erico8 a écrit:Concernant le rétrécissement de la voie de droite comme sur le périph extérieur, c'est fréquent : Exemple le périph intérieur entre les portes de Sautron et de Rennes
impala80 a écrit:erico8 a écrit:Concernant le rétrécissement de la voie de droite comme sur le périph extérieur, c'est fréquent : Exemple le périph intérieur entre les portes de Sautron et de Rennes
A l'origine, il n'y avait pas une voie pour la sortie vers Rennes, cette voie était la voie de droite du periph après jonction N165/periph donc le passage de 4 voies avant jonction à 2 voies après se faisait par rétrécissement a gauche (voie de gauche du periph) et a droite (voie de droite en venant de Savenay).
Périphérique inondé à Nantes : un casse-tête qui attend toujours d’être résolu
Malgré les travaux réalisés en 2016, le Gesvres continue d’inonder régulièrement le périphérique nantais au niveau de la porte de La Chapelle, comme cela a encore été le cas ces derniers jours.
Malgré les travaux réalisés en 2016, le Gesvres continue d’inonder régulièrement le périphérique au niveau de la porte de La Chapelle. | PHOTO PRESSE OCÉAN-SIMON TORLOTIN
Presse Océan Xavier Boussion Publié le 27/02/2024 à 17h49
Des milliers d’automobilistes piégés dans les embouteillages en ont encore fait l’amère expérience ces derniers jours. Pour cause d’inondation, le périphérique est a dû être coupé à la circulation entre la porte de la Beaujoire et la porte de Gesvres.
Le problème n’est pas nouveau : en 1996, les riverains du boulevard Fleming, le plus vieux tronçon du périphérique, construit en 1977, dénonçaient déjà ces inondations récurrentes qui, l’année précédente, avaient provoqué trois semaines de coupure de la circulation.
La raison ? Le tassement de la chaussée, construite sur une zone marécageuse traversée par le Gesvres. Une rivière dont le niveau peut s’élever sous l’effet d’une accumulation de facteurs : fortes pluies, saturation des sols en eaux et niveau élevé de l’Erdre et de la Loire, comme ce fut le cas ces derniers jours.
Plusieurs projets abandonnés
À la fin des années 1990, le district urbain de Nantes, ancêtre de Nantes métropole, avait lancé des études en vue de réaliser des travaux. Études restées sans suite.
Rebelote au début des années 2000. La communauté urbaine de Nantes, toujours propriétaire du tronçon incriminé, envisage alors de détourner le cours du Gesvres et de rehausser la chaussée pour parer aux crues. Un projet également abandonné.
Dix ans plus tard, alors que le fameux tronçon est devenu concession de l’État, un nouveau projet est mis à l’étude : la réalisation d’une paroi étanche de chaque côté de la chaussée à l’aide de palplanches. Jugé trop coûteux (13,5 millions d’euros) au regard du faible nombre de jours de coupure de la circulation, le projet tombe lui aussi à l’eau.
Suppression des buses
Il faudra attendre 2016 pour que l’État se décide enfin à réaliser des travaux, qui consistent à supprimer les buses situées sous la chaussée afin de faciliter l’écoulement du Gesvres. L’opération devait permettre de " réduire de 70 à 80 % le risque d’inondations ".
Dans les faits, la préfecture expliquait en 2020 que ces travaux avaient permis de passer " de deux épisodes d’inondation par an avant 2016 à un épisode tous les deux ans ".
Reste que, à plusieurs reprises ces trois dernières années, le périphérique est a dû être coupé pour cause d’inondations. Et comme on a encore pu le constater ces derniers jours, cela risque fort de se reproduire.
Inondations. Le périphérique de Nantes fermé de la porte d’Anjou à la porte d’Orvault
Avec les pluies abondantes, le périphérique de Nantes est fermé à la circulation, entre la porte d’Anjou et la porte d’Orvault, ce lundi 26 février. Des déviations sont mises en place.
Une partie du périphérique coté est de Nantes est coupé et interdite à la circulation a cause d’une inondation (photo d’illustration). | ARCHIVES JÉRÔME FOUQUET/OUEST-FRANCE.
Ouest-France Emmanuelle BERTHIER. Modifié le 26/02/2024 à 17h08 Publié le 26/02/2024 à 17h03
Le scénario se répète mais avec un impact plus important : ce lundi 26 février après-midi, le périphérique de Nantes est fermé à la circulation, en sens extérieur, entre les portes d’Anjou et d’Orvault. La cause : l’inondation des axes routiers en raison des précipitations enregistrées ces derniers jours et l’augmentation du volume des cours d’eau.
Des déviations sont mises en place et les usagers sont invités à suivre l’itinéraire fléché S8 depuis la Porte d’Anjou et l’itinéraire S6 depuis les portes de Carquefou ou de la Beaujoire. Ces itinéraires proposés sont assortis d’une levée exceptionnelle des frais de péage.
À 16 h, un bouchon de 2,3 km est enregistré.
Fermé neuf jours
Depuis le début de l’année 2024, on comptabilise neuf jours de fermeture du périphérique pour cause d’inondation : le 2 janvier, le Gesvres débordait et inondait la totalité des voies du périphérique Est nantais, sur une portion comprise entre les portes de la Beaujoire et de la Chapelle, les voies intérieures rouvraient le 4 janvier ; même causes et mêmes effets avec une fermeture du vendredi 9 au dimanche 11 février ; puis, le 22 février, la tempête Louis frappait la Loire-Atlantique et le Gesvres débordait de nouveau, le périphérique rouvrait hier, le 25 février.
jml13 a écrit:Mais le trafic devrait s'évaporer normalement non ?
jml13 a écrit:Mais le trafic devrait s'évaporer normalement non ?
colvert a écrit:
Un article du 29/02/2024 pose la question de la surélévation des chaussées, mais c'est peut-être trop simple?
https://www.ouest-france.fr/economie/tr ... 8427ffa9f5
Inondations sur le périphérique nantais : « Plus de 50 ans que ça dure », des automobilistes ulcérés
Les nouvelles inondations du périphérique exaspèrent bon nombre de Nantais. Presse Océan leur a donné la parole et les réactions ne se sont pas fait attendre.
1- Aucune avancée constatée…
Après les nouvelles inondations causées par le Gesvres, les retours négatifs des usagers du périphérique sont nombreux voire unanime, " je suis arrivée en 1974, ça fait plus de 50 ans que ça dure. C’était déjà d’actualité et rien n’a changé ", déplore Patricia.
Même son de cloche pour Emmanuelle, habitant à la cité des ducs depuis 1994 : " J’étais étudiant à mon arrivée ici, ça a toujours été un problème récurrent et manifestement il ne se passe rien. » Pour les conducteurs, cette situation est « inadmissible, comment en 2024 on n’arrive toujours pas à régler ce problème récurrent », s’interroge Pascal."
2- Pourquoi ne pas rehausser la chaussée du périphérique ?
Face aux inondations qui se succèdent, une question taraude les automobilistes : " Pourquoi ne pas élargir le lit de la rivière et surélever le périphérique ", s’étonne Jérôme.
La réponse est simple mais frustrante : " Les travaux ne seraient pas rentables car il n’y a pas assez de jours où le périphérique est inondé ", annonce Axelle. Pour les usagers, c’est l’incompréhension : " C’est urgent, même si le blocage n’arrive que trois fois dans l’année, c’est trois fois de trop »."
Alors que le périphérique a été construit sous le niveau du Gesvres, rien n’est donc fait pour y remédier. " On préfère élargir le pont de Bellevue plutôt que rehausser le périph ", se désole Olivia, ou encore faire d’autres aménagements. " Faire des travaux gigantesques ailleurs sur le périphérique sans investir dans un tronçon de 200 m est indigne ", insiste Betty.
3- Pas assez d’alternatives
Quand le périphérique est inondé, les solutions pour se déplacer en voiture sont peu nombreuses voire inexistantes. " Les déviations se font sur deux axes en travaux actuellement (Port-Boyer Tortière ainsi qu’à Saint-Joseph-de-Porterie). Il ne manque plus qu’une tempête pour fermer Cheviré ", constate Aurélien, obligé de chambouler l’ensemble de ses rendez-vous lors des inondations.
Du côté de Clément, on oublie la voiture et on opte pour " les transports en commun ou le vélo »." Cependant, tous les usagers n’ont pas cette chance : " Les bus ce n’est pas mieux, beaucoup de personnes n’ont malheureusement pas d’autre choix que la voiture pour aller travailler ", témoigne Caroline.
4- Des bouchons à répétition
Aucune avancée, pas de surélévation du périphérique et des alternatives quasi absentes. Résultat : " Des bouchons sur tous les axes autour du périphérique ", déplore Bernard. En effet, des bouchons à gogo se forment un peu partout, à Saint-Joseph, porte de Carquefou, la Beaujoire… " J’ai mis plus de 2 h pour parcourir 25 km ", s’exaspère Vincent, habitant à Saint-Herblain.
Finalement, les usagers n’ont qu’une seule demande envers la Ville : " Faites quelque chose »."
L’un des plus longs périphériques de France
Commencée dans les années 1970 par le périphérique Est, entre les actuelles portes d’Anjou et de La Chapelle, la construction du périphérique nantais s’est étalée sur plus de vingt ans. La réalisation des périphériques Sud, Nord et Ouest s’est prolongée jusqu’au milieu des années 1990.
Sa pièce maîtresse, le pont de Cheviré et sa chaussée à 2X3 voies enjambant la Loire à 56 m de haut, a été inaugurée en 1991. Mais ce n’est que fin 1994 que la boucle a été bouclée, avec la mise en service de la section comprise entre les portes d’Armor et d’Orvault.
Avec ses 42 km, c’est l’un des plus longs périphériques de France, avec la rocade de Bordeaux (45 km) et le périphérique de Nancy (41,3 km), très loin devant celui de Paris et ses 35 km. Propriété de l’État, le périphérique est emprunté chaque jour par plus 90 000 véhicules, avec des pointes à 110 000 véhicules sur le pont de Cheviré durant l’été.
Bellevue, le dernier verrou
Le réaménagement de la porte de Gesvres désormais achevé, il reste encore un dernier verrou à traiter sur le périphérique nantais, celui du complexe de Bellevue. Situé entre la porte d’Anjou et celle du Vignoble, ce « nœud de congestion » voit passer 90 000 véhicules par jour.
À l’issue d’une concertation publique organisée fin 2021, l’option retenue prévoit la réalisation d’un nouvel ouvrage à trois voies (dont une réservée aux bus) au-dessus de la Loire, d’une nouvelle bretelle reliant l’A11 au périph intérieur, de nouvelles voies d’entrecroisement et d’une voie réservée aux vélos et aux piétons.
Coût estimé du projet : 117 millions d’euros, financés par l’État et les collectivités. Les travaux devraient démarrer en 2028.
À quoi servent ces grands bassins près du périphérique de Nantes ?
Le chantier d’aménagement de la porte de Gesvres, entre l’autoroute A11 et le périphérique nantais, touche à sa fin. Parmi les derniers travaux, l’extension et la création de bassins de traitement des eaux pluviales collectées en bordure des voies.
Dans quelques semaines, la base de vie du chantier sera démantelée. Trois ans après leur démarrage, les travaux de la porte de Gesvres doivent s’achever d’ici l’été. Ils auront permis de créer de nouvelles bretelles entre l’autoroute A11 et le périphérique nantais, et entre les périphériques nord et est, et de passer à deux fois deux voies au niveau de l’échangeur. Objectif : une circulation plus fluide là où passent aujourd’hui en moyenne 87 000 véhicules. Et où on en attend plus de 100 000 en 2040. Le chantier piloté par Vinci autoroutes, concessionnaire de ce tronçon à cheval entre l’autoroute et le périphérique, coûte 49, 7 millions d’euros (1).
Les eaux de pluie stockées et filtrées
Maintenant que les nouvelles voies ont été mises en circulation, place aux finitions. Plantation d’arbres sur les buttes en terre aux abords des bretelles, réalisation d’enrobés, installation de la signalisation. Ou encore l’extension de deux bassins de rétention d’eau et la création d’un troisième, de 3 000 m3, dans la courbe de la bretelle qui relie l’A11 au périphérique est. À quoi servent-ils ? « Toute l’eau de pluie qui tombe sur les voies coule dans des fossés et rejoint ces bassins », explique Jean-Baptiste Dousset, ingénieur travaux de l’entreprise Colas. Pour collecter l’eau ruisselant sur des chaussées plus larges, il fallait agrandir les bassins. « L’eau est stockée, puis filtrée, avant de s’évacuer dans le milieu naturel. » En l’occurrence le Gesvres.
Ces bassins sont là pour réguler les flux d’eaux pluviales, en cas de gros orage par exemple, filtrer les pollutions chroniques (huiles, hydrocarbures, etc.), et limiter les conséquences d’une éventuelle pollution accidentelle. « Une géomembrane posée au fond du bassin en assure l’étanchéité par rapport à la nappe d’eau souterraine. » Avant les travaux de terrassement sur les bassins existants, les batraciens et autres amphibiens ont été déménagés vers d’autres milieux naturels proches. « Une fois les travaux passés, ces espèces pourront à nouveau coloniser les bassins », assure Jean-Baptiste Dousset.
Parmi les dernières étapes du chantier, un mur anti-bruit de 360 m de long a été érigé sur le côté du périphérique nord. Il sera complété par des travaux d’isolation de façades de sept maisons de part et d’autre des voies. Anna Pietrasz, chargée de mission infrastructures chez Vinci, rappelle que 2 500 m² de zones humides seront restaurées, « ce qui représente plus de 200 % de compensation par rapport à la surface de zone humide concernée par le projet ». Une des mesures destinées à limiter l’impact qu’un chantier aussi colossal ne manque pas d’avoir sur l’environnement.
Inondations
Ce vaste chantier concerne le tronçon situé entre la porte de Gesvres et celle de Rennes et ne résoudra donc pas les problèmes liés aux récurrentes inondations du Gesvres entre la porte de la Beaujoire et celle de La Chapelle-sur-Erdre. Cette dernière portion n’est pas du ressort de Vinci autoroutes mais de la Direction interdépartementale des routes de l’ouest (Diro).
30 ans
C’est la période sur laquelle le site fera l’objet, en lien avec la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux), d’un suivi écologique pour « garantir le maintien de la faune et flore locales et des milieux naturels ».
(1) 75 % financés par Vinci autoroutes et 25 % par la Région, le Département et Nantes métropole.
Au bord du périph nantais, des bassins tout neufs pour l’eau de pluie et les grenouilles
Lancé il y a trois ans, le chantier d’aménagement de la porte de Gesvres, sur le périph nantais, touche à sa fin. Trois bassins de rétention permettent de traiter les eaux pluviales. Ils seront bientôt recolonisés par la faune et la flore.
Déplacés ailleurs le temps des travaux, les grenouilles de la porte de Gesvres et leurs congénères amphibiens vont bientôt pouvoir regagner leurs pénates. De part et d’autre du nouvel échangeur, à la jonction de l’autoroute A11 et du périphérique nantais, trois bassins de rétention se tiennent prêts à les accueillir.
« Stocker les eaux de ruissellement et les dépolluer avant de les évacuer »
Le rôle de ces réservoirs tampons est triple : " Stocker les eaux de ruissellement routières, les dépolluer par filtrage et décantation, avant de les évacuer dans le milieu naturel ", résume Jean-Baptiste Dousset, directeur de travaux. Deux de ces bassins existaient déjà, le long du périphérique Est et de l’A11, côté Gesvres. Tous les deux ont été remis en état et agrandis, et un troisième a été créé à l’intérieur de la nouvelle bretelle reliant l’A11 au périphérique Est. " Comme on a élargi les chaussées, il y a plus d’eau qui s’écoule, qu’il faut donc stocker et traiter avant de la rejeter dans la nature ", explique Anna Pietrasz, qui pilote le chantier de la porte de Gesvres pour Vinci autoroutes.
Des membranes géotextiles assurent l’étanchéité des bassins et un système de vannes permet de réguler l’écoulement de l’eau. " En cas d’accident sur l’autoroute, un camion qui se renverse par exemple, on ferme tout et on pompe l’eau polluée pour la traiter ailleurs ", indique Jean-Baptiste Dousset.
Des gîtes à chiroptères
La réalisation de ces bassins de rétention, rendue obligatoire par la loi, s’inscrit dans le volet environnemental du chantier de la porte de Gesvres, qui se veut exemplaire sur ce point.
Pour compenser l’arrachage de centaines d’arbres et le déversement de millions de mètres cubes de béton et de bitume, Vinci autoroutes a ainsi prévu de végétaliser tous les talus et de replanter 500 arbres autour du nouvel échangeur.
" Nous allons aussi restaurer 2 500 m² de zones humides, soit deux fois plus que la surface concernée par le projet ", souligne Anne Pietrasz. Pour ce faire, un chantier d’arrachage d’espèces envahissantes a été confié à l’association d’insertion Atao.
Plusieurs mesures ont aussi été prises pour préserver les espèces locales : création de sites de ponte pour les reptiles et de deux mares pour les amphibiens, installation de gîtes pour chauves-souris et de nichoirs à oiseaux, le tout assorti d’un suivi écologique sur 30 ans.
La fin d’un chantier XXL
Lancé en juin 2021, le chantier de réaménagement de la porte de Gesvres vise à fluidifier le trafic au niveau de la jonction entre l’A11 et le périphérique nantais, sur un tronçon de 3 km emprunté chaque jour par près de 90 000 véhicules. L’objectif est de gagner 30 % de temps de trajet entre les portes de Rennes et de La Chapelle, et de réduire de 40 % le trafic sur les boulevards intérieurs. Cofinancé par Vinci autoroutes (75 %), la Région, le Département et Nantes métropole, son coût s’élève à 48 millions d’euros. Le nouvel échangeur, avec ses ponts et ses bretelles, est ouvert à la circulation depuis la fin 2023. Mais sa mise en service complète n’aura lieu que fin juin, une fois les derniers travaux d’enrobé et de signalisation horizontale terminés. D’ici là, la nouvelle porte de Gesvres va faire l’objet d’ultimes inspections de sécurité par les services de l’État.
Info-trafic Nantes. Nouvelle inondation du périphérique : déviations et circulation compliquée
Le périphérique est inondé à hauteur de la porte d’Anjou vers la porte d’Orvault, vendredi 5 avril 2024. Des déviations sont en place.
Presse Océan Presse Océan Modifié le 05/04/2024 à 15h52 Publié le 05/04/2024 à 07h57
Le périphérique est pourrait être de nouveau praticable dans l’après-midi, vendredi 5 avril 2024, annonce Bison Futé." La lente décrue du Gesvres, l’arrêt des précipitations et des prévisions météorologiques favorables permettent d’envisager un rétablissement de la circulation sur au moins une voie de circulation en périphérique extérieur de Nantes ", précise-t-il.
Des restrictions de circulation vont être maintenues dans la nuit de vendredi à samedi. Deux itinéraires alternatifs sont en place. La déviation S6 fait obligatoirement sortir à la porte de la Beaujoire, dans le sens extérieur. Dans l’autre sens, la déviation S8 passe par la porte d’Anjou, via les autoroutes A811 et A11. Les frais de péages sont exceptionnellement pris en charge.
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Inondation
Une inondation est en cours sur le périphérique est de Nantes, vendredi 5 avril 2024, à cause des fortes pluies du début de la journée. Le Gesvres est sorti de son lit entre les portes d’Anjou et d’Orvault, dans le sens extérieur (Cholet vers Paris).
Bison Futé a annoncé, vers 6 h 50, que la route était coupée à partir de la porte de la Beaujoire, sortie N° 40. Et ce sur toutes les voies.
Le nombre de voies est réduit à partir de la porte de Carquefou, N° 41. En conséquence, la bretelle d’entrée de la route nationale RN844 est fermé dans le sens extérieur de la porte de la Beaujoire. Une déviation est en cours à partir de cette porte.
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https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/peripherique-inonde-a-nantes-un-casse-tete-qui-attend-toujours-detre-resolu-19f0098e-d57f-11ee-96ef-9660257def44
Des ralentissements et de fortes perturbations sont à craindre autour de Nantes.
Vigilance jaune
Météo France a placé la Loire-Atlantique en vigilance jaune, pour risque de crue jeudi 4 et vendredi 5 avril 2024. Plusieurs communes sont concernées par de possibles débordements.
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