glouby a écrit:Quelqu'un pour leur dire que la ligne est coupée depuis la construction de l'A19 ?
Vu la vitesse, pas de problème pour sauter l'obstacle.
glouby a écrit:Quelqu'un pour leur dire que la ligne est coupée depuis la construction de l'A19 ?
glouby a écrit:Quelqu'un pour leur dire que la ligne est coupée depuis la construction de l'A19 ?
nanar a écrit:Le but d'une start-up n'est pas de construire quelque chose qui fonctionne,
mais de survivre en réussissant une levée de fonds
auprès de maquignons qui cherchent à placer des capitaux qui ne leur appartiennent pas.
en novembre 2017 dans ce même sujet, nanar a écrit:Le but d'une start-up n'est pas de construire quelque chose qui fonctionne,
mais de survivre en réussissant une levée de fonds ....
Le Parisien a écrit:
Le projet de Space Train entre Paris et Orléans en passe de dérailler
La navette française sur coussins d’air promettait de relier les deux villes en quelques minutes. Mais elle n’a toujours pas accès au monorail construit il y a une cinquantaine d’années pour effectuer ses tests.
Sans les tests sur le monorail appartenant à l’Etat, la société Space Train ne peut convaincre les investisseurs ni lever les fonds pour son projet.
Il y a deux ans, la société Space Train avait vendu un joli rêve aux Orléanais, avec un projet de navette sur coussins d'air propulsée à l'hydrogène à plus de 500 km/h, qui devait mettre Orléans à un quart d'heure de Paris… Depuis, cette jeune pousse d'une dizaine de salariés se débat pour tenter de finaliser son premier prototype dans ses locaux de Cercottes, au nord d'Orléans (Loiret) mais le projet fait du sur place.
L'Etat fait la sourde oreille
L'entreprise a demandé à pouvoir mener des tests grandeur nature sur le monorail construit il y a une cinquantaine d'années pour les essais de l'aérotrain de Jean Bertin, l'ancêtre du Space Train. Mais l'Etat, propriétaire de ce ruban de béton de 18 km qu'on aperçoit depuis la RN20 ou l'A10 au nord d'Orléans, fait la sourde oreille. Et Space Train l'accuse de bloquer son dossier. « Nous n'avons pas de réponse à nos demandes. Or, sans ces essais, nous ne pourrons pas convaincre les investisseurs ni lever les fonds qui permettront de mener à bien le projet », plaide le responsable de la communication, Thomas Bernin.
Le préfet du Loiret, Pierre Pouëssel, lui, met en doute « la solidité financière de l'entreprise ». Le 7 février, Space Train a été convoqué aux prud'hommes pour n'avoir pas versé les salaires de deux ingénieurs depuis le mois d'août. La dette se monte à 17 000 euros. Et il y a déjà eu deux autres procédures pour le même motif, en novembre dernier. Space Train, qui ne nie pas ses difficultés, pourrait donc se retrouver en cessation de paiements s'il ne peut pas régler la note. Et faire dérailler l'aérotrain, à grande vitesse.
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