CPER Midi-Pyrénées a écrit:- RN 21 – dans le Gers : contournement d’Auch/Pavie, déviation de Lectoure, lacets de St-Maur, créneaux de dépassement, … Etudes, acquisitions foncières et 1ers travaux / 2,5 M€ /
CPER Midi-Pyrénées a écrit:- RN 21 - dans les Hautes-Pyrénées : contournement nord de Tarbes et entrée de Lourdes. Etudes et acquisitions foncières / 1,3 M€ /
Sud Ouest a écrit:
Second échangeur autoroutier d'Agen : le financement n’est pas assuré
Publié le 02/04/2016 . Mis à jour à 10h18 par Christophe Massenot
Le coût du second échangeur d’Agen devait être partagé entre l’Agglo, le Département et le concessionnaire. Vinci hésite à s’engager dans le tour de table.
Cela ne sent pas encore le roussi ni le pneu brûlé, mais tout de même… Le financement du second échangeur autoroutier d'Agen est loin d'être assuré. Pourtant, pour ses actifs soutiens, l'équipement est essentiel dans le développement des infrastructures routières lot-et-garonnaises et faire d'Agen le point de croisement des axes est-ouest (A 62) et nord-sud (RN 21) que renforcerait le barreau de Camélat.
Mais ainsi qu'en convenait Pierre Camani, hier, avec ce ton fataliste de l'élu las de voir les nuages s'amonceler, « sous certains aspects, le dossier est fragile ».
Un projet à 18 millions
La situation s'est effectivement compliquée depuis que Vinci ne semble plus tout à fait enthousiaste à l'idée d'apporter un tiers du financement à ce projet de 18 millions d'euros répartis, à parts égales, entre l'Agglomération d'Agen, le Conseil départemental et le groupe exploitant. Pour Vinci, c'est l'amortissement de l'investissement qui interroge plus que l'intérêt de structurer le département.
L'avenir de ce dossier va donc se jouer en partie le 3 mai prochain, au secrétariat d'État en charge des Transports, qui a en main un dossier de principe, et où sera reçue une délégation des collectivités lot-et-garonnaises concernées. Car, pour elles, aller plus loin est impossible. « S'engager à 50-50 ? Ce n'est pas envisageable », tranche Pierre Camani, qui a reçu dernièrement un courrier d'Alain Vidalies ouvrant la porte à une éventuelle participation de l'état à hauteur de 20 %.
Importante pour le TAG
Un appui qu'Henri Tandonnet espère voir se concrétiser. La bretelle, qui serait implantée dans la commune de Brax, est aussi fondamentale au projet de Technopôle Agen Garonne à Sainte-Colombe-en-Bruilhois.
« L'enjeu est double. D'une part de consolider l'attractivité commerciale du nœud économique d'Agen, sur les communes d'Estillac, Roquefort, Brax et Sainte-Colombe qui disposent de terrains non inondables et épargnés par les glissements. Mais c'est aussi une opportunité de raccorder le Villeneuvois à l'autoroute de façon rapide, c'est-à-dire sans se heurter à la traversée d'Agen, puisque cet échangeur doit se concevoir dans un ensemble avec la Nationale 21 et le pont de Camélat », soutient-on du côté de l'Agglomération.
Le recours au privé et aux péages sur la RN 21 ?
A la Une / Agen / Publié le 30/05/2016 . Mis à jour à 15h33 par Sudouest.fr Lot-et-Garonne
La RN 21 passe par les Hautes-Pyrénées, le Gers, le Lot-et-Garonne, la Dordogne et la Haute-Vienne.
Ce lundi, à la CCI d'Agen, se tient le colloque Euro 21, qui mène une action de lobbying pour la mise en 2x2 voies de la RN21 entre Tarbes et Limoges
Depuis la relance de son action en 2006, l'association Euro 21 n'a vu que 7 km de la RN 21 mis en 2x2 voies. C'était en 2010, à Pujols. "A ce rythme là, on mettra plus de cent ans à sécuriser cet axe", déplore Jean-Claude Pouxviel, président de l'Euro 21, dont le colloque se tient ce lundi, à l'invitation à l'invitation de Jean-Alain Mariotti, lui-même fervent défenseur de la modernisation de cet axe, à la CCI d'Agen.
2 milliards d'euros
Un colloque pour inciter les élus concernés à se structurer au sein d'un syndicat mixte afin d'avoir une vision et projet global pour cette bande d'asphalte de 330 km qui passe par les Hautes-Pyrénées, le Gers, le Lot-et-Garonne, la Dordogne et la Haute-Vienne.
Ce projet serait, selon les acteurs d'Euro 21, une source de dynamisme économique mais également un gage de sécurité pour une route notablement accidentogène. Mais à ce jour, l'État n'y serait guère favorable pour des raisons financières (un peu plus de 2 milliards de coût) et environnementales (préférence faite au ferroutage). L'idée de faire appel à un financement privé avec mise en place de péages fait donc son chemin.
Les internautes votent contre le passage de la RN21 en 2x2 voies à péage
A la Une / transports / Publié le 19/11/2014 à 11h32 . Mis à jour à 15h59 par SudOuest.fr Dordogne
Les internautes votent contre le passage de la RN21 en 2x2 voies à péage
Ils étaient plus de 1.200 à participer à la consultation lancée lundi sur SudOuest.fr. 49,2 % ont dit non à la transformation de la nationale en autoroute [...] Il faut garder la RN21 avec ses points d'accès pour desservir la région traversée, le péage réduirait considérablement ces dessertes. Elle nécessite une amélioration en la transformant en route rapide à 2x2 voies, au moins sur une large part de cette route. Une route payante serait acceptable, mais uniquement en plus de la RN21 actuelle. Une route payante sans doubler la RN21 reporterait la circulation (...) sur les petites routes du secteur concerné avec les accidents qui en résulteraient."[...]
Ce projet serait, selon les acteurs d'Euro 21, une source de dynamisme économique mais également un gage de sécurité pour une route notablement accidentogène. Mais à ce jour, l'État n'y serait guère favorable pour des raisons financières (un peu plus de 2 milliards de coût) et environnementales (préférence faite au ferroutage). L'idée de faire appel à un financement privé avec mise en place de péages fait donc son chemin.
Dordogne/ Lot-et-Garonne : le lobby de la RN 21 persiste
Publié le 31/05/2016 . Mis à jour à 09h40 par Bastien Souperbie
La RN 21 en Dordogne, essentiellement à deux voies, n’offre pas beaucoup de possibilités de doubler.
Jean-Christophe Sounalet
Lundi, le colloque Euro 21, organisé à Agen, a étudié les pistes pour la mise en 2 x 2 voies de la route, avec recours aux péages
La mise en 2 x 2 voies de la RN 21 est un si vieux sujet qu'il a rejoint la cohorte des serpents de mer. Songez que depuis 2006, à peine 7 km de cet enrobé (à Pujols, en Lot-et-Garonne en 2010) ont été modernisés en 2 x 2 voies. La Dordogne a bien vu l'ouverture en 2010 de la déviation est de Bergerac, mais elle n'est qu'à deux voies. Depuis, plus rien. Sur les 340 km qu'il faudrait réaliser entre Tarbes et Limoges, cela en dit long sur le chemin (la route) à parcourir et le temps qu'il faudra y employer…
Lundi, lors du colloque Euro 21 organisé à la Chambre de commerce et d'industrie (CCI) d'Agen, le leitmotiv du jour était pourtant « maintenant ou jamais ! ». Une nouvelle opération de lobbying afin de pousser les élus des villes et départements concernés (Hautes-Pyrénées, Gers, Lot-et-Garonne, Dordogne et Haute-Vienne) à se saisir de ce dossier une fois pour toutes.
« Sans ça, on n'y arrivera pas »
Au-delà des incantations, Euro 21 propose des solutions : la création d'un syndicat mixte au sein duquel les collectivités se rassembleraient pour bâtir « un projet commun », selon « une vision globale ».
Quant au nerf de la guerre, l'argent, Euro 21, face à l'impécuniosité de l'État, en appelle à nouveau au financement privé. Et donc, fatalement, à mettre en concession certains tronçons sur le même fonctionnement qui prévalait jadis pour les autoroutes. Ce qui suppose la mise en place de péages.
Le député du Lot-et-Garonne Jean-Louis Costes, présent au colloque, y est favorable. « Sans le financement privé, on n'y arrivera pas. Rien que pour l'entretien de l'axe actuel, l'État ne donne pas les moyens suffisants. Il faudrait entre 100 000 et 200 000 euros, or l'enveloppe actuelle s'élève à 50 000 euros. Il n'y a même pas les crédits pour acheter de nouveaux camions aux services ad hoc qui, du coup, les louent au secteur privé… ». Cela dit, si la problématique financière pourrait être résolue par le concours du privé, le projet porté par Euro 21 se heurte au dogme bâti lors du Grenelle de l'environnement, qui pourrait se résumer ainsi : la voie ferrée plutôt que la route.
« Des cercles antivertueux »
« Sauf qu'il n'existe pas de ligne entre Limoges et Tarbes pour faire du fret ! », s'étrangle Jean-Alain Mariotti, le président de la CCI du Lot-et-Garonne. « Il y a un risque de fracture du territoire, avertit Jean-Pierre Limousin, président du Ceser (1) et de la CCI de Limoges. Il y aura d'un côté les territoires tournés vers le littoral, et les autres qui souffriront grandement de leur enclavement. On en fait des cercles antivertueux. »
Avec des coûts de transport plus élevés et des problèmes de flux, ces zones sont en effet, qui plus est en temps de crise, bien plus exposées. Les cas de la base Intermarché de Lectoure, dans le Gers (250 emplois), et du siège de Jardiland à Trélissac, tous deux abandonnés au prétexte de la logistique, ont été cités en exemple. « La dynamique des bassins de vie ne peut s'envisager sans accessibilité », a rappelé Jean-Claude Pouxviel, le président d'Euro 21.
(1) Conseil économique, social et environnemental régional.
Les propositions de Devlop'SO
Devlop’SO, pour Développement sud-ouest, est un comité formé de citoyens concernés qui réfléchissent sur l’avenir des routes de la région. Autour de leur président, l’ancien proviseur du lycée Claveille de Périgueux, Jean-Marc Richard, ils font des contre-propositions à l’Euro 21. « Leur projet ne verra jamais le jour pour des raisons financières et de logique : on ne va pas faire une autoroute parallèle à une autre [NDLR : l’A 20] ». L’idée sur laquelle gamberge cette équipe de retraités toujours actifs, est celle « d’un art intérieur de la nouvelle région » qui relie Langon (au sud) à Pierre-Buffière, en Haute-Vienne (au nord), via Périgueux.
Deux tronçons de 80 km
Il s’agit de deux tronçons à 2 x 2 voies, d’environ 80 km chacun qui font le lien entre les autoroutes existantes en permettant de soulager l’axe Bayonne-Poitiers (A 10) en utilisant mieux la Pau-Langon (A 65), ce qui permettrait de débarrasser la rocade bordelaise d’une partie du trafic de transit. « Cela rééquilibre et règle beaucoup de choses », estime Jean-Marc Richard. Pour l’agglomération de Périgueux, cela fait également office de contournement est.
Devlop’SO a travaillé sur le coût d’un tel projet en se basant sur celui de l’A 65, en y ajoutant l’inflation ainsi que des ouvrages d’art et une topographie accidentée : soit entre 12 et 13 millions d’euros du kilomètre. Le total des deux tronçons reviendrait ainsi à 2,05 milliards d’euros. Des tronçons qu’ils imaginent mis en concession à péage.
Les coûts différents
Évidemment, ils ne sont pas du tout d’accord avec les coûts annoncés de l’Euro 21. Avec la même base de calcul que pour leur idée sur les 348 kilomètres à aménager de la RN 21 de Limoges à Tarbes, ils atteignent le chiffre de 4,35 milliards. Bon, le résultat n’est pas le même que celui de l’association Euro 21.
Les citoyens de Devlop’SO voient les projets avec le tropisme des habitants de l’intérieur et dénoncent « la gourmandise bordelaise ». Pour résumer, les décideurs de la métropole préféreraient garder les bouchons liés au transit pour faire marcher l’économie de leur secteur, au détriment de celle de l’intérieur qui se désertifie et vieillit. Ils craignent de retrouver un remake de « Paris et le désert français », « Bordeaux et le désert aquitain ». Ça a le mérite de faire réfléchir.
Hervé Chassain
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Deux associations régionales militent pour une autoroute Limoges-Pau
http://www.sudouest.fr/2015/11/13/deux-associations-regionales-militent-pour-une-autoroute-limoges-pau-2184079-3452.php
BAP et Devlop'SO souhaiteraient que des études soient lancées. le coût serait de 2,5 milliards d'euros selon leurs estimations
Publié le 03/06/2016 à 03:55, Mis à jour le 03/06/2016 à 08:01
«La RN21 en 2x2 voies, ça n'avance pas…
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Michel Doligé (à g.) a participé au colloque sur la mise en 2x2 voies de la RN 21, en début de semaine, à Agen. / Photo DDM, MC
6h15 pour parcourir les 385 km reliant Limoges à Tarbes, via Périgueux, Bergerac, Agen et Auch… Pour faire évoluer cette situation, l'association Euro 21 organisait lundi à Agen un colloque intitulé : «La mise en 2x2 voies de la RN21 : maintenant ou jamais !» Les Chambres de commerce et d'industrie des 5 départements traversés par la RN21 étaient représentés, dont celle du Gers, par son président Michel Doligé. Celui-ci assure : «Auch est la seule préfecture de France à se trouver à une heure d'une autoroute. Et c'est sûr que cela pèse sur le développement du Gers.» Ainsi, il n'y a aucun doute, selon lui : «Si l'on prend l'exemple de la base Intermarché de Lectoure et son déplacement à Montauban, on constate qu'une des raisons de la fermeture, avec 250 emplois de moins pour le nord du Gers, c'est l'absence d'autoroute.» Certes, mais ce constat, «c'est le même depuis 10 ans ! Et, c'est clair, la mise en 2x2 voies de la RN21 n'avance pas…», admet le président de la CCI.
D'où le projet de mettre en place un syndicat mixte, rassemblant notamment l'État et les représentants des différents départements, pour «financer des études sur les travaux nécessaires à cette mise en 2x2 voies». Bref, «tout dépend de la volonté politique», assure M.Doligé. Et notamment de la volonté de «mettre au pot», comme on dit poliment. Car, au final, au-delà des études, il faudra 2,2 milliards d'euros pour doubler le nombre de voies de la route. Une paille… «C'est pour ça qu'on se dit qu'on pourrait faire un partenariat public-privé», souligne M.Doligé. Selon les éléments développés lors du colloque, tout ou partie de la RN21 ainsi doublée pourrait être concédée, «c'est-à-dire à péage.»
Plusieurs élus du Lot-et-Garonne et les représentants d'Euro 21 demandent maintenant d'avancer vite : «Au rythme actuel, il faudrait plus de 100 ans pour réaliser cette 2x2 voies…»
CZ, avec J-L.A
Accidentogène, frein au développement économique, frein au développement touristique : la RN 21 d'aujourd'hui combine les handicaps.
Il faut trouver 2,2 milliards d'euros ! Et agir vite. Deux messages que viennent, tous, de relayer les participants au énième colloque sur la mise en deux fois deux voies de la RN 21 organisé, hier, dans les locaux de la CCI d'Agen. «Et compte tenu des possibilités de l'État, il ne faut pas compter sur la puissance publique pour financer un investissement de cette nature.» Les autres possibilités ne sont guère nombreuses. «La concession avec la mise en péage de certaines portions de la route», ont rappelé Jean-Claude Pouxviel, le président d'Euro 21, l'association qui porte le projet, et tous les représentants des chambres consulaires des cinq départements traversés par la RN 21.
Publié le 07/07/2016 à 03:51, Mis à jour le 07/07/2016 à 07:38
Le contournement d'Adé remis aux calendes grecques
Circulation - Déplacements - RN21
Le contournement d'Adé ne devrait pas voir le jour avant plusieurs années./Photo Sophie Loncan.
Lors d'une réunion du comité de pilotage sur la RN21, la mise en 2x2 voies entre Toulicou et Lourdes a été, une fois de plus, ajournée pour des raisons financières et techniques.
Le contournement d'Adé n'est pas près de voir le jour. En effet, le comité de pilotage de la RN 21, qui s'est réuni à la préfecture vendredi dernier, a décidé de commander des études techniques complémentaires qui devraient prendre au moins plusieurs mois et de retarder d'autant la mise en œuvre du projet de mise en 2x2 voies de l'axe principal du département. De nouvelles contraintes techniques ont entraîné une hausse considérable du coût du projet. Un éperon rocheux avec la présence d'amiante naturelle a été identifié sur le tracé du contournement d'Adé. Par ailleurs, les services de l'État ont mis en avant la nécessité de réaliser un pont de 115 m de long et de 20 m de large, d'un coût de 8 à 9 M€, pour franchir la zone humide de Saux. Un surcoût insupportable pour le président du conseil départemental Michel Pélieu. «En 2010, le dossier a été contractualisé sur la base de 30 M€. L'État participe à hauteur de 45 %, la région et le département financent chacun 27,5 %. En 2013, compte tenu de nouvelles contraintes techniques, l'État a demandé une rallonge budgétaire de 10 M€. Nous avons accepté, un peu à contrecœur, de passer de 30 à 40 M€. Et là, on nous parle d'un nouveau surcoût de 22 à 28 M€ qui fait passer le budget entre 62 à 68 M€. On ne peut plus suivre. J'ai demandé à l'État de revoir la copie totalement pour trouver une solution plus compatible avec les contraintes budgétaires de l'État et des collectivités.» Conséquence : les services de la Dirso (Direction interdépartementale des routes du Sud-Ouest) et de la DREAL (direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement) vont reconsidérer le dossier pour prendre en compte ces nouvelles données. La réalisation de la mise en 2x2 voies de la RN 21 entre Toulicou et Lourdes est repoussée, une fois de plus, à une nouvelle échéance.
Cyrille Marqué
Lot et Garonne a écrit:
Le Département s’engage pour le futur échangeur d’Agen Ouest
Le Président de la République annonçait en juillet dernier le lancement d’un nouveau plan d’investissement autoroutier cofinancé par l’Etat, à travers ses concessionnaires, et les collectivités locales volontaires.
Pierre Camani, président du Conseil départemental, a saisi cette opportunité pour faire inscrire à ce plan le projet d’échangeur à l’ouest d’Agen sur l’autoroute A 62. Cet échangeur, dont le coût de réalisation est estimé à 20,5 M€, sera cofinancé par le Département de Lot-et-Garonne (30%), l’Agglomération d’Agen (30%) et l’Etat, dans le cadre de la concession de Vinci (40%).
Cette clé de financement est arrêtée dans le protocole d’accord entre l’Etat et les deux collectivités, adopté ce matin lors de la commission permanente.
Implanté entre les aires d’Agen Porte d’Aquitaine et d’Estillac, l’emplacement précis de ce second échangeur aux portes d’Agen fera l’objet d’une concertation, puis d’une enquête publique en 2017. Le lancement des travaux est prévu dès 2018 pour une mise en service en 2019.
Au total, l’effort financier consenti par le Conseil départemental pour le contournement ouest d’Agen (échangeur, pont et barreau de Camélat) est de 26 M€.
Débouché naturel de la RN 21 entre Villeneuve-sur-Lot et Agen, dont la modernisation se poursuit avec un nouveau chantier qui commencera début 2017, ce nouvel aménagement routier bénéficiera à l’ensemble du Lot-et-Garonne.
En effet, « la concrétisation de ces projets est une excellente nouvelle pour les bassins Fumélois, Villeneuvois et Agenais. Il permettra de désenclaver le nord-est du département, offrira aux usagers de la RN 21 un accès rapide à l’autoroute et détournera une partie du trafic qui passe aujourd’hui au centre d’Agen. C’est enfin la confirmation de chantiers majeurs, à court terme, pour les entreprises locales » précise Pierre Camani.
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