WilliamJ35 a écrit:Mais bon, on préfère investir dans les radars et donner du fric à l'Education Nationale dans des projets fumants et inutiles.....
Gilles a écrit:80 000€ pièce
Mais bon, on préfère investir dans les radars et donner du fric à l'Education Nationale dans des projets fumants et inutiles.....
luchar a écrit:Mais encore une fois, ce n'est pas un forum d'immobilier... Il y a bcp de sites sur ça, il suffit de chercher un peu. Merci.
marsupilud a écrit:Héhé.. P'tet que y'a une rocade de prévu par là -bas, et qu'il faut donc pas acheter trop près du fuseau....
Midi Libre a écrit:L'avis d'un ex-maire de Port-Vendres
RAPPEL : Le projet d'une station d'élevage de thons rouges au large de Port-Vendres alimente la polémique.
Jean Capallère, ancien maire de Port-Vendres, mais surtout citoyen de la Côte Vermeille, souhaite exprimer son opinion sur le projet d'engraissement du thon rouge au large du port catalan.
« Le maire, Michel Strehaiano, premier concerné puisque ce projet se situe au large de Port-Vendres, adopte une position pour le moins ambiguë. Il attend, en fait, que la population s'exprime au travers de l'enquête publique. Quelle est vraiment son opinion sur ce dossier ? Nous n'en saurons pas plus, si ce n'est qu'il n'arrive pas à donner son sentiment personnel, ni celui de son conseil municipal, avant de connaître quelle sera l'opinion générale.
« Cette attitude ne me semble pas très courageuse, concernant un problème environnemental majeur, dont les élus de proximité auraient dû se préoccuper, dès que ce projet a été présenté (juillet 2004).
« On se souvient que le 2 avril 2005, le maire avait déclaré "être très favorable à ce projet, qui permettrait la création d'une quinzaine d'emplois", et de poursuivre "d'après mes informations, (lesquelles ?) les impacts sur l'environnement sont complètement maîtrisés" (sic !). Avait-il consulté son conseil municipal à l'époque avant de s'exprimer ?
« Je suis intimement persuadé, contrairement à ces déclarations un peu hâtives, voire irresponsables, que cette activité va générer une grave pollution marine, préjudiciable à l'activité touristique de la Côte, de Collioure à Cerbère, et peut-être même jusqu'à Argelès.
« Les initiateurs de ce projet parlent de sept emplois créés (quinze selon le maire !). Mais combien d'emplois, liés au tourisme, risquent de disparaître en raison de la pollution engendrée par ces cages d'engraissement des thons, dont personne ne veut en France ? Peut être cent fois plus.
« Que se passera-t-il, lorsqu'après des analyses d'eauxde baignade défavorables de la Ddass et du Laboratoire Arago, les maires de Banyuls et Cerbère - par tramontane - et ceux de Collioure et Argelès - par marinade - seront contraints d'interdire la baignade aux dizaines de milliers de touristes en vacances sur notre côte ?
« L'interdiction des plages du Forat, de l'usine de Paulilles et de Bernardi, ne sera pas nécessaire : les baigneurs auront déjà déguerpi depuis longtemps.
« Compte tenu des normes draconiennes en terme de qualité environnementale, adieu, et pour longtemps, image de marque et Pavillon Bleu !
« Enfin, qu'en pensent les élus des stations touristiques de Catalogne sud, de Cerbère au Cap Creus ? Peut-être que la pollution s'arrêtera à la frontière, comme le nuage de Tchernobyl. »
Midi Libre a écrit:Routes et logement social au menu du conseil
Le conseil général poursuit à cadence forcée ses sessions : 15 en 12 mois l'an dernier avec l'examen de quelque 1 500 dossiers. Lundi, l'assemblée départementale examinera 81 dossiers dont celui de la nouvelle charge que constitue "l'héritage" des routes nationales 9 (Salses-Le Perthus), 114 (Perpignan-Cerbère) et 139 (tronçon de la RN9 situé près du péage Perpignan sud).
La situation est d'autant plus paradoxale que les budgets de rénovation ont existé mais, n'ayant pas été utilisés, ont été affectés ailleurs en France. « En tant que député, j'avais obtenu, dans le cadre du douzième plan, la somme de 85 millions d'euros, dont 67 pour la seule 116... , tempête Christian Bourquin. Nous sommes obligés de tout reprendre, alors que les budgets existaient... Qu'ont-ils fait entre temps ? » Et, non sans une pointe de délectation, il souligne au passage que c'est le conseil général qui va entamer les travaux de contournement de Perpignan. « La seule ville de France de plus de 100 000 habitants qui n'a pas encore de rocade et qui, en 50 ans, n'a rien fait en ce sens... Lundi, ce sera une session historique. » Le conseil général va ainsi engager 175 M € dans ces travaux, soit quatre fois son budget routier annuel.
luchar a écrit:Minute!
Je crois avoir lu dans le Perpignan Mag que le contournement serait en fait un bd urbain truffé de RP, longé par des pistes cyclables de part et d'autre de la chaussée.
Ils voulaient un axe paysager et "humain".
luchar a écrit:Je parlais du NE.
Pour l'ouest, je sais pas. Mais il est bien dommage que le NE soit à RP, alors qu'on a une magnifique VE vers Canet qui s'arrête en plein dans une de ses horreurs.
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