djakk a écrit:M'enfin le comparateur de prix compare-t-il les coûts annexes style prix des bagages ou taxes diverses et variées (+ 10€ quand on paye avec sa carte bleue visa chez easyjet, taxe apparue au début 2011 …)
super5 a écrit:djakk a écrit:M'enfin le comparateur de prix compare-t-il les coûts annexes style prix des bagages ou taxes diverses et variées (+ 10€ quand on paye avec sa carte bleue visa chez easyjet, taxe apparue au début 2011 …)
La taxe bagage est la même chez Easyjet et Vueling.
Il n'y a aucune surcharge si on paye en Visa Electron.
En fait on peut astucieusement échapper à cette taxe en choisissant "Carte Bleue" tout simplement
http://www.quellecompagnie.com/Guide/ea ... uc-010.php
lorp a écrit:10€ de plus pour payer par CB, on aura tout vu. Et 14€ pour payer par carte de crédit... Le rapport avec une quelconque charge supplémentaire pour la compagnie aérienne ? Et l'autre qui disait qu'on était prêt à ramper sur du verre pilé pour du low-cost, on est même prêt à payer la taxe pigeon.
lorp a écrit:Pour les bagages et les colations, le coût pour la compagnie est évident. Tant mieux que des compagnies proposent ces prestations en option. Pour le surcoût CB, je m'étonne qu'il n'ait pas d'association de consommateurs pour gueuler. Que le prix du billet augmente de 10 ou 14€ selon la nature de la carte de paiement, c'est une discrimination non justifiée.
http://justflying.net a écrit:Suppléments abusifs des Low Costs : les anglais se rebiffent By Bertrand – July 6, 2011
(...)
Si le principe des suppléments est légal et n’a pas à être remis en cause (quand on choisit certaines compagnies on sait à quoi s’attendre), le caractère abusif de certains commence à énerver les passagers et émouvoir les autorités anglaises. En ligne de mire : les surcharges liées au paiement par carte bancaire. Compagnies concernées : Ryanair, easyJet, bmibaby et Flybe.
L’OFT (Office of Fair Trading) vient de rentrer en guerre contre cette pratique qui coûterait 100 millions de livres aux familles anglaises chaque année. A défaut que ces suppléments soient supprimés, l’OFT demande à ce que leur existence soit précisée dès le début du processus d’achat en ligne et non plus seulement à la fin, lorsque le client en est au paiement et se sent contraint d’aller au bout du processus. (...)
Parallèlement l’OFT demande au gouvernement de légiférer afin de rendre cette pratique illégale une fois pour toutes et de manière indiscutable.
super5 a écrit:D'ailleurs, est-ce légal de faire payer en fonction du moyen de paiement utilisé ?
Biglower a écrit:Bah on paie pas en livre les billets (traduits en euros sur la facture qui apparaît) ? Enfin en tous cas, apparemment, tout est directement centralisé en Angleterre donc j'imagine que c'est pour tous les européens le même système.
Il y a un truc quand on paie qui dit que c'est le droit anglais qui s'applique ou un truc comme ça, je ne me souviens plus bien.
Le Figaro a écrit:easyJet va vendre des places numérotées dans ses avions
Lorsque les places numérotées seront testées, le « speedy boarding » sera suspendu et remplacé par des suppléments payants.
La compagnie low-cost va tester ce service payant. Les embarquements pourraient prendre plus de temps.
easyJet va donner un coup de canif dans son organisation low-cost au printemps prochain. La deuxième compagnie aérienne en France (près de 12 millions de passagers, dont 20% d'homme d'affaires) va tester la commercialisation de places numérotées dans ses appareils, vendues plus chères que les billets habituels. Ce service la rapprochera des compagnies traditionnelles, qui l'incluent, elles, dans le prix de leurs billets (certes vendus plus chers).
Jusqu'à présent, les passagers d'easyJet ne disposent pas de place numérotée. Ils ne peuvent donc pas choisir leur siège et ne sont pas assurés de voyager près de leurs proches. Avantage pour le transporteur: le remplissage de l'avion est beaucoup plus rapide que lorsque les sièges sont préattribués. Un atout stratégique pour les compagnies à bas coûts. Le temps de rotation des appareils est en effet plus court que dans les compagnies régulières, afin de les faire voler davantage: l'embarquement et le débarquement des passagers doivent donc être le plus rapide possible.
Pour ses clients exigeant plus de confort, la compagnie orange avait toutefois lancé il y a un an un service payant, le «speedy boarding», qui garantit lors de la réservation une installation prioritaire, pour un montant de 6 à 11 euros par vol. Lorsque les places numérotées seront testées, le «speedy boarding» sera suspendu et remplacé par des suppléments payants, dont les montants n'ont pas encore été fixés, pour les places situées aux premiers rangs de l'appareil et à côté des issues de secours. «Financièrement, les places payantes devraient compenser la disparition du speedy boarding», explique François Bacchetta, directeur général d'easyJet en France. Elles pourraient rapporter davantage, si l'expérience atteint son objectif.
La part des revenus liés aux services payants ne cesse de croître chez easyJet. En 2011, sur 3,4 milliards de livres de chiffre d'affaires, 719 millions proviennent des services annexes (+13% sur an). Les dirigeants de la compagnie veulent poursuivre cette progression.
Impact sur la ponctualité
«Ce test illustre l'un de nos objectifs majeurs, faire tout notre possible pour rendre le voyage de nos passagers toujours plus simple et abordable, explique Carolyn Mc Call, directrice générale d'easyJet. Nous sommes impatients de voir comment nos clients vont réagir et si ce système fonctionne bien. Si les tests sont concluants d'un point de vue opérationnel et économique et si nos clients sont satisfaits, alors nous déploierons ce dispositif à une plus grande échelle. Si ce n'est pas le cas, nous n'irons pas plus loin.»
Pour réaliser cette petite révolution, la compagnie britannique va devoir investir quelques millions d'euros dans un nouveau système de réservation. « Le test que nous allons lancer sur quelques lignes va nous permettre de mesurer la satisfaction des clients, et surtout l'impact éventuel sur notre ponctualité», explique François Bacchetta. Selon lui, easyJet occupe la deuxième place sur le podium des compagnies européennes les plus ponctuelles. Il ne faudrait pas que ce nouveau service lui fasse perdre une marche.
Le Point a écrit:Low cost : Vueling déploie ses ailes en France
La compagnie aérienne s'installe dans cinq nouvelles villes et assure offrir des services dignes d'une compagnie régulière.
Après Paris, Nantes, Toulouse, Bordeaux et Nice, la compagnie aérienne low cost Vueling poursuit son déploiement en France avec la ferme intention de disputer à easyJet ses parts de marchés. À partir de mars prochain, Vueling va poser ses ailes dans les aéroports de Marseille, Strasbourg, Nantes, Brest et Lyon avec des connexions privilégiées avec Barcelone, où Vueling possède son hub et assure quelque 900 destinations en Europe, mais aussi en Israël, en Jordanie, à Moscou et à Saint-Pétersbourg.
Depuis les aéroports français, l'espagnol proposera aussi des vols pour Palma, Venise, Prague, Rome, Séville, Valence, Zurich, Madrid... à des prix low cost. "Ils sont compris entre 29,99 euros TTC et 500 euros", explique Linda Moreira, directrice générale de Vueling France.
"Radins"
La jeune société (créée en 2004, cotée en Bourse depuis 2005) aime à se présenter comme une compagnie "nouvelle génération" plutôt que "low cost". Linda Moreira assure ainsi que le service y est identique à celui des compagnies aériennes traditionnelles : "Chez nous, l'accès aux toilettes est gratuit, il n'y a pas de suppléments pour les bagages, nous servons une collation, les billets sont flexibles. Nous proposons, contre un supplément, des sièges du premier rang avec un siège inoccupé comme voisin... Bref, il ne nous manque que le petit rideau pour faire comme les compagnies traditionnelles", résume-t-elle. Précisons tout de même qu'aucune compagnie low cost ne fait payer les toilettes !
Selon Linda Moreira, faire baisser les prix sans offrir un service spartiate, ce n'est pas sorcier : "On n'a pas de boutiques, on est très radins, et je n'ai pas de secrétaire." Les billets sont vendus sur Internet, ou par l'intermédiaire des agences de voyages. Vueling présente aussi la particularité d'avoir Iberia dans son capital à hauteur de 40 % et de faire un "partage de code" avec elle. En clair, en achetant un billet Vueling, on peut finalement se retrouver sur un vol Iberia et inversement.
Avec ses 1 300 salariés et ses 48 avions (dont quarante-sept A320 de 180 sièges et un A319 de 144 places), la compagnie a bien l'intention de conquérir l'Hexagone. "La France est le marché qui génère la plus forte croissance et se consolide comme pays-clé pour l'expansion internationale de la compagnie", explique Linda Moreira.
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