Forum SARA

frantz58 a écrit:Sur la RD500 à la limite Nièvre-Saône et Loire:_________face Niévre_______________ face Saône et Loire

Supermario3459 a écrit:Je n'ai pas lu les 8 pages du sujet, mais j'en ai vu un sur la D218 à la hauteur de La Teste / Biscarrosse, il est assez délabré, je ferai une photo a mes risques et périls car c'est quand même une route très fréquentée !

Courrier Picard a écrit:L'ancienne borne inaugurée

Depuis quelques semaines, une ancienne grande borne kilométrique, scellée au pied des villas mersoises, rappelle qu'à cet endroit de l'esplanade Picarde, le promeneur a en fait un pied à Mers-les-Bains et au Tréport mais aussi en Somme et en Seine-maritime, en Picardie et en Normandie. Beaucoup l'ignorent, mais les cinq dernières villas Mersoises sont en fait Tréportaises. En 2013, l'adjoint au Patrimoine Michel Delépine fait retirer la borne de l'avenue Foch, entre Mers et le Tréport, juste avant les travaux de constuction du futur centre aquatique, afin d'éviter sa disparition. «Cette borne marquait à l'origine la Route Nationale 15 Bis qui, créée en 1836, menait de Paris au Tréport», réaffirmait l'adjoint jeudi soir en présence des élus mersois, tréportais et des maires Alain Longuent pour le Tréport et Emmanuel Maquet pour Mers.

Revêtue d'une décoration précise, avec les blasons des différentes communes et entités concernées en céramiques et pâtes de verre, par la céramiste Louise Bulcourt, la borne présente aussi deux couleurs, le rouge pour la route nationale et le Jaune pour la départementale, en un clin d'oeil au passé, mais pas seulement. «Elle se veut être bien plus un trait d'union qu'une délimitation administrative, tant nos relations sont bonnes» soulignaient de concert Michel Delépine et Emmanuel Maquet. «Nous nous entendons bien, c'est vrai, et dès lors qu'il s'agit de faire progresser le territoire de façon intelligente, nous y travaillons ensemble. Cela vaut aussi pour le patrimoine, qui n'est pas forcément très ancien», confirmait Alain Longuent, rejoint par son collègue mersois qui soulignait «la qualité de la valorisation de ce témoignage devenu rare de l'administration de nos routes et territoires».