[ Val-d'Oise (95) ] BIP / Avenue du Parisis

[GPS Nico]

Nouvelle déconvenue pour le Département du Val d’Oise. Comme le projet n’est pas près de voir le jour, ne serait-ce pas intelligent de transférer une partie du budget pour la déviation de La Chapelle-en-Vexin et obtenir un projet en adéquation à la RD14? Je sais, je rêve…

Doux rêve, je suis sûr qu'il n'y a en réalité rien d'alloué au BIP (ni finances ou autres), auquel cas le département aurait a minima communiqué sur l'avancement de ce projet. Déjà qu'il ne daigne pas communiquer sur les travaux sur son réseau (compétence départementale !), alors pour le BIP. (je vous laisse chercher).

A mon humble avis, c'est le clap de fin pour cette infrastructure, et ce fiasco illustre encore une fois toute l'inefficacité du département à mener aujourd'hui des grandes opérations routières. C'est pourtant ce même département qui, autrefois, avait conçu la Francilienne, dénivelé presque de bout en bout la RN 14 et construit des échangeurs sur la RN 17 (pour ne citer que ces exemples).

Aujourd'hui, seuls priment les coûteuses opérations locales (aménagements de traverse, giratoires et ralentisseurs), et du rabais voire rien du tout pour les déviations d'agglomérations (BIP, La Chapelle-en-Vexin, Montlignon, etc...) ou le traitement de points noirs sources de ralentissements quotidiens. Et pour ne rien arranger, ces opérations en sommeil trainent en longueur et face aux oppositions de plus en plus fréquentes, le département se laisse faire.

Dans un sens, je suis sur que l'abandon qui se dessine l'arrange(ra) bien... Et ni ce dernier ni les agglomérations traversées ne proposeront un peu d'amélioration pour délester ne serait-ce qu'un peu leurs traversées. Tant pis pour les habitants et usagers du quotidien mais après tout, qui se soucie localement de leurs difficultés de déplacement ? Ni les opposants, ni le département, ni les agglos et élus.

[Arnaud]

Encore un torchon de France Télévisions (*) à charge contre un projet routier :
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 49942.html

Article qui reprend largement la communication des "anti", qui jouent sur la corde sensible, arguant la présence de 40 établissement scolaires et 10000 enfants à proximité du tracé...

A part ça, je pensais que ce projet était enterré. Il y a donc encore des projets routiers importants en IDF ?


(*) ou plutôt "EELV Télévisions" devrait-on dire, au vu de l'historique de l'actuel directeur des programmes et la ligne éditoriale prise par les chaînes depuis son arrivée : écologie et ultra-progressisme à la limite du bourrage de crâne...

[dark_green67]

"C’est un non-sens écologique et sociétal total, on a du mal a comprendre comment ce projet revient en force", estime Julia Lévy, une membre du collectif de parents d’élèves et enseignants contre le BIP qui habite à Montmorency. "Maman d’un petit garçon en CE1 et d’une petite fille à la crèche", elle indique que le tracé passerait à 200 mètres de son domicile.

En fait, c'est elle qui s'est installée à côté du tracé. Celui-ci est réservé dans les documents d'urbanisme depuis les années 1950. A l'époque, c'était la RISO, rocade intercommunale de Seine-et-Oise, devenue ensuite ARISO, puis A87, puis BIP...

[G.E.]

Ce projet n'existe plus de toutes façons, on agite le chiffon rouge pour rien, comme souvent.

Et même si un bout voyait le jour, ce serait un boulevard urbain. Evidemment, les auteurs du reportage sont contre des voies de bus ?

[benjisop]

Pour un projet qui n'existe plus, l'article parle quand même d'une décision à venir du Conseil d'Etat. Donc je ne sais pas, mais ça ne me semble pas encore enterré, cette histoire.

[G.E.]

Oui il y a une procédure bien mal engagée : http://vonews.fr/2022/10/12/avenue-pari ... ieme-fois/

Et pour un modeste boulevard urbain, on n'est plus du tout sur un projet de voie rapide comme le rapporte une presse qui ne fait pas son travail.

[Bugsss]

Encore un torchon de France Télévisions (*) à charge contre un projet routier :
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 49942.html

Article qui reprend largement la communication des "anti", qui jouent sur la corde sensible, arguant la présence de 40 établissement scolaires et 10000 enfants à proximité du tracé...

A part ça, je pensais que ce projet était enterré. Il y a donc encore des projets routiers importants en IDF ?


(*) ou plutôt "EELV Télévisions" devrait-on dire, au vu de l'historique de l'actuel directeur des programmes et la ligne éditoriale prise par les chaînes depuis son arrivée : écologie et ultra-progressisme à la limite du bourrage de crâne...

Trop bon, ton astérisque. C'est ce que je pense fortement. Il y a aussi France EELV pour la radio....
Je commence à zapper sur autre chose

[benj]

Article du Parisien qui parle d’une "autoroute urbaine". Toujours dans le sensationnalisme la presse française surtout quand on connaît les caractéristiques actuelles du projet. Article payant.

[frantz58]

Effectivement, on est plus près du boulevard urbain que de l'autoroute.

[GPS Nico]

Rien de nouveau sous le soleil, ah si, cette réunion publique à Sarcelles le 7 mars prochain.

On tâchera de s'y rendre dans la mesure du possible pour prendre la température locale (en espérant que les anti-tout ne fassent pas le déplacement...).

Boulevard Intercommunal du Parisis

Urbanisme

La ville organise suite aux nombreuses demandes des habitants, une réunion publique d’information le 7 mars prochain à 20h au conservatoire de musique, dédiée au projet du Boulevard du Parisis.

Mieux comprendre le projet de l’Avenue du Paris.

Dans le cadre de la consultation du Schéma Directeur de la Région Ile-de-France comprenant le projet du BIP, vous êtes invités à vous prononcer jusqu’au 16 mars prochain, à la direction de l’aménagement au 3 boulevard Camus, mais également en ligne sur le registre numérique

../.. Le Conseil économique, social et environnemental local de Sarcelles (CESEL), saisi en urgence en date du 10 mai 2023 par monsieur le maire de Sarcelles en appli-cation du règlement intérieur sur la relance du projet d’avenue de Parisis (ex-BIP).
Compte tenu de l’urgence, le Bureau du CESEL s’est constitué en commission spéciale élargie aux deux rapporteurs, MM. Pascal Kouvtanovitch et Joël Le Calvez, membres de la commission du Développement et du Cadre de vie.
Cet avis est développé en cinq axes :
— les limites d’un projet dont la continuité n’est pas garantie ;
— le rejet d’un ré-enclavement à Sarcelles ;
— les mobilités douces et les transports en commun ;
— les enjeux de cohérence territoriale ;
— l’impact des travaux.

Vous pouvez consulter le projet complet et les impacts pour la ville en pièce-jointe

Source

La fameuse pièce jointe, à sauvegarder pour les intéressées pendant qu'il est encore temps : lien.

Je n'ai pas encore pris connaissance de celle-ci dans son intégralité mais le ton est donné (en clair, beaucoup d'incohérences) : "autoroute", "échangeur" (un comble, il existe déjà), "Boulevard du Parisis", "Avenue de Parisis", "RD 510"... Ce n'est pas sérieux !

[G.E.]

On est habitués à cet désinformation permanente sur les projets. Ce qu'il reste de ce grand projet est un modeste boulevard urbain faisant la part belle aux transports en commun. On est très très loin de l'autoroute à 2x3 voies prévue dans les années 1970.

[benj]

Le département du Val d'Oise a obtenu gain de cause devant le Conseil d'État. Article payant

[Bugsss]

https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95 ... OHVLAM.php

Boulevard intercommunal du Parisis : le Conseil d’État offre un horizon à cette autoroute controversée

INFO LE PARISIEN. Le conseil départemental du Val-d’Oise a gagné une manche dans le match judiciaire qui l’oppose à des associations, au sujet du projet d’autoroute urbaine entre Groslay et Bonneuil-en-France. Le Conseil d’État a ouvert la voie mardi à la confirmation de la déclaration d’utilité publique, annulée en 2018, et donc à la réalisation très décriée de ce boulevard intercommunal du Parisis (BIP).

Par Romain Chiron et Marie Persidat
Le 30 mai 2024 à 15h58, modifié le 31 mai 2024 à 08h47

L'avenue du Parisis, autrefois appelée boulevard Intercommunal du Parisis (BIP), doit à terme relier les autoroutes A1 et A15. (Archives) LP/Christophe Lefèvre

C’est un coup dur pour les opposants au projet d’avenue du Parisis, plus communément appelée boulevard intercommunal du Parisis (BIP), mais un immense soulagement pour le conseil départemental du Val-d’Oise, son maître d’ouvrage. L’arrêt rendu ce mardi 29 mai par le Conseil d’État a cassé le jugement de la cour d’appel de Versailles, qui avait annulé en 2018 la déclaration d’utilité publique (DUP) prise deux ans plus tôt par la préfecture du Val-d’Oise. Depuis, toutes les demandes d’appel du conseil départemental avaient été rejetées.

En clair, cela rouvre la voie à la réalisation de cette autoroute urbaine de 2 x 2 voies, sur un tronçon de 5,5 kilomètres entre Groslay et Bonneuil-en-France, en passant par Sarcelles et Garges-lès-Gonesse. Une première portion a déjà été réalisée, quand une autre, plus à l’ouest dans le prolongement du tronçon contesté, est toujours à l’étude. Ce projet vise à fluidifier le trafic routier et de désenclaver les centres-villes dans un secteur densément peuplé.

[Dark Nark]

Il me parait bien optimiste cet article quand on lit la décision du Conseil d’État. Il faut encore une régularisation et une nouvelle décision de ce dernier.

http://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb ... -29/467449

[dark_green67]

Pour moi, la décision du Conseil d’État est très claire : le motif futile sur lequel se sont basés le Tribunal Administratif de Cergy-Pontoise et la Cour Administrative d'Appel de Versailles pour prononcer, puis confirmer, l'annulation de l'arrêté préfectoral du 25 avril 2016 déclarant l'utilité publique du projet (un soi-disant manque de précision dans les conditions de financement) ne tient pas et les juges auraient dû décider dès le départ que ce détail manquant pouvait être simplement régularisé sans avoir à reprendre toute la procédure. Le problème, c'est qu'il y a beaucoup de militants parmi les juges administratifs…

Par ailleurs, comme le Département a déjà dû par 2 fois aller en cassation pour faire annuler des décisions infondées contraires à ses demandes, le Conseil d’État se prononce directement sur le fond et, là aussi, c'est très clair pour les autres arguments que les opposants comptaient mettre en avant :

- Pour l'étude d'impact, tout est conforme. Elle analyse bien les impacts sur la circulation automobile et, contrairement à ce qu'ils prétendaient, l'étude n'avait pas à prendre en compte les impacts des autres sections non soumises à l'enquête, ni ceux d'un TCSP prévu sur le tracé, qui sont des projets distincts.

- Le projet est totalement compatible avec le schéma directeur de la région d'Île-de-France.

C'est vrai que l'histoire n'est pas tout à fait finie. Petit extrait de l'article des Échos sur le sujet :

Mais le chemin de l'avenue du Parisis est encore long et semé d'embûche, entre difficultés techniques, financement à boucler et opposition locale persistante. Les opposants écologistes historiques, guère surpris par les conclusions du Conseil d’État, n'ont pas déposé les armes et appellent à poursuivre la mobilisation dès ce week-end sur les communes concernées.
N'ayant plus de voie juridique, ces derniers demandent au Conseil départemental de renoncer à son projet, avec le soutien d'élus locaux de tous bords, de plus en plus nombreux à s'opposer à l'autoroute. « Si le tronçon Est est construit, le tronçon Ouest suivra ! Une catastrophe pour les centaines de milliers d'habitants de Sarcelles, Garges, Groslay, Deuil, Soisy, Arnouville, Montmagny et Montmorency », s'indigne le collectif Vivre sans Bip.
https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile ... is-2098401

Ce qui est important pour les opposants, ce n'est pas que leurs dossiers soient fondés. C'est juste de faire perdre du temps aux décideurs, en espérant que pendant les années de procédure juridique un changement de majorité viendra mettre fin au projet. Là, entre l'arrêté préfectoral de 2016 et la décision du Conseil d’État, ils ont tenu quand même 8 ans pour un détail de rien du tout dans les 2000 pages du dossier d'enquête…

[G.E.]

Boulevard intercommunal du Parisis : le Conseil d’État offre un horizon à cette autoroute controversée

Rien que le titre montre une méconnaissance du dossier par le journaliste ou (mais est-ce pire ?), une orientation...

Comment peut-on qualifier d'autoroute un modeste boulevard urbain qui fera de plus la part belle aux transports en commun ?

Ce qui est important pour les opposants, ce n'est pas que leurs dossiers soient fondés. C'est juste de faire perdre du temps aux décideurs, en espérant que pendant les années de procédure juridique un changement de majorité viendra mettre fin au projet. Là, entre l'arrêté préfectoral de 2016 et la décision du Conseil d’État, ils ont tenu quand même 8 ans pour un détail de rien du tout dans les 2000 pages du dossier d'enquête…

Très bien résumé et l'Etat laisse volontairement paralyser sa propre action. Il y a du boulot pour simplifier les normes, les voies de recours abusives, le délais aberrants, etc. etc. Comme il est sans arrêt attaqué par des associations (prétendument au service de l'environnement) qui cherchent ouvertement à nuire à son action, l'Etat devrait aussi s'intéresser à titre d'information au financement de ces associations.

[benj]

De toute évidence ce projet n’était pas à la hauteur des attentes. Bref, je crois que personne ne regrettera ce projet batard.
Je donne une idée au département. Transférer l’argent pour améliorer d’autres projets comme la déviation de la Chapelle-en-Vexin
On peut toujours rêver

Actu.fr a écrit

Val-d'Oise : le Département fait marche arrière sur le projet d’avenue intercommunale du Parisis
Mercredi 25 septembre 2024, la présidente du Conseil département du Val-d'Oise a annoncé que le Département renonçait au projet initial de l'Avenue du Parisis lancé en 2010.

25 sept. 2024 à 22h21
Voir mon actu

Lancé tout droit vers la construction de l’avenue intercommunale du Parisis à la suite du feu vert du Conseil d’État en juin dernier, le Département vient de mettre un brutal coup de frein à ce projet lancé en 2010.

Dans un communiqué publié mercredi 25 septembre 2024 en fin de journée, Marie-Christine Cavecchi, présidente (Lr) du Conseil départemental du Val-d’Oise a ainsi annoncé que « nous ne demanderons pas à Monsieur le Préfet du Val-d’Oise de confirmer la déclaration d’utilité publique (validée en appel par le Conseil d’État, Ndlr) de l’Avenue du Parisis ».

Un projet qui « nécessite d’être repensé »

Pour expliquer sa décision, ajoute que « les derniers échanges avec les maires confirment ma conviction que le projet initial, tel qu’il fut imaginé il y a bientôt 15 ans, nécessite aujourd’hui d’être repensé ».

Ce chantier titanesque, dont les premières esquisses remontaient à plusieurs dizaines d’années, consistait en la réalisation d’un boulevard urbain de 11 km (2×2 voies) entre Soisy-sous-Montmorency et Bonneuil-en- France, dans la continuité du boulevard intercommunal du Parisis (Bip).

La section dite Est - Groslay, Sarcelles, Garges-lès-Gonesse, Arnouville, Bonneuil-en-France - a fait l’objet d’une déclaration d’utilité publique (Dup) en 2016. Conscient qu’en presque 15 ans, les besoins de la population ont évolué, le Département a pris l’initiative de mener de nouvelles discussions dès avril 2023 avec les communes concernées.

Le Département
Un projet contre lequel se sont élevées de nombreuses voix au cours des dernières années pour demander son arrêt, dont un collectif issu des associations Vivre sans Bip, Sos Vallée de Montmorency, Les Amis de la Terre. « Il coupe en deux plusieurs villes du Val-d’Oise. Il menace la santé de 10 000 enfants, dont les écoles sont le long du tracé. Ce projet routier détruira également une centaine d’hectares d’espaces naturels et agricoles », fustigeait la semaine dernière Vivre sans Bip.

L’opposition des élus

Parmi ses opposants figuraient également Patrick Haddad, maire (Ps) de Sarcelles et Maxime Thory, maire (Lr) de Montmorency. Mais aussi la députée (Nfp) de la 6e circonscription du Val-d’Oise, Gabrielle Cathala, qui durant fin juillet a déposé une proposition de loi visant à abandonner l’aménagement routier de l’avenue du Parisis « pour protéger la santé humaine et préserver l’environnement par l’abandon du projet d’aménagement routier de l’Avenue du Parisis ». Deux lettres ayant été adressées au préfet du Val-d’Oise pour lui demander de ne pas valider la déclaration d’utilité publique.

Selon nos informations, cette dernière action ne serait toutefois pas à l’origine de la décision de la présidente du Département, celle-ci ayant cette conviction depuis un certain temps.

Nos territoires bougent. Les modes de déplacement changent. Les consciences aussi. Le Département se doit d’être au rendez-vous de ces nouveaux enjeux. Ses réponses en matière de déplacement doivent être en adéquation avec ces attentes et ces impératifs. Notre priorité pour l’avenir du territoire a toujours été de concilier amélioration de la mobilité et préservation du cadre de vie de tous les Valdoisiens. C’est le sens de la décision que je prends aujourd’hui. »

Marie-Christine Cavecchi Présidente (Lr) du Département

Un changement de direction aussi soudain que surprenant alors qu’en 2022 le Département avait fait appel de la décision d’annulation de l’arrêté d’utilité publique du projet. « Cette annulation portait sur une question de forme et non sur le fonds de l’utilité publique », relève la patronne du Département.

Transports collectifs, plan Vélo et aménagements locaux

Aujourd’hui, le Département souhaite encourager les transports collectifs, les mobilités douces. Dans le communiqué, il précise « porter des projets structurants pour ses habitants tels que les trois lignes de bus à haut niveau de service dans le Grand Roissy, l’interconnexion de la ligne H à Saint-Denis Pleyel, le Plan Vélo ou bien encore la ligne 19 du Grand Paris Express », et assure « ne pas vouloir opposer développement économique et environnement » comme cela a pu lui être reproché par les opposants à l’Avenue du Parisis.

Pour autant le Conseil départemental estime que « les transports en commun et les déplacements doux ne permettront pas à eux seuls de résorber les embouteillages dans de nombreuses villes du tracé concerné par la Dup. Des aménagements locaux et des dessertes routières respectueuses de l’environnement, étudiés, discutés et validés avec les maires, restent indispensables pour améliorer significativement les circulations en milieu urbain. Il en va de l’attractivité du Val-d’Oise. Il s’agit d’ailleurs aussi d’une attente forte des nombreux Valdoisiens qui se déplacent chaque jour en voiture pour se rendre au travail. »

Actu.fr

[Bugsss]

C'est quand même dingue. On assiste à l'arrêt de nombreux projets routiers en France
Alors que le trafic automobile est loin de baisser, malgré les nombreux projets de TC, et de modes "doux"

[benjisop]

Le prolongement du T11 devient enconre plus important suite à cet abandon.