les capacités d’intervention pour les services d’exploitation et de secours."
Pour les porteurs du projet, "les difficultés de circulation sur l’A46 Sud (risquent) de s’aggraver, pouvant de plus engendrer un report d’une partie des usagers vers les voies secondaires non prévues à cet effet."
Le projet d'élargissement de cette autoroute remonte à 2015, avec un coût estimé à moins de 250 millions d’euros. Si la saisine de la Commission nationale du débat public (CNDP) est obligatoire pour les projets d’un montant estimé supérieur à 300 millions d’euros (article L.121-8 II du Code de l’environnement), elle est facultative pour les projets compris entre 150 et 300 millions d'euros. ASF a saisi fin juin 2020 la Commission nationale de débat public (CNDP) pour ce projet. Celle-ci a décidé l’organisation d’une concertation préalable avec trois garants nommés le 2 septembre 2020. Ils seront notamment chargés de définir les modalités de la concertation.
L’A46 Sud en 2 x 3 voies dans l’Est lyonnais : le projet autoroutier qui fait la (quasi) unanimité contre lui
Après l'arrêt de l'Anneau des sciences, la fin du contournement ouest lyonnais (COL) et de son cousin à l'Est, le passage de l'A46 Sud en 2 x 3 voies est le dernier projet autoroutier encore dans les tuyaux. Problème pour sa réalisation : il réussit le tour de force d'unir contre lui les écologistes de la Métropole (anti-autoroute) et les élus de l'Est lyonnais (pro-autoroute). La consultation publique à son sujet doit commencer mi-2021.
C'est le dernier projet routier d'envergure dans les tuyaux. Après la fin de l'Anneau des sciences, du Contournement ouest lyonnais (COL) et l'enterrement de son cousin le Grand contournement Est, le passage en 2 x 3 voies de A46 Sud (le prolongement de la Rocade Est - voire carte ci-dessous), est le seul grand projet autoroutier avancé par l'État pour "décongestionner" l'agglomération lyonnaise.
[...]
AntoineM a écrit:Pour la liaison Nord-Ouest <-> Sud-Est, l'axe A77-N7-A72 complètement en 2x2 voies, il sera intéressant de le prolonger vers l'A7 (Firminy-Valence au sud du parc du Pilat ?). L'idée a déjà été évoquée sur ce forum. Malheureusement je crois que c'est encore un peu tôt pour en parler.
https://www.lefigaro.fr/lyon/lyon-la-zfe-etendue-au-tunnel-de-fourviere-emprunte-chaque-annee-par-des-milliers-de-vacanciers-20230609
Lyon : la ZFE étendue au tunnel de Fourvière, emprunté chaque année par des milliers de vacanciers
Point noir connu de la route des vacances vers le sud de la France ou les stations de ski, le tunnel sous Fourvière devrait prochainement être intégré à la zone à faible émission lyonnaise.
Le 26 juin prochain, les élus de la métropole de Lyon vont voter la deuxième étape du projet d'amplification de la zone à faibles émissions (ZFE) à Lyon. Un document dans lequel l'exécutif écologiste lyonnais a décidé d'étendre le périmètre actuel de la ZFE. Cette dernière concerne pour le moment l'ensemble des arrondissements de Lyon, Caluire-et-Cuire et les secteurs de Villeurbanne, Bron et Vénissieux situés à l'intérieur du boulevard Laurent Bonnevay. Si le texte est voté, dès le 1er janvier 2024, en même temps que l'interdiction des véhicules Crit'Air 4, le périmètre sera étendu aux voies M6/M7, c'est-à-dire a l'ex-autoroute A6/A7 qui traverse Lyon du nord au sud via le tunnel sous Fourvière, mais aussi au périphérique Laurent-Bonnevay et au boulevard périphérique nord.
Un changement majeur dans la desserte du centre de Lyon qui apparaît toutefois comme une conséquence logique du déclassement, fin 2016, de l'A6/A7 en boulevard urbain. Déclassement pensé à l'époque pour dévier le trafic qui traverse Lyon vers les contournements de l'Est, mais aussi de l'Ouest de l'agglomération, avec le projet, enterré désormais, d'Anneau des sciences. Pour rappel, les véhicules Crit'Air 5 et non classés sont déjà interdits dans la ZFE lyonnaise. Les véhicules Crit'Air 4 le seront le 1er janvier 2024 et les Crit'Air 3 le 1er janvier 2025. Il faudra attendre le 1er janvier 2028 pour que les Crit'Air 2, c’est-à-dire l'ensemble des véhicules roulant au diesel, soient concernés.
Débats houleux à venir
Questionné par Le Figaro en milieu de semaine sur le sujet, Bruno Bernard, le président EELV de la métropole de Lyon a expliqué avoir pris cette décision «car il est compliqué de dire «vous ne pouvez plus prendre votre voiture» aux habitants vivant dans le périmètre et pas à ceux qui passent occasionnellement». Pour rappel, le trafic dit de transit sous le tunnel de Fourvière ne représente que 8% du trafic total d'environ 115.000 véhicules jours.
Pas encore votée, cette décision attire déjà les foudres de l'opposition. «Cela obligerait donc les véhicules les plus polluants à contourner la ville de Lyon par l'Est lyonnais C'est un scandale. Pourquoi la santé des Lyonnais se ferait au détriment des habitants de l'Est de la métropole ?», a dénoncé Laurence Fautra, la maire LR de Décines, une commune justement située tout à l'Est de la métropole de Lyon. Et d'ajouter : «Cette décision a été prise sans aucune concertation des maires et habitants de l'Est lyonnais. Les papes de la démocratie participative sélectionnent les sujets en fonction de leur intérêt».
Reste à savoir comment la majorité de l'exécutif écologiste, réagira à cet élargissement, le principe même de ZFE ne faisant pas l'unanimité chez les communistes et la France insoumise. Les débats s'annoncent déjà houleux.
https://www.leprogres.fr/transport/2023/07/27/des-elus-de-la-metropole-lyonnaise-veulent-une-a432-sud-jusqu-a-chanas?at_plateform=kwanko&at_medium=affiliate&at_campaign=contextual%20targeting_generique&at_creation=359907&utm_source=kwanko&utm_medium=affiliation&utm_campaign=contextual%20targeting_generique&utm_content=359907
Des élus de la métropole lyonnaise veulent une A432 sud jusqu’à Chanas
Consternation et colère des élus de Vienne Condrieu Agglomération et d’Entre Bièvre et Rhône. À la suite d’un comité de pilotage, une majorité d’élus de la métropole lyonnaise a proposé une solution pour désengorger l’A46 : prolonger l’A432 vers le sud, de Saint-Exupéry à Chanas.
C’est ce qui s’appelle refiler une patate chaude aux copains et pas de façon très élégante.
Le Dauphiné Libéré l'a appris en fin de semaine dernière : le 4 juillet, un comité de pilotage réuni par la préfète de région Fabienne Buccio, dans le cadre de la concertation sur l’élargissement de l’autoroute A 46, a donné lieu à une curieuse proposition en matière de tracé, de la part d’une majorité d’élus de la métropole lyonnaise (212 selon nos sources contre 106 pour un autre tracé).
La proposition en question serait d'abandonner le projet retenu par l’État d’élargir l’A46 à deux fois trois voies.
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