Alexandre a écrit:Alors pour les passages à faunes, il se réaliseront uniquement si l'autoroute est élargit. Avec cet élargissement, on peut imaginer au besoin de tranchées couvertes dans les parties en déblai. Sinon qui empruntera l'A14? Et bien tout simplement ceux qui l'emprunte à l'heure actuelle, c'est à dire les usagers se rendant à la Défense car la plupart du trafic se rendant à Paris même emprunte l'A13!
Guillaume a écrit:Solution de facilité : Prolonger la concession de la SAPN qui s'arrète à Poissy jusqu'à l' A 12 (mais sans péage)
A noter que l'ex N 286 / N 12 a été élargie à 2*3 voies en pleine forêt et je ne suis pas sur qu'elle a un trafic très supérieur à l'A 13 entre A 12 et Poissy
Enfin pour l'A 14, de nombreuses personnes l'utilisent aux heures de pointe pour aller à PAris afin d'éviter les bouchons de l'A 13
gato76680 a écrit:Plutôt un double tunnel comme celui de l'A 86 maintenant qu'ils ont la technologie. Les automobilistes et les animaux seraient contents et ça occuperait les ouvriers et les tunneliers.
Alexandre a écrit:gato76680 a écrit:Plutôt un double tunnel comme celui de l'A 86 maintenant qu'ils ont la technologie. Les automobilistes et les animaux seraient contents et ça occuperait les ouvriers et les tunneliers.
Et là , instoration d'un péage et je ne pense pas que ca fasse plaisir aux 100000 usagers quotidien de l'autoroute... Quant à l'autoroute superposé, ca impliquerait soit la construction d'une nouvelle chaussée au dessus, donc question intégration dans le paysage c'est pas top ou bien creusement d'une chaussée sous l'actuelle avec comme conséquence la fermeture de la section pendant les 3 ans de travaux ou bien la construction d'une chaussée provisoire à côté du tracé actuel, ce qui revient à élargir l'autoroute de manière classique!
gato76680 a écrit:RER ? Je ne crois pas, ça entrainerait une urbanisation folle de la plaine d'Orgeval. Mais une bonne vieille voie ferrée pourrait aider les trains (TGV ?) venus de Normandie à foncer vers Paris, La Défense ou Massy. La ligne de Mantes-Station à Poissy est saturée et le quadruplement est très long à venir. Les trains de banlieues, dès qu'il y a un problème, ralentissent les rapides.
Cela pourrait aussi éviter des TGV flanant sur Épone-Mézières-Plaisir-Grignon électrifiée en fil trolley...
Alexandre a écrit:gato76680 a écrit:RER ? Je ne crois pas, ça entrainerait une urbanisation folle de la plaine d'Orgeval. Mais une bonne vieille voie ferrée pourrait aider les trains (TGV ?) venus de Normandie à foncer vers Paris, La Défense ou Massy. La ligne de Mantes-Station à Poissy est saturée et le quadruplement est très long à venir. Les trains de banlieues, dès qu'il y a un problème, ralentissent les rapides.
Cela pourrait aussi éviter des TGV flanant sur Épone-Mézières-Plaisir-Grignon électrifiée en fil trolley...
Alala, que c'est beau de rêver... Merci de revenir un peu sur terre...
nico7895 a écrit:Les travaux d'élargissement de l'A13 entre l'A12 et le tunnel de l'A86 (dont la section Rueil-A13 ouvre en 2007) ont débuté par des déboisements de part et d'autre de l'actuelle chaussée. Une reprise totale de l'échangeur A13-N186 ainsi qu'une modification du nombre de voies de l'A13 vers l'A12 (passage de 2 à 3 voies en venant de Paris et de 2 à 1 voie en venant de Poissy ce qui sera bien peu qd la Francilienne se greffera à l'A13 à Orgeval!!) seront entrepris. Cet élargissemnt de l'A13 ds le sens Paris-Province se justifierait surtout pour éviter toute formation de bouchons ds le tunnel de l'A86 (le passage de l'A13 à 2 voies ds la forêt de Marly restant la cause principale des bouchons ds ce sens).
Par contre rien de prévu entre A86 et le périphérique (pas de doublement du viaduc/tunnel de St Cloud).
Tollevast : 16 mois de travaux sur la RN13
On en parle depuis 15 ans, cela commencera le 6 novembre. L'aménagement du virage des chèvres, à Tollevast va enfin éliminer l'un des points noirs de l'insécurité routière dans le département. « De nombreux accidents mortels ont été à déplorer dans ce secteur » soupire Yves Hairon, le maire de Tollevast.
Si le chantier a tant attendu, c'est qu'il est extrêmement lourd. Sur le plan financier d'abord, puisque les travaux vont coûter la bagatelle de 7,2 millions d'euros. « Mais le financement de cette opération était un engagement de l'Etat dans le cadre du contrat Etat-Région, et cet engagement est respecté », souligne le sous-préfet Raymond Cervelle. Au passage le député Jean Lemière a rappelé que c'est l'effort financier consenti par le gouvernement en 2006 pour les chantiers routiers qui a rendu possible le début du chantier.
Sur le plan technique, ensuite, le chantier promet d'être particulièrement difficile à mener. « Nous allons réaliser deux ouvrages d'art sur lesquels passera la RN13. Nous allons créer entièrement des voies parallèles. Nous allons réduire le rayon du virage pour qu'il soit conforme aux normes autoroutières, le tout en maintenant la circulation sur un axe qui voit passe 22 000 véhicules par jour », résume Jean-Pierre Schampanier, le responsable du dossier à la DDE.
A terme, cela permettra de rouler sur cette portion à 110km/h (au lieu de 90km/h) dans de meilleures conditions de sécurité, cela facilitera la circulation à Tollevast (« aujourd'hui, la commune est coupée en deux par al RN13 et la création de nouvelles voies va vraiment améliorer la situation », se réjouit le maire) et cela offrira une nouvelle bretelle d'accès sur la RN13 au niveau du centre équestre de Brix.
Mais avant de profiter de tout cela, les automobilistes devront prendre leur mal en patience. Dès le début du chantier, on ne roulera plus sur quatre voies mais sur trois (la voie de droite dans le sens Valognes - Cherbourg sera neutralisée). « Pendant sept mois, nous allons notamment déplacer 40 000m3 de terre d'un côté de la RN13 à l'autre pour préparer la réalisation des voies parallèles », précise Jean-Pierre Schampanier. En même temps, un premier ouvrage d'art sera réalisé à proximité du rond-point Malraux. C'est ce « pont » qui supportera la future RN13, une nouvelle route passant en dessous pour la circulation interne à Tollevast.
Au Printemps et jusqu'à la fin du chantier, la situation se gâtera pour les automobilistes. Cette fois, la circulation ne se fera plus que sur une seule voie dans chaque sens, sur près de deux kilomètres. Des restrictions seront même imposées pour les convois exceptionnels. Ces convois devront emprunter un itinéraire bis : prendre la RD901 en direction de Beaumont, tourner au Bacchus en direction de Bricquebec puis rejoindre Delasse par la RD56.
En fonction de l'importance des bouchons qui apparaîtront sur la RN13, cet itinéraire pourra également être recommandé pour les voitures. « Il ne faut pas se cacher que des risques de bouchons sont à prévoir aux heures de pointe. », reconnaît d'emblée Jean-Pierre Schampanier, soulignant qu'il peut passer sur cet axe 800 véhicules par heure entre 8 heures et 9 heures, 15 heures et 16 heures, 18 heures et 19 heures.
« Pendant les phases de neutralisation des voies, la vitesse sera limitée à 70km/h », ajoute la direction départementale de l'Equipement. Une restriction qui ne s'appliquera pas durant les week-ends ni pendant les vacances de Noël (les travaux seront interrompus trois semaines).
Ensuite, une fois cette portion enfin aux normes autoroutières, il restera à poursuivre les aménagements entre Caen et Cherbourg pour désenclaver réellement le Cotentin.
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