Coltrane a écrit:J'espère que ce sont des amorces utiles à de futurs projets en cours d'études. Si c'est pour une ènième zone commerciale avec Auchan - la foir'fouille et la halle aux chaussures, on aurait pu s'abstenir...
Du tout, la majorité des ronds-points du secteur sont pour de la desserte locale voire ultra-local.Coltrane a écrit:J'espère que ce sont des amorces utiles à de futurs projets en cours d'études. Si c'est pour une ènième zone commerciale avec Auchan - la foir'fouille et la halle aux chaussures, on aurait pu s'abstenir...
Petit complément par rapport à ce que j'ai dit précédemment, le rond-point par lequel devra passer le trafic lors de la finition du raccord provisoire sera celui à l'Est de l'échangeur (rond -point déjà construit). Celui à l'Ouest de l'échangeur ne se fera très certainement qu'une fois la déviation ouverte, pour limiter les contraintes.cggdu43b a écrit:Bonjour à tous
1 RP doit bien être construit au sud de la deviation mais c'est sur la N7 actuelle pour completer l'echangeur de Villeneuve, le PS1.
C'est un carrefour à niveau actuellement à cet endroit.
On le voit sur le schema de la DREAL
http://www.auvergne-rhone-alpes.develop ... ve_01a.pdf
https://www.lejdc.fr/nevers/travaux-urb ... ml#refreshLe JDC a écrit:Le déblocage des crédits d'État toujours attendu pour la suite de la mise à 2x2 voies de la RN7 dans la Nièvre
Au point mort l’an dernier, faute de crédits de l’État, la poursuite de l’aménagement à 2x2 voies de la RN7 dans la Nièvre n’est pas encore à l’ordre du jour, même si elle est toujours dans les tuyaux. C'est ce qui ressort d'une rencontre entre des élus nivernais et le directeur de cabinet de la ministre des Transports.
Ce mercredi 6 mars, Alain Lassus, président du conseil départemental, et Patrice Joly, sénateur, ont été reçus au ministère de la Transition écologique et solidaire, chargé des Transports, pour demander « des précisions » sur les intentions de l’État concernant la suite (et fin) de la mise à 2x2 voies de la RN7 dans la Nièvre.
Sur le papier, l'Etat s’est engagé à travers un contrat de plan 2015-2020 à financer 70 % des 10 km qui restent à élargir dans la Nièvre. Mais l’an dernier, les crédits pour poursuivre les travaux entre Saint-Pierre-le-Moûtier et Chantenay-Saint-Imbert n’ont pas été débloqués.
De sa rencontre avec le directeur de cabinet de la ministre, Alain Lassus a retenu que « l’État a toujours la volonté de poursuivre mais ce n’est pas une priorité ».
En l’occurrence, les crédits n’ont pas été inscrits au premier semestre 2019. Au mieux, ils le seraient au deuxième, ce qui permettrait de reprendre le chantier en fin d’année. Sur cette inscription, le président du conseil départemental n’a pas obtenu de promesse, mais a noté que « l’État privilégie a priori les routes où des travaux sont déjà engagés ».
« Ceux qu’on fait attendre, ce sont toujours les mêmes, et cela participe à construire la France périphérique. »
Pour "vendre" la suite de cette 2x2 voies interminable, Alain Lassus a mis en avant à la fois l’accidentologie, un itinéraire alternatif pour descendre vers le Sud depuis Paris, et le désenclavement de la Nièvre. « Ceux qu’on fait attendre, ce sont toujours les mêmes, et cela participe à construire la France périphérique » déplore-t-il. « C’est vrai pour tous les gouvernements qui se sont succédé après Pierre Bérégovoy... Et rien ne change. »
Au-delà des 4 km à financer, pour lesquels le département a provisionné, Alain Lassus a demandé l’organisation d’une rencontre à Nevers, entre le ministère, la Nièvre, l’Allier et leurs régions respectives « pour discuter de ce qu’il reste à faire ». Avec l’intention de renégocier les 6 derniers kilomètres, qui prévoient 30 % à la charge du département, soit 13,5 millions d'euros.
« Il ne s’agit pas de payer zéro mais 10 à 15 % de moins… Il faut aussi rediscuter avec la Région » estime Alain Lassus, qui veut profiter de la fin prochaine du contrat 2015-2020 pour remettre sur la table le financement.
Alain Gavriloff
Léman Express a écrit:Voir certains de nos messages d'il y a quelques années... Les promesses n'engagent que ceux qui y croient.
Le pire dans l'histoire c'est que cela avait été signé avec des contrats en bonne et due forme entre les collectivités locales et l'État. Mais de plus en plus maintenant, cela n'a apparemment plus grande valeur. On se retrouve maintenant à devoir se battre jusqu'à l'ouverture des nouvelles sections et même plus seulement jusqu'à l'accord de financement des travaux ou le commencement des travaux.Léman Express a écrit:Voir certains de nos messages d'il y a quelques années... Les promesses n'engagent que ceux qui y croient.
Lotharingien a écrit:Tout ça est affligeant et démontre à quel point la France a perdu en génie politique.
L'axe (Paris-) Nevers-Moulins-Roanne-A89 est pourtant des plus importants.
….vu qu'il permettra de créer un itinéraire alternatif entre Paris et Lyon/St Etienne.
Lotharingien a écrit:Une fois la RN7 inégalement en VE de Nevers à Balbigny, et avec emprunt de l'A89, le différentiel de temps de parcours entre A6+A77+A89 et A6 pour relier Paris à Lyon va devenir plus faible, même si l'avantage restera à la solution A6 intégrale.
Ca permettra de délester un peu l'A6, et surtout d'offrir un itinéraire alternatif en cas de bouchon/accident/gros travaux sur l'A6.
En trafic radial, je ne vois pas d'autre projet de VE/Autoroute non-concédée plus justifiée que celui-là.
Le projet de doublement de la RN7 entre Paris et Lyon (pour simplifier) que ce soit par une mise à 2x2 voies de l'axe existant ou par la création d'une autoroute concédée la longeant de plus ou moins près, est envisagé et étudié depuis le début des années 1970 (voire même le milieu des années 1960). Mais ce sont des considérations techniques de maillage à l'échelle du pays des choix de tracé d'axe entre métropoles, des choix politiques et des contraintes budgétaires qui nous ont menées à la situation actuelle.tanaka59 a écrit:Lotharingien a écrit:Une fois la RN7 inégalement en VE de Nevers à Balbigny, et avec emprunt de l'A89, le différentiel de temps de parcours entre A6+A77+A89 et A6 pour relier Paris à Lyon va devenir plus faible, même si l'avantage restera à la solution A6 intégrale.
Ca permettra de délester un peu l'A6, et surtout d'offrir un itinéraire alternatif en cas de bouchon/accident/gros travaux sur l'A6.
En trafic radial, je ne vois pas d'autre projet de VE/Autoroute non-concédée plus justifiée que celui-là.
Ce projet de mise à 2x2 de la RN7/A77 aurait du être pensé depuis des années avec le parallèle A6/A39 et plus au sud A7/A51.
Lotharingien a écrit:Une fois la RN7 inégalement en VE de Nevers à Balbigny, et avec emprunt de l'A89, le différentiel de temps de parcours entre A6+A77+A89 et A6 pour relier Paris à Lyon va devenir plus faible, même si l'avantage restera à la solution A6 intégrale.
Ca permettra de délester un peu l'A6, et surtout d'offrir un itinéraire alternatif en cas de bouchon/accident/gros travaux sur l'A6.
En trafic radial, je ne vois pas d'autre projet de VE/Autoroute non-concédée plus justifiée que celui-là.
frantz58 a écrit:Le projet de doublement de la RN7 entre Paris et Lyon (pour simplifier) que ce soit par une mise à 2x2 voies de l'axe existant ou par la création d'une autoroute concédée la longeant de plus ou moins près, est envisagé et étudié depuis le début des années 1970 (voire même le milieu des années 1960).
gavatx76 a écrit:[En même temps, toutes les radiales sont construites en autoroute, les seules restantes partiellement en chaussée unique ne sont que des doublements de grands itinéraires, d'où l'absence de priorité pour ces axes.
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